
Environ 200 employés de DHL chargés de l’enregistrement et de la gestion des bagages ont poursuivi samedi une grève de 72 heures à l’aéroport de Londres Luton, après l’échec des négociations sur un accord salarial. Ce mouvement, prévu du 19 au 22 décembre puis du 26 au 29 décembre, menace plus de 400 vols EasyJet et environ 70 000 passagers durant l’une des semaines les plus chargées de l’année.
EasyJet a mobilisé des managers et du personnel intérimaire pour maintenir son programme complet, mais les passagers sont avertis de files d’attente plus longues au dépôt des bagages, de retards à la livraison des bagages à l’arrivée et de possibles retards au départ, dus à des temps de rotation des avions allongés. Les voyageurs avec des correspondances serrées en train ou en bus sont invités à prévoir des marges supplémentaires.
Pour ceux qui se voient redirigés vers d’autres hubs, il est essentiel de vérifier la validité des visas ou autorisations de voyage électroniques nécessaires. La plateforme britannique de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-kingdom/) permet aux passagers et aux équipes de mobilité d’entreprise de vérifier rapidement leur éligibilité et d’organiser un traitement express des visas en ligne, facilitant ainsi les changements d’itinéraire de dernière minute liés aux perturbations aéroportuaires.
Le syndicat Unite dénonce un écart salarial d’environ 3 £ de l’heure entre les employés DHL de Gatwick et ceux de Luton, pour des tâches identiques, et juge que l’offre d’augmentation de 4,5 % ne suit pas l’inflation. DHL rétorque que sa proposition est « juste et supérieure à la moyenne du secteur », tandis que l’exploitant de l’aéroport assure que les normes de sécurité ne seront pas compromises.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cette grève illustre la vulnérabilité des services aéroportuaires externalisés : même si les vols EasyJet continuent, les retards peuvent remettre en cause les temps de correspondance minimaux prévus dans les politiques de voyage. Les entreprises organisant des déplacements pendant les fêtes sont donc invitées à privilégier les bagages cabine, à suivre en temps réel le statut des vols et à se préparer à réacheminer via d’autres aéroports londoniens en cas d’aggravation des perturbations la semaine prochaine.
EasyJet a mobilisé des managers et du personnel intérimaire pour maintenir son programme complet, mais les passagers sont avertis de files d’attente plus longues au dépôt des bagages, de retards à la livraison des bagages à l’arrivée et de possibles retards au départ, dus à des temps de rotation des avions allongés. Les voyageurs avec des correspondances serrées en train ou en bus sont invités à prévoir des marges supplémentaires.
Pour ceux qui se voient redirigés vers d’autres hubs, il est essentiel de vérifier la validité des visas ou autorisations de voyage électroniques nécessaires. La plateforme britannique de VisaHQ (https://www.visahq.com/united-kingdom/) permet aux passagers et aux équipes de mobilité d’entreprise de vérifier rapidement leur éligibilité et d’organiser un traitement express des visas en ligne, facilitant ainsi les changements d’itinéraire de dernière minute liés aux perturbations aéroportuaires.
Le syndicat Unite dénonce un écart salarial d’environ 3 £ de l’heure entre les employés DHL de Gatwick et ceux de Luton, pour des tâches identiques, et juge que l’offre d’augmentation de 4,5 % ne suit pas l’inflation. DHL rétorque que sa proposition est « juste et supérieure à la moyenne du secteur », tandis que l’exploitant de l’aéroport assure que les normes de sécurité ne seront pas compromises.
Pour les responsables de la mobilité d’entreprise, cette grève illustre la vulnérabilité des services aéroportuaires externalisés : même si les vols EasyJet continuent, les retards peuvent remettre en cause les temps de correspondance minimaux prévus dans les politiques de voyage. Les entreprises organisant des déplacements pendant les fêtes sont donc invitées à privilégier les bagages cabine, à suivre en temps réel le statut des vols et à se préparer à réacheminer via d’autres aéroports londoniens en cas d’aggravation des perturbations la semaine prochaine.








