
Le ministère fédéral de l’Intérieur allemand a confirmé que les contrôles « temporaires » réintroduits à la mi-septembre sur presque toutes les frontières terrestres resteront en vigueur jusqu’au moins le 15 mars 2026, soit la durée maximale actuellement autorisée par la Commission européenne. Cette prolongation, publiée au Journal officiel fédéral le 22 décembre, concerne les passages routiers et ferroviaires en provenance d’Autriche, de République tchèque, de Pologne, du Danemark, des Pays-Bas, du Luxembourg, de la France et de la Suisse.
Dans le cadre de cette mesure, les agents de la Bundespolizei peuvent arrêter au hasard les automobilistes, passagers de train et voyageurs en autocar pour vérifier leurs documents d’identité, le motif du voyage, les détails d’hébergement ou la preuve de ressources financières. Bien que les passeports ne soient pas tamponnés, les agents peuvent refuser l’entrée à toute personne suspectée de migration irrégulière ou de menace pour la sécurité. Pour les navetteurs et entreprises tchèques, ces contrôles se traduisent par des temps de trajet plus longs et moins prévisibles lors de déplacements vers des sites clients allemands ou lors de transits dans les aéroports allemands.
Les sociétés de gestion de voyages recommandent d’ajouter 30 à 45 minutes aux itinéraires routiers et conseillent aux employés de porter sur eux leurs contrats de travail ou lettres d’invitation. Les exportateurs dépendant de livraisons just-in-time doivent s’attendre à des files sporadiques de camions aux points de passage clés comme Rozvadov et Cínovec. Les équipes RH coordonnant des missions de courte durée en Allemagne doivent vérifier que les notifications de détachement et les certificats A1 sont disponibles au cas où les agents demanderaient une preuve de couverture sociale.
Les entreprises et voyageurs individuels ayant besoin d’aide pour gérer les exigences documentaires — de la validité des passeports à l’obtention de permis annexes — peuvent simplifier la démarche via VisaHQ. Le portail dédié à la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) propose un accompagnement pas à pas, un support en direct et des outils de soumission numérique qui réduisent le risque d’être refoulé aux contrôles frontaliers, facilitant ainsi le respect des règles malgré l’évolution des réglementations.
Cette décision allemande fait suite à des prolongations similaires en Autriche et en Pologne, sous la pression politique visant à freiner les « mouvements secondaires » le long des routes migratoires d’Europe centrale. Les ministres de l’Intérieur de l’UE devraient débattre d’une approche coordonnée début 2026, mais pour l’heure, les gestionnaires de mobilité tchèques doivent intégrer ces retards dans leurs plannings et budgets.
Bonnes pratiques : 1) Informer les voyageurs de toujours porter leurs passeports originaux et cartes de séjour, pas des photocopies ; 2) prévoir un temps tampon supplémentaire dans les itinéraires ; 3) conserver des scans numériques des documents justificatifs pour un accès rapide ; 4) envisager de reporter les réunions urgentes en visioconférence jusqu’à stabilisation de la situation.
Dans le cadre de cette mesure, les agents de la Bundespolizei peuvent arrêter au hasard les automobilistes, passagers de train et voyageurs en autocar pour vérifier leurs documents d’identité, le motif du voyage, les détails d’hébergement ou la preuve de ressources financières. Bien que les passeports ne soient pas tamponnés, les agents peuvent refuser l’entrée à toute personne suspectée de migration irrégulière ou de menace pour la sécurité. Pour les navetteurs et entreprises tchèques, ces contrôles se traduisent par des temps de trajet plus longs et moins prévisibles lors de déplacements vers des sites clients allemands ou lors de transits dans les aéroports allemands.
Les sociétés de gestion de voyages recommandent d’ajouter 30 à 45 minutes aux itinéraires routiers et conseillent aux employés de porter sur eux leurs contrats de travail ou lettres d’invitation. Les exportateurs dépendant de livraisons just-in-time doivent s’attendre à des files sporadiques de camions aux points de passage clés comme Rozvadov et Cínovec. Les équipes RH coordonnant des missions de courte durée en Allemagne doivent vérifier que les notifications de détachement et les certificats A1 sont disponibles au cas où les agents demanderaient une preuve de couverture sociale.
Les entreprises et voyageurs individuels ayant besoin d’aide pour gérer les exigences documentaires — de la validité des passeports à l’obtention de permis annexes — peuvent simplifier la démarche via VisaHQ. Le portail dédié à la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) propose un accompagnement pas à pas, un support en direct et des outils de soumission numérique qui réduisent le risque d’être refoulé aux contrôles frontaliers, facilitant ainsi le respect des règles malgré l’évolution des réglementations.
Cette décision allemande fait suite à des prolongations similaires en Autriche et en Pologne, sous la pression politique visant à freiner les « mouvements secondaires » le long des routes migratoires d’Europe centrale. Les ministres de l’Intérieur de l’UE devraient débattre d’une approche coordonnée début 2026, mais pour l’heure, les gestionnaires de mobilité tchèques doivent intégrer ces retards dans leurs plannings et budgets.
Bonnes pratiques : 1) Informer les voyageurs de toujours porter leurs passeports originaux et cartes de séjour, pas des photocopies ; 2) prévoir un temps tampon supplémentaire dans les itinéraires ; 3) conserver des scans numériques des documents justificatifs pour un accès rapide ; 4) envisager de reporter les réunions urgentes en visioconférence jusqu’à stabilisation de la situation.







