
Le ministère de l’Éducation et de la Culture a diffusé un projet de loi visant à durcir considérablement les conditions de séjour pour les étudiants étrangers hors UE. Selon cette proposition, le montant mensuel requis pour couvrir les frais de vie passerait à 850 € — contre 560 € actuellement recommandés par Migri — et serait indexé sur l’inflation. Les étudiants devront justifier d’un financement couvrant 12 mois à l’avance, via relevés bancaires ou lettres de bourse.
Le regroupement familial serait également retardé : les membres de la famille proche ne pourraient rejoindre l’étudiant qu’après la première année universitaire, une période de latence destinée à s’assurer que le demandeur principal comprend bien le coût de la vie en Finlande avant de parrainer ses proches. De plus, les candidats devront réussir un test de base en finnois ou en suédois (niveau A1.2) dans l’année suivant l’obtention du permis d’études pour pouvoir le renouveler. Les universités alertent sur le fait que cette exigence linguistique pourrait freiner les inscriptions en provenance d’Asie, où le finnois est rarement enseigné.
Pour les entreprises, ce projet de loi est crucial car les programmes de travail-études pour diplômés et les MBA sponsorisés par des entreprises alimentent les viviers de talents. Les employeurs pourraient devoir avancer des allocations ou des frais de scolarité pour permettre aux candidats de répondre à cette exigence financière renforcée. Les fondations de bourses réexaminent leurs modalités d’attribution, et les équipes RH doivent anticiper le report du regroupement familial pour éviter toute surprise.
Si vous souhaitez mieux comprendre ces changements à venir, VisaHQ peut simplifier vos démarches. Via son portail Finlande (https://www.visahq.com/finland/), le service propose des listes de contrôle en temps réel, un pré-dépistage des documents et des consultations d’experts sur tous les aspects, des justificatifs financiers au calendrier du regroupement familial, offrant aux candidats comme aux départements RH un moyen fiable de rester en conformité face à l’évolution des règles.
Les parties prenantes disposent de six semaines pour formuler leurs observations. En cas d’adoption, ces mesures s’appliqueront aux demandes de permis déposées à partir du 1er août 2026. Les conseillers en mobilité doivent suivre le calendrier parlementaire et mettre à jour les listes de contrôle préalables à l’arrivée bien avant la rentrée 2026.
Cette initiative finlandaise s’inscrit dans la continuité des hausses similaires aux Pays-Bas et en Allemagne, témoignant d’une tendance européenne à conditionner davantage la migration étudiante à l’autonomie financière et à l’intégration précoce. Le débat reste vif sur l’impact de cette politique : permettra-t-elle de retenir les diplômés sur le marché du travail local ou les poussera-t-elle simplement à s’orienter vers d’autres destinations ?
Le regroupement familial serait également retardé : les membres de la famille proche ne pourraient rejoindre l’étudiant qu’après la première année universitaire, une période de latence destinée à s’assurer que le demandeur principal comprend bien le coût de la vie en Finlande avant de parrainer ses proches. De plus, les candidats devront réussir un test de base en finnois ou en suédois (niveau A1.2) dans l’année suivant l’obtention du permis d’études pour pouvoir le renouveler. Les universités alertent sur le fait que cette exigence linguistique pourrait freiner les inscriptions en provenance d’Asie, où le finnois est rarement enseigné.
Pour les entreprises, ce projet de loi est crucial car les programmes de travail-études pour diplômés et les MBA sponsorisés par des entreprises alimentent les viviers de talents. Les employeurs pourraient devoir avancer des allocations ou des frais de scolarité pour permettre aux candidats de répondre à cette exigence financière renforcée. Les fondations de bourses réexaminent leurs modalités d’attribution, et les équipes RH doivent anticiper le report du regroupement familial pour éviter toute surprise.
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Les parties prenantes disposent de six semaines pour formuler leurs observations. En cas d’adoption, ces mesures s’appliqueront aux demandes de permis déposées à partir du 1er août 2026. Les conseillers en mobilité doivent suivre le calendrier parlementaire et mettre à jour les listes de contrôle préalables à l’arrivée bien avant la rentrée 2026.
Cette initiative finlandaise s’inscrit dans la continuité des hausses similaires aux Pays-Bas et en Allemagne, témoignant d’une tendance européenne à conditionner davantage la migration étudiante à l’autonomie financière et à l’intégration précoce. Le débat reste vif sur l’impact de cette politique : permettra-t-elle de retenir les diplômés sur le marché du travail local ou les poussera-t-elle simplement à s’orienter vers d’autres destinations ?






