
Le plus grand syndicat des contrôleurs aériens en France, le SNCTA, a déclenché une grève à 4h00 le 18 décembre, après l’échec de longues négociations avec la DGAC sur la réforme des plannings. Dès l’aube du 20 décembre, la DGAC a publié des NOTAMs de suspension des mouvements pour les aéroports de Montpellier-Méditerranée, Nîmes-Garons et Perpignan–Rivesaltes, paralysant ainsi le trafic commercial et détournant les survols. L’aéroport Lyon Saint-Exupéry a été contraint d’annuler 60 % de ses vols pour alléger la pression sur le secteur.
Avec les TGV déjà complets pour la période des fêtes, les responsables de la mobilité en entreprise ont dû réorienter les voyageurs via Toulouse et Marseille ou privilégier les réunions en ligne. Les exportateurs de produits de la mer et de fournitures médicales urgentes ont subi des détours coûteux, annonçant des retards en cascade dans les chaînes d’approvisionnement.
Les employeurs qui doivent relocaliser du personnel en janvier font face à un problème inattendu : les ressortissants de pays tiers, qui prévoyaient des démarches de visa Schengen « dans la journée » via Montpellier, ont manqué leurs rendez-vous biométriques. Les équipes RH doivent désormais reprogrammer les visites en préfecture à Paris ou Madrid, ce qui pourrait retarder le début des missions et entraîner des coûts supplémentaires liés au logement et à la paie.
Pour les organisations confrontées à ces nouvelles contraintes, VisaHQ propose une solution précieuse. Via sa page dédiée à la France (https://www.visahq.com/france/), la plateforme permet d’obtenir des créneaux alternatifs pour les rendez-vous Schengen, d’organiser la collecte des documents par coursier et d’envoyer des alertes en temps réel, aidant ainsi à maintenir les relocalisations malgré les perturbations causées par la grève.
Cette mobilisation s’ajoute à un record de dix jours d’arrêt des contrôleurs aériens en France cette année, soit le double de la moyenne européenne, et survient six semaines avant que le pays n’accueille les Jeux Olympiques de la Jeunesse d’hiver 2026. Le SNCTA menace une grève nationale de quatre jours à la mi-janvier si les négociations ne reprennent pas.
Les experts en gestion des risques recommandent aux entreprises de diversifier leurs itinéraires, d’acheter des billets « tous transporteurs » pouvant être réémis rapidement, et de vérifier que leurs assurances voyages couvrent les réacheminements multimodaux en cas de conflits sociaux.
Avec les TGV déjà complets pour la période des fêtes, les responsables de la mobilité en entreprise ont dû réorienter les voyageurs via Toulouse et Marseille ou privilégier les réunions en ligne. Les exportateurs de produits de la mer et de fournitures médicales urgentes ont subi des détours coûteux, annonçant des retards en cascade dans les chaînes d’approvisionnement.
Les employeurs qui doivent relocaliser du personnel en janvier font face à un problème inattendu : les ressortissants de pays tiers, qui prévoyaient des démarches de visa Schengen « dans la journée » via Montpellier, ont manqué leurs rendez-vous biométriques. Les équipes RH doivent désormais reprogrammer les visites en préfecture à Paris ou Madrid, ce qui pourrait retarder le début des missions et entraîner des coûts supplémentaires liés au logement et à la paie.
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