
L’Italie a informé la Commission européenne qu’elle maintiendra les contrôles temporaires à la frontière terrestre avec la Slovénie pour une nouvelle période de six mois, du 19 décembre 2025 au 18 juin 2026. Cette mesure, prise en vertu de l’article 25 du Code frontières Schengen, permet à Rome d’effectuer des contrôles aléatoires des passeports sur les flux entre la Slovénie et la région italienne du Frioul-Vénétie Julienne.
Le gouvernement avait réintroduit ces contrôles fin 2024, en raison de préoccupations accrues liées aux risques terroristes et à la migration irrégulière sur la route des Balkans occidentaux. Depuis, la police a mis en place des points de contrôle mobiles sur les routes principales et les lignes ferroviaires, tout en laissant passer la plupart des navetteurs transfrontaliers après un simple scan des documents. Le ministère de l’Intérieur défend ces contrôles renforcés comme proportionnés et destinés à empêcher les passeurs de profiter de la zone de libre circulation européenne.
Les voyageurs souhaitant éviter les désagréments aux points de contrôle peuvent simplifier leurs démarches via VisaHQ, une plateforme en ligne de services de visa et passeport. Son portail dédié à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/) détaille les conditions d’entrée actuelles, aide à obtenir les visas ou permis de séjour nécessaires, et propose un traitement accéléré des documents pour que les déplacements transfrontaliers restent fluides malgré les contrôles renforcés.
Pour les entreprises, cette prolongation signifie au moins six mois supplémentaires de possibles retards pour le fret et les déplacements de cadres entre Trieste, Gorizia et Ljubljana. Les sociétés de logistique rapportent des temps d’attente moyens de 10 à 25 minutes aux heures de pointe — gérables, mais impactant les chaînes d’approvisionnement just-in-time et les opérateurs de cars. Les entreprises qui déplacent du personnel à travers la frontière sont invitées à garder passeports, cartes de séjour et attestations d’emploi à portée de main.
Cette décision illustre également que les mesures « temporaires » aux frontières intérieures de Schengen, instaurées par plusieurs États membres depuis 2015, tendent à devenir semi-permanentes. Les entreprises doivent donc anticiper des renouvellements périodiques et intégrer les contrôles éventuels dans leurs plannings de voyage et de relocalisation. Les conseillers en immigration soulignent que les salariés non-européens transitant par la Slovénie en voiture pour rejoindre l’Italie devront disposer de visas ou permis valides, même si leur trajet ne franchit pas une frontière extérieure de l’UE.
Le gouvernement avait réintroduit ces contrôles fin 2024, en raison de préoccupations accrues liées aux risques terroristes et à la migration irrégulière sur la route des Balkans occidentaux. Depuis, la police a mis en place des points de contrôle mobiles sur les routes principales et les lignes ferroviaires, tout en laissant passer la plupart des navetteurs transfrontaliers après un simple scan des documents. Le ministère de l’Intérieur défend ces contrôles renforcés comme proportionnés et destinés à empêcher les passeurs de profiter de la zone de libre circulation européenne.
Les voyageurs souhaitant éviter les désagréments aux points de contrôle peuvent simplifier leurs démarches via VisaHQ, une plateforme en ligne de services de visa et passeport. Son portail dédié à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/) détaille les conditions d’entrée actuelles, aide à obtenir les visas ou permis de séjour nécessaires, et propose un traitement accéléré des documents pour que les déplacements transfrontaliers restent fluides malgré les contrôles renforcés.
Pour les entreprises, cette prolongation signifie au moins six mois supplémentaires de possibles retards pour le fret et les déplacements de cadres entre Trieste, Gorizia et Ljubljana. Les sociétés de logistique rapportent des temps d’attente moyens de 10 à 25 minutes aux heures de pointe — gérables, mais impactant les chaînes d’approvisionnement just-in-time et les opérateurs de cars. Les entreprises qui déplacent du personnel à travers la frontière sont invitées à garder passeports, cartes de séjour et attestations d’emploi à portée de main.
Cette décision illustre également que les mesures « temporaires » aux frontières intérieures de Schengen, instaurées par plusieurs États membres depuis 2015, tendent à devenir semi-permanentes. Les entreprises doivent donc anticiper des renouvellements périodiques et intégrer les contrôles éventuels dans leurs plannings de voyage et de relocalisation. Les conseillers en immigration soulignent que les salariés non-européens transitant par la Slovénie en voiture pour rejoindre l’Italie devront disposer de visas ou permis valides, même si leur trajet ne franchit pas une frontière extérieure de l’UE.








