
Le Conseil national autrichien a discrètement approuvé, tard le 20 décembre, la Niederlassungsverordnung (règlement sur l’établissement) pour 2025, réduisant le plafond annuel des titres de séjour soumis à quota à 5 616 – soit 230 de moins qu’en 2024. Ce quota concerne uniquement les permis limités en nombre, tels que les titres de séjour pour regroupement familial, l’établissement pour retraités financièrement indépendants et les passages à la carte Rouge-Blanc-Rouge Plus. Les voies liées au marché du travail (carte Rouge-Blanc-Rouge standard, carte Bleue UE) restent illimitées, permettant aux employeurs de recruter autant de travailleurs qualifiés hors UE qu’ils peuvent convaincre le Service public de l’emploi (AMS) d’avoir besoin.
Le gouvernement a attribué 4 850 places (86 %) à l’immigration familiale, 385 aux retraités financièrement indépendants (appelés « Privatiers »), 89 aux titulaires de permis de séjour de longue durée délivrés par un autre État membre de l’UE, et 292 aux proches passant de la carte Rouge-Blanc-Rouge à la plus flexible carte Rouge-Blanc-Rouge Plus. Les sous-quotas provinciaux ouvriront les candidatures le 2 janvier, Vienne conservant la part principale (1 640 places) et le Tyrol la plus petite (165).
Pour les particuliers et entreprises confrontés à ces restrictions renforcées, un partenaire expérimenté en visas peut faire toute la différence. L’équipe autrichienne de VisaHQ (https://www.visahq.com/austria/) suit en temps réel l’ouverture des quotas et prend en charge tout, de la préparation des documents à la soumission consulaire, aidant les services RH et les familles en mobilité à obtenir des rendez-vous avant que les places ne s’épuisent.
Les spécialistes du regroupement familial alertent sur les effets indirects de ce resserrement : les cadres pourraient hésiter à se relocaliser s’ils craignent que leurs conjoints ou enfants restent bloqués sur des listes d’attente. En 2024, Vienne a épuisé son quota familial dès septembre, contraignant de nombreux ayants droit à reporter leur voyage jusqu’à la fenêtre 2025. Le think tank migratoire Agenda Austria estime que cette réduction est motivée politiquement, visant à rassurer les électeurs inquiets de la hausse des coûts du logement et de la saturation des écoles en année électorale.
Pour les équipes RH, la priorité immédiate est la gestion du calendrier. Il est conseillé de pré-réserver les rendez-vous notariaux et de rassembler les documents dès maintenant afin que les dossiers envoyés par courrier arrivent à temps dans les consulats autrichiens pour l’ouverture du 2 janvier. En cas d’épuisement des places, les entreprises devront peut-être inscrire les membres de la famille sur des « listes d’attente de quota » et envisager des solutions temporaires comme les visas de visiteur Schengen – une option plus coûteuse et incertaine.
À plus long terme, les entreprises pourraient militer pour le rétablissement de quotas familiaux distincts pour les salariés en entreprise, une idée proposée par la Chambre économique autrichienne mais abandonnée lors des négociations de coalition en 2023. D’ici là, les responsables mobilité doivent suivre mensuellement l’utilisation des quotas provinciaux et informer les expatriés des délais réalistes.
Le gouvernement a attribué 4 850 places (86 %) à l’immigration familiale, 385 aux retraités financièrement indépendants (appelés « Privatiers »), 89 aux titulaires de permis de séjour de longue durée délivrés par un autre État membre de l’UE, et 292 aux proches passant de la carte Rouge-Blanc-Rouge à la plus flexible carte Rouge-Blanc-Rouge Plus. Les sous-quotas provinciaux ouvriront les candidatures le 2 janvier, Vienne conservant la part principale (1 640 places) et le Tyrol la plus petite (165).
Pour les particuliers et entreprises confrontés à ces restrictions renforcées, un partenaire expérimenté en visas peut faire toute la différence. L’équipe autrichienne de VisaHQ (https://www.visahq.com/austria/) suit en temps réel l’ouverture des quotas et prend en charge tout, de la préparation des documents à la soumission consulaire, aidant les services RH et les familles en mobilité à obtenir des rendez-vous avant que les places ne s’épuisent.
Les spécialistes du regroupement familial alertent sur les effets indirects de ce resserrement : les cadres pourraient hésiter à se relocaliser s’ils craignent que leurs conjoints ou enfants restent bloqués sur des listes d’attente. En 2024, Vienne a épuisé son quota familial dès septembre, contraignant de nombreux ayants droit à reporter leur voyage jusqu’à la fenêtre 2025. Le think tank migratoire Agenda Austria estime que cette réduction est motivée politiquement, visant à rassurer les électeurs inquiets de la hausse des coûts du logement et de la saturation des écoles en année électorale.
Pour les équipes RH, la priorité immédiate est la gestion du calendrier. Il est conseillé de pré-réserver les rendez-vous notariaux et de rassembler les documents dès maintenant afin que les dossiers envoyés par courrier arrivent à temps dans les consulats autrichiens pour l’ouverture du 2 janvier. En cas d’épuisement des places, les entreprises devront peut-être inscrire les membres de la famille sur des « listes d’attente de quota » et envisager des solutions temporaires comme les visas de visiteur Schengen – une option plus coûteuse et incertaine.
À plus long terme, les entreprises pourraient militer pour le rétablissement de quotas familiaux distincts pour les salariés en entreprise, une idée proposée par la Chambre économique autrichienne mais abandonnée lors des négociations de coalition en 2023. D’ici là, les responsables mobilité doivent suivre mensuellement l’utilisation des quotas provinciaux et informer les expatriés des délais réalistes.








