
Le Département de l’Immigration de Hong Kong, le Département du Travail et trois autres agences ont mené une série d’opérations conjointes — baptisées « Silver Wing », « Dawn », « Light-Shadow », « Rainbow » et « Champion » — du 14 au 18 décembre, aboutissant à l’arrestation de 34 travailleurs présumés en situation irrégulière, de quatre personnes en séjour prolongé et de cinq employeurs.
Les descentes ont visé dix restaurants, blanchisseries, chantiers de rénovation, entrepôts logistiques ainsi que plus de 100 points névralgiques de plateformes de livraison. Parmi les interpellés figuraient 15 travailleurs importés surpris en train de travailler en dehors des lieux autorisés par leur contrat, ainsi que trois livreurs détenant des documents de reconnaissance leur interdisant tout emploi. Les agents ont également saisi une fausse carte d’enregistrement de travailleur du bâtiment.
Pour les entreprises soucieuses de respecter ces règles strictes en matière d’immigration, VisaHQ propose une solution pratique pour gérer les demandes et renouvellements de permis de travail à Hong Kong. Sa plateforme en ligne (https://www.visahq.com/hong-kong/) centralise la soumission des documents, envoie des alertes de suivi et aide les équipes RH à vérifier que les employés disposent du bon type de visa avant de les affecter à un projet, réduisant ainsi les risques de non-conformité coûteuse.
Cette opération s’inscrit dans un contexte de pression politique croissante pour renforcer le contrôle du Schéma d’Importation de Main-d’œuvre récemment élargi, qui autorise jusqu’à 20 000 travailleurs étrangers à combler les pénuries dans les secteurs de la construction, de l’aviation et des maisons de retraite. Les employeurs qui exploitent des failles en déplaçant leur personnel sans autorisation s’exposent à des amendes pouvant atteindre 350 000 HK$ et à trois ans de prison.
Les équipes de mobilité d’entreprise doivent veiller à ce que les détachés et sous-traitants travaillent strictement aux adresses indiquées sur leurs visas. Le Département du Travail recommande aux entreprises de conserver des copies des visas sur site et d’utiliser son application mobile gratuite « WorkPassCheck » pour des vérifications ponctuelles. Les récidivistes risquent d’être exclus des futurs quotas d’importation de main-d’œuvre.
Les syndicats ont salué ces arrestations mais exigent des sanctions plus sévères à l’encontre des plateformes de livraison qui, selon eux, emploient régulièrement des livreurs en situation irrégulière. Un projet de loi visant à augmenter les amendes maximales pour emploi illégal à 500 000 HK$ doit être présenté en première lecture en janvier 2026.
Les descentes ont visé dix restaurants, blanchisseries, chantiers de rénovation, entrepôts logistiques ainsi que plus de 100 points névralgiques de plateformes de livraison. Parmi les interpellés figuraient 15 travailleurs importés surpris en train de travailler en dehors des lieux autorisés par leur contrat, ainsi que trois livreurs détenant des documents de reconnaissance leur interdisant tout emploi. Les agents ont également saisi une fausse carte d’enregistrement de travailleur du bâtiment.
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Les équipes de mobilité d’entreprise doivent veiller à ce que les détachés et sous-traitants travaillent strictement aux adresses indiquées sur leurs visas. Le Département du Travail recommande aux entreprises de conserver des copies des visas sur site et d’utiliser son application mobile gratuite « WorkPassCheck » pour des vérifications ponctuelles. Les récidivistes risquent d’être exclus des futurs quotas d’importation de main-d’œuvre.
Les syndicats ont salué ces arrestations mais exigent des sanctions plus sévères à l’encontre des plateformes de livraison qui, selon eux, emploient régulièrement des livreurs en situation irrégulière. Un projet de loi visant à augmenter les amendes maximales pour emploi illégal à 500 000 HK$ doit être présenté en première lecture en janvier 2026.










