
Le Département de l’Immigration a intensifié les expulsions des demandeurs d’asile non-refoulés dont les recours ont été épuisés, renvoyant 77 personnes dans leur pays d’origine entre le 15 et le 19 décembre dans le cadre de l’opération « Bouclier Tranchant » (銳盾). Ce groupe comprenait 38 hommes et 39 femmes ; plusieurs avaient purgé des peines de prison pour des infractions pénales avant d’être placés en détention administrative.
Depuis une révision de la politique en décembre 2022, les agents peuvent organiser l’expulsion dès que la Cour suprême refuse l’autorisation de révision judiciaire, réduisant ainsi de plusieurs mois les délais précédents. Les autorités affirment que ce processus accéléré protège l’ordre public et dissuade les abus du système d’asile — Hong Kong n’a reconnu que moins de 1 % des 20 000 demandes déposées depuis 2014.
Les derniers vols affrétés et escortes commerciales ont nécessité une coordination complexe avec les consulats étrangers, les compagnies aériennes et la police locale. Les formalités administratives, les protocoles sanitaires liés au COVID et les visas pour les pays de transit ont dû être obtenus dans des délais très serrés. Selon des sources au sein de l’immigration, près de la moitié des 77 personnes renvoyées venaient d’Asie du Sud, le reste d’Afrique et d’Asie du Sud-Est.
Face à une telle rigueur, les voyageurs et employeurs sont invités à vérifier soigneusement les exigences en matière de visa et de documents de voyage avant tout déplacement. Le bureau de VisaHQ à Hong Kong propose des outils de demande en ligne, l’obtention de visas de transit et un suivi en temps réel du statut, facilitant ainsi le respect des réglementations locales et évitant les perturbations de dernière minute. Plus d’informations sur https://www.visahq.com/hong-kong/.
Des ONG de défense des droits humains ont critiqué cette opération menée juste avant la période de Noël, soulignant que de nombreux demandeurs d’asile se retrouvent sans assistance juridique suite aux récentes coupes dans l’aide juridictionnelle. Les chambres de commerce, en revanche, ont salué cette fermeté, estimant que les faux demandeurs travaillent souvent illégalement et tirent les salaires vers le bas dans les secteurs de la construction et de la restauration, déjà en manque de main-d’œuvre autorisée.
Les employeurs doivent savoir que le fait d’héberger ou d’embaucher une personne expulsée qui revient illégalement expose à des sanctions pouvant aller jusqu’à 500 000 HK$ d’amende et 10 ans de prison. Les entreprises transférant du personnel à Hong Kong sont conseillées de vérifier le statut des travailleurs occasionnels via le portail en ligne renforcé « Easy Check ».
Depuis une révision de la politique en décembre 2022, les agents peuvent organiser l’expulsion dès que la Cour suprême refuse l’autorisation de révision judiciaire, réduisant ainsi de plusieurs mois les délais précédents. Les autorités affirment que ce processus accéléré protège l’ordre public et dissuade les abus du système d’asile — Hong Kong n’a reconnu que moins de 1 % des 20 000 demandes déposées depuis 2014.
Les derniers vols affrétés et escortes commerciales ont nécessité une coordination complexe avec les consulats étrangers, les compagnies aériennes et la police locale. Les formalités administratives, les protocoles sanitaires liés au COVID et les visas pour les pays de transit ont dû être obtenus dans des délais très serrés. Selon des sources au sein de l’immigration, près de la moitié des 77 personnes renvoyées venaient d’Asie du Sud, le reste d’Afrique et d’Asie du Sud-Est.
Face à une telle rigueur, les voyageurs et employeurs sont invités à vérifier soigneusement les exigences en matière de visa et de documents de voyage avant tout déplacement. Le bureau de VisaHQ à Hong Kong propose des outils de demande en ligne, l’obtention de visas de transit et un suivi en temps réel du statut, facilitant ainsi le respect des réglementations locales et évitant les perturbations de dernière minute. Plus d’informations sur https://www.visahq.com/hong-kong/.
Des ONG de défense des droits humains ont critiqué cette opération menée juste avant la période de Noël, soulignant que de nombreux demandeurs d’asile se retrouvent sans assistance juridique suite aux récentes coupes dans l’aide juridictionnelle. Les chambres de commerce, en revanche, ont salué cette fermeté, estimant que les faux demandeurs travaillent souvent illégalement et tirent les salaires vers le bas dans les secteurs de la construction et de la restauration, déjà en manque de main-d’œuvre autorisée.
Les employeurs doivent savoir que le fait d’héberger ou d’embaucher une personne expulsée qui revient illégalement expose à des sanctions pouvant aller jusqu’à 500 000 HK$ d’amende et 10 ans de prison. Les entreprises transférant du personnel à Hong Kong sont conseillées de vérifier le statut des travailleurs occasionnels via le portail en ligne renforcé « Easy Check ».







