
Lors d’un vote surprise en fin d’année, le 19 décembre, le Bundestag allemand a adopté une loi criminalisant le stockage de petites embarcations et moteurs destinés à traverser la Manche, avec des peines pouvant aller jusqu’à dix ans de prison pour les facilitateurs. Cette mesure, élaborée en coordination avec le ministère britannique de l’Intérieur, vise une faille logistique : les réseaux de passeurs entreposaient du matériel dans le nord de l’Allemagne avant de le transférer sur les plages françaises.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette loi marque un durcissement de la position de Berlin sur la migration irrégulière et une volonté d’harmoniser les actions avec ses partenaires. Si le texte cible principalement les réseaux criminels, les services voyages d’entreprise doivent anticiper un renforcement des contrôles de diligence pour les transitaires et sociétés logistiques. Les entreprises expédiant du matériel maritime, des embarcations gonflables ou des moteurs puissants devront fournir des certificats d’usage final et tenir des registres précis de la chaîne d’approvisionnement pour éviter toute suspicion de détournement.
Ces nouvelles infractions s’ajoutent à la loi allemande sur l’immigration, mais se distinguent par leur portée extraterritoriale : elles sanctionnent l’aide à l’entrée non autorisée dans un pays tiers (le Royaume-Uni) depuis le sol allemand. La police fédérale et les douanes seront chargées de l’application, avec des inspections d’entrepôts, des enquêtes financières et des cellules de renseignement conjointes avec leurs homologues britanniques pour démanteler les filières.
Des spécialistes en visas et documents, comme VisaHQ, peuvent accompagner les entreprises dans cette transition. Via son portail allemand (https://www.visahq.com/germany/), la société offre des mises à jour en temps réel sur les évolutions réglementaires, aide à la rédaction des certificats d’usage final et coordonne les formalités nécessaires pour les déplacements de personnel ou de marchandises, apportant ainsi une sécurité supplémentaire aux équipes mobilité.
Du point de vue conformité, les prestataires de relocation devront informer leurs collaborateurs d’un contrôle renforcé dans des ports comme Hambourg, Brême et Cuxhaven, où les inspections des marchandises sortantes pourraient rallonger les délais lors des pics d’activité. Les voyageurs d’affaires impliqués dans des projets logistiques transmanche pourraient également faire face à davantage d’interrogatoires secondaires sur le contenu des cargaisons lors de leur passage dans les ports britanniques.
Les décideurs estiment que cette répression dissuadera les passeurs en augmentant leurs coûts opérationnels et risques juridiques, mais les ONG alertent sur un possible déplacement des réseaux vers des zones plus discrètes ou d’autres États membres de l’UE. Quoi qu’il en soit, ce vote illustre la tendance allemande à durcir sélectivement les lois aux frontières, tout en assouplissant parallèlement les règles sur la migration qualifiée.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette loi marque un durcissement de la position de Berlin sur la migration irrégulière et une volonté d’harmoniser les actions avec ses partenaires. Si le texte cible principalement les réseaux criminels, les services voyages d’entreprise doivent anticiper un renforcement des contrôles de diligence pour les transitaires et sociétés logistiques. Les entreprises expédiant du matériel maritime, des embarcations gonflables ou des moteurs puissants devront fournir des certificats d’usage final et tenir des registres précis de la chaîne d’approvisionnement pour éviter toute suspicion de détournement.
Ces nouvelles infractions s’ajoutent à la loi allemande sur l’immigration, mais se distinguent par leur portée extraterritoriale : elles sanctionnent l’aide à l’entrée non autorisée dans un pays tiers (le Royaume-Uni) depuis le sol allemand. La police fédérale et les douanes seront chargées de l’application, avec des inspections d’entrepôts, des enquêtes financières et des cellules de renseignement conjointes avec leurs homologues britanniques pour démanteler les filières.
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Du point de vue conformité, les prestataires de relocation devront informer leurs collaborateurs d’un contrôle renforcé dans des ports comme Hambourg, Brême et Cuxhaven, où les inspections des marchandises sortantes pourraient rallonger les délais lors des pics d’activité. Les voyageurs d’affaires impliqués dans des projets logistiques transmanche pourraient également faire face à davantage d’interrogatoires secondaires sur le contenu des cargaisons lors de leur passage dans les ports britanniques.
Les décideurs estiment que cette répression dissuadera les passeurs en augmentant leurs coûts opérationnels et risques juridiques, mais les ONG alertent sur un possible déplacement des réseaux vers des zones plus discrètes ou d’autres États membres de l’UE. Quoi qu’il en soit, ce vote illustre la tendance allemande à durcir sélectivement les lois aux frontières, tout en assouplissant parallèlement les règles sur la migration qualifiée.









