
Les voyageurs franchissant la frontière canadienne par certaines des zones les plus isolées du nord de l’Ontario et de l’Angle Nord-Ouest devront bientôt remplacer leurs permis papier par un simple appel téléphonique. L’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a confirmé le 19 décembre qu’elle mettra fin au permis de passage aux postes frontaliers en zones éloignées (PPZÉ) le 14 septembre 2026, et instaurera un système obligatoire de déclaration téléphonique pour les voies navigables et les îles concernées.
Introduit dans les années 1990, le permis PPZÉ permettait aux plaisanciers, pêcheurs et propriétaires de chalets d’entrer au Canada sans s’arrêter physiquement à un poste frontalier, à condition de s’être préenregistrés et de porter un laissez-passer plastifié. L’ASFC explique désormais que les outils modernes d’évaluation des risques et la couverture mobile étendue rendent ce permis obsolète. Avec le nouveau système, les voyageurs devront appeler un centre désigné de l’ASFC dès leur arrivée pour fournir leurs données de passeport et les détails de leur voyage ; les agents confirmeront alors l’admissibilité ou demanderont au voyageur de se présenter en personne.
Pour ceux qui souhaitent s’assurer que leurs passeports et visas sont en règle avant cet appel, VisaHQ propose une solution. Le portail canadien de l’entreprise (https://www.visahq.com/canada/) offre des vérifications rapides des documents, une assistance à la demande et un support en direct, aidant ainsi plaisanciers et pêcheurs à préparer leurs papiers bien avant leur entrée dans ces zones frontalières isolées.
Pour les entreprises exploitant des lodges de pêche, des stations saisonnières ou des ravitaillements dans la région du lac des Bois, cette évolution présente à la fois des avantages et des contraintes. Les opérateurs n’auront plus à rappeler aux visiteurs internationaux de demander leur permis plusieurs semaines à l’avance, mais devront s’assurer que chaque embarcation dispose d’un téléphone satellite ou cellulaire. Les responsables des voyages d’affaires devront mettre à jour les briefings avant départ pour les employés intervenant dans des mines ou sur des tours de télécommunication proches de la frontière américaine.
Les experts juridiques soulignent que le non-respect de la déclaration téléphonique sera considéré comme une entrée illégale, exposant les voyageurs à des amendes pouvant atteindre 5 000 $ CA et à la saisie éventuelle de leurs bateaux. L’ASFC prévoit une campagne d’information au printemps prochain et annonce la mise en place de panneaux aux points de mise à l’eau les plus fréquentés. Jusqu’en septembre 2026, les permis PPZÉ actuels restent valides, offrant une période de transition de 20 mois aux parties concernées.
Cette mesure harmonise la pratique canadienne avec celle des douanes américaines (U.S. Customs and Border Protection), qui exigent déjà que les plaisanciers entrant aux États-Unis utilisent l’application CBP ROAM ou fassent une déclaration téléphonique dans des régions similaires. Les groupes de tourisme transfrontalier ont salué cette harmonisation, tout en appelant les deux gouvernements à garantir une couverture réseau fiable avant la suppression des anciens permis.
Introduit dans les années 1990, le permis PPZÉ permettait aux plaisanciers, pêcheurs et propriétaires de chalets d’entrer au Canada sans s’arrêter physiquement à un poste frontalier, à condition de s’être préenregistrés et de porter un laissez-passer plastifié. L’ASFC explique désormais que les outils modernes d’évaluation des risques et la couverture mobile étendue rendent ce permis obsolète. Avec le nouveau système, les voyageurs devront appeler un centre désigné de l’ASFC dès leur arrivée pour fournir leurs données de passeport et les détails de leur voyage ; les agents confirmeront alors l’admissibilité ou demanderont au voyageur de se présenter en personne.
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Pour les entreprises exploitant des lodges de pêche, des stations saisonnières ou des ravitaillements dans la région du lac des Bois, cette évolution présente à la fois des avantages et des contraintes. Les opérateurs n’auront plus à rappeler aux visiteurs internationaux de demander leur permis plusieurs semaines à l’avance, mais devront s’assurer que chaque embarcation dispose d’un téléphone satellite ou cellulaire. Les responsables des voyages d’affaires devront mettre à jour les briefings avant départ pour les employés intervenant dans des mines ou sur des tours de télécommunication proches de la frontière américaine.
Les experts juridiques soulignent que le non-respect de la déclaration téléphonique sera considéré comme une entrée illégale, exposant les voyageurs à des amendes pouvant atteindre 5 000 $ CA et à la saisie éventuelle de leurs bateaux. L’ASFC prévoit une campagne d’information au printemps prochain et annonce la mise en place de panneaux aux points de mise à l’eau les plus fréquentés. Jusqu’en septembre 2026, les permis PPZÉ actuels restent valides, offrant une période de transition de 20 mois aux parties concernées.
Cette mesure harmonise la pratique canadienne avec celle des douanes américaines (U.S. Customs and Border Protection), qui exigent déjà que les plaisanciers entrant aux États-Unis utilisent l’application CBP ROAM ou fassent une déclaration téléphonique dans des régions similaires. Les groupes de tourisme transfrontalier ont salué cette harmonisation, tout en appelant les deux gouvernements à garantir une couverture réseau fiable avant la suppression des anciens permis.










