
Chypre a intensifié ses efforts pour lutter contre l’immigration irrégulière le 21 décembre, lorsque le Service des étrangers et de l’immigration (SEI) a mené une vaste opération à l’aube dans les quatre districts du sud. Les unités de police se sont déployées simultanément à Nicosie, Limassol, Larnaca et Famagouste, ciblant des adresses et des chantiers identifiés grâce à des renseignements antérieurs comme abritant des personnes sans statut de résidence valide.
En milieu de matinée, le coup de filet avait conduit à l’arrestation de 31 ressortissants de pays tiers. Les agents de l’immigration ont déclaré aux journalistes que tous les détenus avaient été transférés dans des centres de rétention en vue de leur identification, d’un examen médical et d’évaluations des risques avant le lancement de procédures accélérées de rapatriement. « Notre objectif est un retour rapide, en pleine conformité avec les garanties de la directive européenne sur le retour », a déclaré un porte-parole du SEI, ajoutant que l’aide juridique et le conseil au retour volontaire étaient proposés sur place.
Le raid de dimanche s’inscrit dans un changement de politique plus large dévoilé au printemps dernier, qui place les départs volontaires et les expulsions forcées au cœur de la gestion migratoire. Les chiffres illustrent l’ampleur de ce virage : le ministère de l’Intérieur indique que 11 500 personnes ont déjà été renvoyées en 2025, dépassant ainsi les 10 092 expulsions enregistrées sur l’ensemble de 2024. Sur la même période, les arrivées irrégulières par mer et par terre ont chuté à 2 400 contre 6 109 un an plus tôt, une baisse que les autorités attribuent à un renforcement des patrouilles le long de la zone tampon surveillée par l’ONU et à une coordination accrue avec les autorités libanaises et syriennes.
Les entreprises et particuliers souhaitant anticiper ces évolutions rapides peuvent simplifier leurs démarches grâce à VisaHQ, une plateforme en ligne qui facilite les demandes de visa et de permis pour Chypre. La page dédiée au pays (https://www.visahq.com/cyprus/) regroupe les dernières règles d’entrée, les listes de documents nécessaires et les outils de prise de rendez-vous — des ressources pratiques pour minimiser les risques de non-conformité et éviter les actions coercitives mises en lumière par le coup de filet de dimanche.
Pour les entreprises employant de la main-d’œuvre étrangère, cette opération rappelle la sévérité accrue du régime de sanctions à Chypre. En vertu des modifications apportées à la loi sur les étrangers et l’immigration, les employeurs s’exposent désormais à des poursuites pénales, des amendes pouvant atteindre 20 000 € par travailleur et des sanctions administratives pouvant aller jusqu’à la fermeture temporaire de leurs activités. Les responsables de la mobilité en entreprise sont donc invités à vérifier leurs registres de permis de travail, à s’assurer de la conformité totale de leurs sous-traitants et à se préparer à des visites inopinées pendant la période de pointe de Noël.
Les ONG de défense des droits humains ont appelé le gouvernement à accompagner cette fermeté par un traitement plus rapide des demandes d’asile et des voies d’intégration solides. Le ministère de l’Intérieur rétorque que les retours accélérés libèrent des ressources pour les réfugiés légitimes et pour la future adhésion de l’île à l’espace Schengen. Quoi qu’il en soit, le coup de filet de dimanche indique que les équipes de relocation d’entreprise doivent s’attendre à un renforcement des contrôles d’identité, notamment dans les secteurs à forte rotation comme la construction, l’hôtellerie et l’agriculture.
En milieu de matinée, le coup de filet avait conduit à l’arrestation de 31 ressortissants de pays tiers. Les agents de l’immigration ont déclaré aux journalistes que tous les détenus avaient été transférés dans des centres de rétention en vue de leur identification, d’un examen médical et d’évaluations des risques avant le lancement de procédures accélérées de rapatriement. « Notre objectif est un retour rapide, en pleine conformité avec les garanties de la directive européenne sur le retour », a déclaré un porte-parole du SEI, ajoutant que l’aide juridique et le conseil au retour volontaire étaient proposés sur place.
Le raid de dimanche s’inscrit dans un changement de politique plus large dévoilé au printemps dernier, qui place les départs volontaires et les expulsions forcées au cœur de la gestion migratoire. Les chiffres illustrent l’ampleur de ce virage : le ministère de l’Intérieur indique que 11 500 personnes ont déjà été renvoyées en 2025, dépassant ainsi les 10 092 expulsions enregistrées sur l’ensemble de 2024. Sur la même période, les arrivées irrégulières par mer et par terre ont chuté à 2 400 contre 6 109 un an plus tôt, une baisse que les autorités attribuent à un renforcement des patrouilles le long de la zone tampon surveillée par l’ONU et à une coordination accrue avec les autorités libanaises et syriennes.
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Pour les entreprises employant de la main-d’œuvre étrangère, cette opération rappelle la sévérité accrue du régime de sanctions à Chypre. En vertu des modifications apportées à la loi sur les étrangers et l’immigration, les employeurs s’exposent désormais à des poursuites pénales, des amendes pouvant atteindre 20 000 € par travailleur et des sanctions administratives pouvant aller jusqu’à la fermeture temporaire de leurs activités. Les responsables de la mobilité en entreprise sont donc invités à vérifier leurs registres de permis de travail, à s’assurer de la conformité totale de leurs sous-traitants et à se préparer à des visites inopinées pendant la période de pointe de Noël.
Les ONG de défense des droits humains ont appelé le gouvernement à accompagner cette fermeté par un traitement plus rapide des demandes d’asile et des voies d’intégration solides. Le ministère de l’Intérieur rétorque que les retours accélérés libèrent des ressources pour les réfugiés légitimes et pour la future adhésion de l’île à l’espace Schengen. Quoi qu’il en soit, le coup de filet de dimanche indique que les équipes de relocation d’entreprise doivent s’attendre à un renforcement des contrôles d’identité, notamment dans les secteurs à forte rotation comme la construction, l’hôtellerie et l’agriculture.






