
Un décret ministériel daté du 17 novembre 2025 et publié au Journal officiel italien le 19 décembre instaure une nouvelle voie d’immigration pour les travailleurs étrangers pouvant prouver leur descendance directe d’un citoyen italien. Selon l’article 27(1-octies) de la loi sur l’immigration, ces personnes peuvent obtenir des permis de travail subordonnés en dehors des quotas annuels (« decreto flussi »).
Les ministères du Travail et des Affaires étrangères ont établi une liste de pays comptant d’importantes communautés italiennes, dont les citoyens peuvent bénéficier de cette mesure, notamment l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay, les États-Unis, le Canada et le Venezuela. Les candidats devront présenter une offre d’emploi valide, des documents généalogiques et une autorisation (« nulla osta ») délivrée par leur consulat italien local, tout en évitant le processus compétitif du « click-day » qui s’épuise généralement en quelques heures.
À ce stade, il peut être utile pour les entreprises et les candidats individuels de collaborer avec VisaHQ, dont le portail Italie (https://www.visahq.com/italy/) détaille les dernières exigences en matière de visa, les frais et les délais de traitement. Ce service peut coordonner la collecte des documents, gérer les traductions et apostilles, ainsi que le suivi des demandes de nulla osta, simplifiant chaque étape pour que les équipes RH et les descendants de citoyens italiens se concentrent sur la recherche du bon profil.
Pour les employeurs confrontés à des pénuries de compétences, notamment dans la construction, l’hôtellerie et l’industrie manufacturière avancée, cette nouvelle voie constitue une alternative stratégique aux quotas classiques. Les équipes de mobilité internationale devraient informer leurs collègues chargés du recrutement en Amérique du Sud et en Amérique du Nord, régions où la population d’origine italienne est importante.
Concrètement, les RH doivent se préparer à accompagner les candidats dans la collecte des documents, tels que les actes de naissance et de mariage attestant d’une filiation ininterrompue, et prévoir un budget pour les traductions juridiques et les apostilles. Les délais de traitement devraient être similaires à ceux des permis de travail standards (trois à quatre mois), mais les premiers utilisateurs pourraient bénéficier d’une procédure accélérée tant que le nombre de demandes reste faible.
Les ministères du Travail et des Affaires étrangères ont établi une liste de pays comptant d’importantes communautés italiennes, dont les citoyens peuvent bénéficier de cette mesure, notamment l’Argentine, le Brésil, l’Uruguay, les États-Unis, le Canada et le Venezuela. Les candidats devront présenter une offre d’emploi valide, des documents généalogiques et une autorisation (« nulla osta ») délivrée par leur consulat italien local, tout en évitant le processus compétitif du « click-day » qui s’épuise généralement en quelques heures.
À ce stade, il peut être utile pour les entreprises et les candidats individuels de collaborer avec VisaHQ, dont le portail Italie (https://www.visahq.com/italy/) détaille les dernières exigences en matière de visa, les frais et les délais de traitement. Ce service peut coordonner la collecte des documents, gérer les traductions et apostilles, ainsi que le suivi des demandes de nulla osta, simplifiant chaque étape pour que les équipes RH et les descendants de citoyens italiens se concentrent sur la recherche du bon profil.
Pour les employeurs confrontés à des pénuries de compétences, notamment dans la construction, l’hôtellerie et l’industrie manufacturière avancée, cette nouvelle voie constitue une alternative stratégique aux quotas classiques. Les équipes de mobilité internationale devraient informer leurs collègues chargés du recrutement en Amérique du Sud et en Amérique du Nord, régions où la population d’origine italienne est importante.
Concrètement, les RH doivent se préparer à accompagner les candidats dans la collecte des documents, tels que les actes de naissance et de mariage attestant d’une filiation ininterrompue, et prévoir un budget pour les traductions juridiques et les apostilles. Les délais de traitement devraient être similaires à ceux des permis de travail standards (trois à quatre mois), mais les premiers utilisateurs pourraient bénéficier d’une procédure accélérée tant que le nombre de demandes reste faible.











