
IRCC a discrètement publié le plafond des permis d’études pour 2026 le 25 décembre : 309 670 places seront disponibles à l’échelle nationale, soit une baisse de 7 % par rapport à 2025. Les gouvernements provinciaux connaîtront leurs allocations en janvier et devront décider de leur répartition entre les établissements d’enseignement désignés (EED). Une fois le quota provincial épuisé, les étudiants nécessitant une Lettre d’attestation provinciale (LAP) seront exclus jusqu’au prochain cycle.
Ce plafond fédéral, introduit en 2024 pour freiner la croissance explosive des résidents temporaires, a déjà réduit le nombre d’étudiants internationaux de plus d’un million à environ 725 000. Le Plan des niveaux d’immigration 2026-2028 d’Ottawa vise à maintenir les résidents temporaires en dessous de 5 % de la population canadienne d’ici 2027.
Pour les candidats incertains de l’impact de ces limites changeantes, VisaHQ offre une assistance pas à pas pour les visas et permis, avec des mises à jour en temps réel sur la disponibilité des LAP et les fenêtres de soumission des documents. Leur plateforme Canada (https://www.visahq.com/canada/) met en relation étudiants, employeurs et conseillers en mobilité avec des experts pour préparer des dossiers conformes avant la fermeture des quotas provinciaux.
Universités et collèges se retrouvent désormais dans un jeu à somme nulle. Les établissements qui recrutent trop tôt risquent d’épuiser leur part, laissant les candidats tardifs sur le carreau. Plusieurs provinces annoncent qu’elles privilégieront les programmes en santé et en ingénierie liés aux pénuries de main-d’œuvre, réduisant encore les places en commerce, MBA et sciences humaines, qui attiraient traditionnellement de nombreux étudiants étrangers.
Pour les employeurs, un plafond plus strict signifie un vivier réduit de titulaires de permis de travail postdiplôme (PTPD). Les responsables mobilité doivent revoir leurs objectifs de recrutement de diplômés, vérifier que les employés parrainés peuvent toujours obtenir une LAP, et envisager de transférer l’aide aux frais de scolarité vers des provinces disposant de quotas non utilisés. Les étudiants déjà en cours de démarche doivent obtenir rapidement leurs lettres d’acceptation et suivre les tableaux de bord d’utilisation en temps réel attendus au deuxième trimestre 2026.
Les agents d’éducation prévoient que certains candidats se tourneront vers le Royaume-Uni et l’Australie, qui annoncent des plafonds plus souples pour l’année académique 2026. Ils avertissent que la réputation du Canada en matière de prévisibilité dépend désormais de la transparence avec laquelle les provinces géreront ces nouveaux quotas.
Ce plafond fédéral, introduit en 2024 pour freiner la croissance explosive des résidents temporaires, a déjà réduit le nombre d’étudiants internationaux de plus d’un million à environ 725 000. Le Plan des niveaux d’immigration 2026-2028 d’Ottawa vise à maintenir les résidents temporaires en dessous de 5 % de la population canadienne d’ici 2027.
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Universités et collèges se retrouvent désormais dans un jeu à somme nulle. Les établissements qui recrutent trop tôt risquent d’épuiser leur part, laissant les candidats tardifs sur le carreau. Plusieurs provinces annoncent qu’elles privilégieront les programmes en santé et en ingénierie liés aux pénuries de main-d’œuvre, réduisant encore les places en commerce, MBA et sciences humaines, qui attiraient traditionnellement de nombreux étudiants étrangers.
Pour les employeurs, un plafond plus strict signifie un vivier réduit de titulaires de permis de travail postdiplôme (PTPD). Les responsables mobilité doivent revoir leurs objectifs de recrutement de diplômés, vérifier que les employés parrainés peuvent toujours obtenir une LAP, et envisager de transférer l’aide aux frais de scolarité vers des provinces disposant de quotas non utilisés. Les étudiants déjà en cours de démarche doivent obtenir rapidement leurs lettres d’acceptation et suivre les tableaux de bord d’utilisation en temps réel attendus au deuxième trimestre 2026.
Les agents d’éducation prévoient que certains candidats se tourneront vers le Royaume-Uni et l’Australie, qui annoncent des plafonds plus souples pour l’année académique 2026. Ils avertissent que la réputation du Canada en matière de prévisibilité dépend désormais de la transparence avec laquelle les provinces géreront ces nouveaux quotas.








