
Juste à temps pour l’afflux de voyageurs à Noël, le ministère fédéral de l’Intérieur a confirmé dans le Journal officiel que les contrôles temporaires aux frontières terrestres, réintroduits à la mi-septembre, seront maintenus jusqu’au 15 mars 2026 au minimum — soit la durée maximale actuellement autorisée par la Commission européenne. Des contrôles ponctuels se poursuivront donc sur les routes et les lignes ferroviaires en provenance d’Autriche, de République tchèque, de Pologne, du Danemark, des Pays-Bas, du Luxembourg, de la France et de la Suisse. Les agents de la Bundespolizei vérifieront les pièces d’identité, les justificatifs d’hébergement et, le cas échéant, les preuves de ressources financières.
Contexte : L’Allemagne a rétabli les contrôles internes à l’espace Schengen en septembre, face à une recrudescence des mouvements secondaires le long de la route des Balkans et à une série d’affaires de trafic de personnes. Le ministre de l’Intérieur, Alexander Dobrindt, a justifié cette prolongation en expliquant que « les réseaux de contrebande organisés s’adaptent rapidement aux variations saisonnières ; suspendre les contrôles maintenant serait irresponsable ». Le groupe patronal BDI a qualifié cette décision de « désagrément nécessaire », soulignant que la prévisibilité des chaînes d’approvisionnement prime sur les légers retards aux points de passage des marchandises.
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Conséquences pour les responsables mobilité : Les opérateurs de cars doivent continuer à transmettre à l’avance les listes de passagers via la plateforme policière, et les entreprises envoyant du personnel en déplacements aller-retour dans la journée doivent prévoir au moins 30 minutes supplémentaires en cas d’arrêt aux frontières. Les équipes RH gérant des contrats transfrontaliers (fréquents dans la région tri-frontalière « DACH-BENELUX ») doivent rappeler aux salariés de toujours porter leur carte de séjour ou carte d’identité européenne, même pour de courts trajets. Les collaborateurs non-européens transitant en voiture doivent garder passeport et titre de séjour à portée de main ; leur absence peut entraîner un refus d’entrée.
Perspectives : Le ministère de l’Intérieur réexaminera la mesure début mars. Si les entrées irrégulières descendent en dessous de la moyenne mensuelle de 2023, les contrôles pourraient être levés ou limités aux points de passage à risque. Dans le cas contraire, Berlin devra solliciter une nouvelle autorisation auprès de Bruxelles — une démarche qui pourrait rencontrer des résistances politiques à l’approche des élections européennes de juin 2026.
Contexte : L’Allemagne a rétabli les contrôles internes à l’espace Schengen en septembre, face à une recrudescence des mouvements secondaires le long de la route des Balkans et à une série d’affaires de trafic de personnes. Le ministre de l’Intérieur, Alexander Dobrindt, a justifié cette prolongation en expliquant que « les réseaux de contrebande organisés s’adaptent rapidement aux variations saisonnières ; suspendre les contrôles maintenant serait irresponsable ». Le groupe patronal BDI a qualifié cette décision de « désagrément nécessaire », soulignant que la prévisibilité des chaînes d’approvisionnement prime sur les légers retards aux points de passage des marchandises.
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Perspectives : Le ministère de l’Intérieur réexaminera la mesure début mars. Si les entrées irrégulières descendent en dessous de la moyenne mensuelle de 2023, les contrôles pourraient être levés ou limités aux points de passage à risque. Dans le cas contraire, Berlin devra solliciter une nouvelle autorisation auprès de Bruxelles — une démarche qui pourrait rencontrer des résistances politiques à l’approche des élections européennes de juin 2026.







