
Le Parlement a adopté la réforme TYKE, transférant les services publics d’emploi de première ligne des bureaux nationaux de l’emploi (TE Offices) aux 309 municipalités finlandaises à partir du 1er janvier 2026. Le délai pour les « entretiens initiaux » obligatoires passera de cinq à dix jours ouvrables après l’inscription du demandeur d’emploi, tandis que les rendez-vous mensuels suivants seront remplacés par des convocations basées sur les besoins.
Sur le papier, la réforme offre plus de souplesse, mais les sanctions en cas d’absence seront plus rapides : un rendez-vous manqué pourra entraîner la suspension immédiate des allocations chômage. Ce risque est particulièrement élevé pour les nouveaux arrivants et les non-francophones qui pourraient ne pas recevoir les notifications électroniques ou rencontrer des difficultés avec les portails en langue locale.
Pour les nouveaux arrivants qui doivent encore organiser ou renouveler leur statut de résidence, l’équipe Finlande de VisaHQ peut simplifier les démarches en prenant en charge les demandes de visa, les prolongations de permis de séjour et la légalisation des documents en coordination avec les autorités municipales et nationales — plus d’informations sur https://www.visahq.com/finland/.
Les travailleurs à temps partiel — notamment de nombreux étudiants internationaux et conjoints à charge — devront désormais accepter des postes à temps plein « adaptés » sous peine de voir leurs allocations réduites. La responsabilité de la mise en œuvre des plans d’intégration et des cours de langue est également transférée aux municipalités, ce qui crée une diversité de procédures entre Helsinki, Tampere et Oulu. Les employeurs gérant des programmes de mobilité nationale devront maîtriser plusieurs systèmes locaux pour garantir les services d’intégration aux salariés transférés.
Comme la réforme est liée aux objectifs du Mécanisme européen de relance et de résilience, les municipalités qui ne respectent pas les nouveaux quotas d’insertion risquent des sanctions financières, suscitant la crainte qu’elles privilégient les candidats « faciles à placer » au détriment des migrants hautement qualifiés mais en difficulté linguistique.
Les équipes RH doivent vérifier les coordonnées des employés dans les portails des bureaux d’emploi, prévoir un budget pour des services de traduction professionnelle et envisager une assurance protection juridique pour couvrir les frais d’appel en cas de contestation des allocations dans ce cadre plus strict.
Sur le papier, la réforme offre plus de souplesse, mais les sanctions en cas d’absence seront plus rapides : un rendez-vous manqué pourra entraîner la suspension immédiate des allocations chômage. Ce risque est particulièrement élevé pour les nouveaux arrivants et les non-francophones qui pourraient ne pas recevoir les notifications électroniques ou rencontrer des difficultés avec les portails en langue locale.
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Comme la réforme est liée aux objectifs du Mécanisme européen de relance et de résilience, les municipalités qui ne respectent pas les nouveaux quotas d’insertion risquent des sanctions financières, suscitant la crainte qu’elles privilégient les candidats « faciles à placer » au détriment des migrants hautement qualifiés mais en difficulté linguistique.
Les équipes RH doivent vérifier les coordonnées des employés dans les portails des bureaux d’emploi, prévoir un budget pour des services de traduction professionnelle et envisager une assurance protection juridique pour couvrir les frais d’appel en cas de contestation des allocations dans ce cadre plus strict.







