
L’Autorité italienne de la concurrence et du marché (AGCM) a lancé un avertissement à la compagnie low-cost Ryanair, juste au moment où la période de pointe des voyages de Noël bat son plein. Dans une décision publiée le 23 décembre, le régulateur a infligé une amende record de 255 millions d’euros, accusant la compagnie d’avoir mis en place une « stratégie élaborée » pour bloquer ou entraver les agences de voyage traditionnelles et en ligne dans l’achat de sièges sur le site de Ryanair, ainsi que dans la combinaison de ces sièges avec d’autres services de voyage.
Dans ce contexte perturbé, les coordinateurs de voyages d’affaires, souvent soumis à des délais serrés, constatent fréquemment que les besoins en visas ou permis de travail sont négligés. VisaHQ peut combler cette lacune : sa page dédiée à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/) permet aux entreprises et aux voyageurs individuels de gérer entièrement en ligne les demandes de visa Schengen, de permis de séjour et autres formalités, avec un suivi en temps réel et un support multilingue — un gain de temps précieux lorsque les options de vol sont déjà limitées.
Selon les enquêteurs, la compagnie a modifié à plusieurs reprises l’architecture de son site, mis en place des pièges CAPTCHA et menacé d’actions en justice les agences qui collectaient les données tarifaires. L’AGCM a estimé que ces pratiques limitaient le choix des consommateurs, augmentaient les coûts de recherche pour les réservations d’affaires et empêchaient les agences de proposer des forfaits combinant vols Ryanair, billets de train ou assurances — des options de plus en plus prisées par les responsables de la mobilité d’entreprise.
Ryanair, qui domine le marché intérieur italien et les vols loisirs court-courriers, détient 40 % des sièges sur les liaisons desservant le pays. Cette amende revêt donc une importance majeure pour les entreprises qui dépendent des navettes Rome-Milan et autres connexions intra-UE pour leurs projets et missions de navetteurs. Les équipes mobilité suivront de près si la compagnie ouvre désormais la distribution via GDS ou maintient sa politique de réservation directe tout en contestant la décision.
Pour les budgets mobilité internationale, cette décision pourrait se traduire par des frais de réservation réduits et une meilleure conformité aux politiques si les agences retrouvent la possibilité de proposer des itinéraires groupés incluant des segments Ryanair. Les employeurs sont invités à revoir leurs accords avec leurs fournisseurs privilégiés et à se préparer à d’éventuels changements de classes tarifaires que Ryanair pourrait introduire pour compenser cette sanction financière.
Enfin, cette amende renforce la dynamique réglementaire autour du Digital Markets Act de l’UE, qui pourrait qualifier les plateformes de transport de « gardiens » et les obliger à garantir un accès équitable aux vendeurs tiers — une évolution qui pourrait profondément transformer les achats de voyages d’affaires en Europe.
Dans ce contexte perturbé, les coordinateurs de voyages d’affaires, souvent soumis à des délais serrés, constatent fréquemment que les besoins en visas ou permis de travail sont négligés. VisaHQ peut combler cette lacune : sa page dédiée à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/) permet aux entreprises et aux voyageurs individuels de gérer entièrement en ligne les demandes de visa Schengen, de permis de séjour et autres formalités, avec un suivi en temps réel et un support multilingue — un gain de temps précieux lorsque les options de vol sont déjà limitées.
Selon les enquêteurs, la compagnie a modifié à plusieurs reprises l’architecture de son site, mis en place des pièges CAPTCHA et menacé d’actions en justice les agences qui collectaient les données tarifaires. L’AGCM a estimé que ces pratiques limitaient le choix des consommateurs, augmentaient les coûts de recherche pour les réservations d’affaires et empêchaient les agences de proposer des forfaits combinant vols Ryanair, billets de train ou assurances — des options de plus en plus prisées par les responsables de la mobilité d’entreprise.
Ryanair, qui domine le marché intérieur italien et les vols loisirs court-courriers, détient 40 % des sièges sur les liaisons desservant le pays. Cette amende revêt donc une importance majeure pour les entreprises qui dépendent des navettes Rome-Milan et autres connexions intra-UE pour leurs projets et missions de navetteurs. Les équipes mobilité suivront de près si la compagnie ouvre désormais la distribution via GDS ou maintient sa politique de réservation directe tout en contestant la décision.
Pour les budgets mobilité internationale, cette décision pourrait se traduire par des frais de réservation réduits et une meilleure conformité aux politiques si les agences retrouvent la possibilité de proposer des itinéraires groupés incluant des segments Ryanair. Les employeurs sont invités à revoir leurs accords avec leurs fournisseurs privilégiés et à se préparer à d’éventuels changements de classes tarifaires que Ryanair pourrait introduire pour compenser cette sanction financière.
Enfin, cette amende renforce la dynamique réglementaire autour du Digital Markets Act de l’UE, qui pourrait qualifier les plateformes de transport de « gardiens » et les obliger à garantir un accès équitable aux vendeurs tiers — une évolution qui pourrait profondément transformer les achats de voyages d’affaires en Europe.





