
Le 19 décembre, la Commission européenne a adopté son huitième rapport dans le cadre du Mécanisme de suspension des visas, évaluant la manière dont 25 pays partenaires respectent les règles garantissant la libre circulation sans visa dans l’espace Schengen. En tant qu’État membre de l’UE situé à la frontière sud-est de l’Union, Chypre est appelée à jouer un rôle clé dans la surveillance des déplacements ultérieurs et le partage d’informations sur les abus présumés.
Le rapport souligne que la plupart des pays des Balkans occidentaux et du Partenariat oriental ont progressé en matière de gestion des frontières et de contrôle migratoire, tout en pointant des « lacunes persistantes » dans la coopération en matière de réadmission et les contrôles de sécurité. Une inquiétude particulière est exprimée concernant les programmes de citoyenneté par investissement dans les Caraïbes orientales, qui pourraient permettre à des individus à haut risque d’entrer dans l’UE sans visa. Bien que le document ne recommande pas de rétablir d’urgence l’obligation de visa, il avertit qu’« une action supplémentaire » pourrait être envisagée si les déficiences persistent.
Nicosie a salué ces conclusions, le ministère délégué à la Migration soulignant qu’un contrôle renforcé des pays d’origine devrait alléger la pression sur le système d’asile chypriote, déjà sous tension. Les autorités ont indiqué que Chypre alimentera en temps réel un centre d’analyse des risques à l’échelle européenne, qui sera lancé début 2026, grâce à son nouveau système d’Informations Avancées sur les Passagers. Les compagnies aériennes opérant depuis Larnaca et Paphos devront transmettre les listes de passagers 48 heures avant le départ dès l’entrée en vigueur du dispositif.
Dans ce contexte, le portail chypriote de VisaHQ (https://www.visahq.com/cyprus/) offre aux entreprises et aux voyageurs un moyen rapide de vérifier les règles d’entrée en vigueur, de précontrôler la validité des passeports et, si nécessaire, d’organiser les visas ou autres autorisations de voyage. Ses alertes automatisées de conformité et ses services de gestion documentaire contribuent à réduire les risques opérationnels soulignés par le rapport de la Commission, garantissant ainsi des déplacements fluides et prévisibles à travers Chypre et vers l’espace Schengen.
Pour les multinationales déplaçant du personnel via Chypre, les recommandations du rapport indiquent que les transporteurs et postes frontaliers pourraient renforcer les contrôles secondaires pour certaines nationalités. Les équipes mobilité doivent s’assurer que les employés en déplacement disposent d’un passeport valide au moins six mois, ainsi que, le cas échéant, des documents justificatifs tels que billets de retour ou preuve d’hébergement. Les entreprises parrainant des talents issus de pays exemptés de visa doivent également suivre de près le suivi de la Commission prévu à la mi-2026, car une évaluation négative pourrait imposer soudainement des visas et perturber les plannings de voyage.
La Commission poursuivra ses évaluations annuelles ; les États membres, dont Chypre, conservent le droit de demander une suspension d’urgence si les arrivées irrégulières augmentent de 50 % sur une période de six mois. Les entreprises sont donc invitées à intégrer une marge de manœuvre dans leurs budgets et calendriers de déplacement pour le personnel venant de pays exemptés de visa à risque accru.
Le rapport souligne que la plupart des pays des Balkans occidentaux et du Partenariat oriental ont progressé en matière de gestion des frontières et de contrôle migratoire, tout en pointant des « lacunes persistantes » dans la coopération en matière de réadmission et les contrôles de sécurité. Une inquiétude particulière est exprimée concernant les programmes de citoyenneté par investissement dans les Caraïbes orientales, qui pourraient permettre à des individus à haut risque d’entrer dans l’UE sans visa. Bien que le document ne recommande pas de rétablir d’urgence l’obligation de visa, il avertit qu’« une action supplémentaire » pourrait être envisagée si les déficiences persistent.
Nicosie a salué ces conclusions, le ministère délégué à la Migration soulignant qu’un contrôle renforcé des pays d’origine devrait alléger la pression sur le système d’asile chypriote, déjà sous tension. Les autorités ont indiqué que Chypre alimentera en temps réel un centre d’analyse des risques à l’échelle européenne, qui sera lancé début 2026, grâce à son nouveau système d’Informations Avancées sur les Passagers. Les compagnies aériennes opérant depuis Larnaca et Paphos devront transmettre les listes de passagers 48 heures avant le départ dès l’entrée en vigueur du dispositif.
Dans ce contexte, le portail chypriote de VisaHQ (https://www.visahq.com/cyprus/) offre aux entreprises et aux voyageurs un moyen rapide de vérifier les règles d’entrée en vigueur, de précontrôler la validité des passeports et, si nécessaire, d’organiser les visas ou autres autorisations de voyage. Ses alertes automatisées de conformité et ses services de gestion documentaire contribuent à réduire les risques opérationnels soulignés par le rapport de la Commission, garantissant ainsi des déplacements fluides et prévisibles à travers Chypre et vers l’espace Schengen.
Pour les multinationales déplaçant du personnel via Chypre, les recommandations du rapport indiquent que les transporteurs et postes frontaliers pourraient renforcer les contrôles secondaires pour certaines nationalités. Les équipes mobilité doivent s’assurer que les employés en déplacement disposent d’un passeport valide au moins six mois, ainsi que, le cas échéant, des documents justificatifs tels que billets de retour ou preuve d’hébergement. Les entreprises parrainant des talents issus de pays exemptés de visa doivent également suivre de près le suivi de la Commission prévu à la mi-2026, car une évaluation négative pourrait imposer soudainement des visas et perturber les plannings de voyage.
La Commission poursuivra ses évaluations annuelles ; les États membres, dont Chypre, conservent le droit de demander une suspension d’urgence si les arrivées irrégulières augmentent de 50 % sur une période de six mois. Les entreprises sont donc invitées à intégrer une marge de manœuvre dans leurs budgets et calendriers de déplacement pour le personnel venant de pays exemptés de visa à risque accru.








