
Un vortex polaire stationnaire sur le nord du Yukon a provoqué certaines des températures les plus froides en décembre depuis un demi-siècle, avec Braeburn enregistrant –55,7 °C, la température la plus basse au Canada en décembre depuis 1975. Des communautés comme Mayo et Dawson ont subi 16 nuits consécutives sous les –40 °C, tandis que le froid s’est étendu jusqu’à Edmonton et Montréal, poussant Environnement Canada à émettre des alertes généralisées pour grand froid.
Ce froid intense a des répercussions sur la mobilité. Les compagnies aériennes ont réduit les charges de carburant autorisées pour compenser l’air plus dense, entraînant des escales techniques supplémentaires sur certains vols transcontinentaux. Les compagnies de bus interurbains ont annulé les services nocturnes sur les routes des Prairies et de l’Atlantique, et Via Rail a mis en garde contre des risques mécaniques pour le matériel roulant. Les ministères provinciaux des transports ont déployé des convois de chasse-neige et des abris chauffés mobiles le long de l’autoroute 1 et d’autres axes majeurs.
Pour les voyageurs dont les itinéraires modifiés incluent soudainement des points de transit inconnus, il est essentiel de bien vérifier les conditions d’entrée. La plateforme VisaHQ Canada (https://www.visahq.com/canada/) permet de consulter rapidement les règles de visa, de soumettre les demandes en ligne et même d’organiser un ramassage par coursier pour les renouvellements de passeport urgents, évitant ainsi que les formalités administratives ne deviennent une autre victime du grand froid.
Les employeurs des secteurs de l’énergie, des mines et de la construction, qui fonctionnent en rotation, ont activé les protocoles d’arrêt en cas de grand froid. Sur les sites isolés, les rotations en vol ont été échelonnées pour éviter d’exposer les voyageurs aux conditions extrêmes des pistes subarctiques, et certaines entreprises ont fait appel à des avions affrétés pour contourner les hubs congestionnés. Les autorités sanitaires ont recommandé aux voyageurs de toujours avoir un kit d’urgence, car un véhicule immobilisé peut devenir mortel en quelques minutes à –40 °C avec le facteur vent.
Les assureurs rappellent aux responsables de déménagement que les envois de biens ménagers sont plus exposés aux risques de gel ; une couverture supplémentaire pour les objets sensibles à la température pourrait être nécessaire. Par ailleurs, les fournisseurs d’énergie du Yukon et du nord de la Colombie-Britannique ont émis des avis de conservation, avertissant qu’une demande en forte hausse pourrait entraîner des coupures tournantes en cas de défaillance des générateurs.
Les météorologues prévoient que le vortex reculera vers le nord après le 29 décembre, permettant à l’air plus doux du Pacifique d’atteindre le sud du Canada. D’ici là, les voyageurs doivent vérifier les seuils minimaux de température des compagnies aériennes, s’informer sur les fermetures d’autoroutes et limiter les déplacements extérieurs non essentiels.
Ce froid intense a des répercussions sur la mobilité. Les compagnies aériennes ont réduit les charges de carburant autorisées pour compenser l’air plus dense, entraînant des escales techniques supplémentaires sur certains vols transcontinentaux. Les compagnies de bus interurbains ont annulé les services nocturnes sur les routes des Prairies et de l’Atlantique, et Via Rail a mis en garde contre des risques mécaniques pour le matériel roulant. Les ministères provinciaux des transports ont déployé des convois de chasse-neige et des abris chauffés mobiles le long de l’autoroute 1 et d’autres axes majeurs.
Pour les voyageurs dont les itinéraires modifiés incluent soudainement des points de transit inconnus, il est essentiel de bien vérifier les conditions d’entrée. La plateforme VisaHQ Canada (https://www.visahq.com/canada/) permet de consulter rapidement les règles de visa, de soumettre les demandes en ligne et même d’organiser un ramassage par coursier pour les renouvellements de passeport urgents, évitant ainsi que les formalités administratives ne deviennent une autre victime du grand froid.
Les employeurs des secteurs de l’énergie, des mines et de la construction, qui fonctionnent en rotation, ont activé les protocoles d’arrêt en cas de grand froid. Sur les sites isolés, les rotations en vol ont été échelonnées pour éviter d’exposer les voyageurs aux conditions extrêmes des pistes subarctiques, et certaines entreprises ont fait appel à des avions affrétés pour contourner les hubs congestionnés. Les autorités sanitaires ont recommandé aux voyageurs de toujours avoir un kit d’urgence, car un véhicule immobilisé peut devenir mortel en quelques minutes à –40 °C avec le facteur vent.
Les assureurs rappellent aux responsables de déménagement que les envois de biens ménagers sont plus exposés aux risques de gel ; une couverture supplémentaire pour les objets sensibles à la température pourrait être nécessaire. Par ailleurs, les fournisseurs d’énergie du Yukon et du nord de la Colombie-Britannique ont émis des avis de conservation, avertissant qu’une demande en forte hausse pourrait entraîner des coupures tournantes en cas de défaillance des générateurs.
Les météorologues prévoient que le vortex reculera vers le nord après le 29 décembre, permettant à l’air plus doux du Pacifique d’atteindre le sud du Canada. D’ici là, les voyageurs doivent vérifier les seuils minimaux de température des compagnies aériennes, s’informer sur les fermetures d’autoroutes et limiter les déplacements extérieurs non essentiels.









