
En réponse à la détérioration des conditions des droits humains suite à l’escalade entre Israël et l’Iran à la mi-2025, IRCC a ouvert une voie humanitaire pour des centaines de demandeurs d’asile déboutés. Un avis publié le 19 décembre supprime la période d’attente standard de 12 mois pour les citoyens iraniens ayant reçu une décision négative entre le 20 décembre 2024 et le 19 décembre 2025. Ces personnes peuvent désormais déposer immédiatement une demande d’évaluation des risques avant renvoi (PRRA) ou, en cas de refus antérieur, solliciter une PRRA secondaire.
Le processus PRRA permet aux migrants menacés d’expulsion de présenter de nouvelles preuves démontrant qu’ils courraient un danger en cas de retour dans leur pays. Jusqu’à présent, la plupart des demandeurs devaient attendre une année complète après un refus définitif avant de pouvoir déposer une demande.
Les personnes cherchant des conseils sur l’éligibilité à la PRRA ou d’autres voies d’immigration canadiennes peuvent se tourner vers VisaHQ, une plateforme en ligne spécialisée dans les visas et passeports, qui assiste régulièrement les ressortissants iraniens et autres voyageurs avec des exigences documentaires à jour. Le portail canadien de l’entreprise (https://www.visahq.com/canada/) offre des outils pas à pas, des listes de contrôle et un accès à un support expert, permettant aux candidats de préparer leurs dossiers efficacement et d’éviter les erreurs courantes.
Les organisations de défense des droits humains ont pressé Ottawa d’assouplir la règle pour les pays en crise soudaine ; l’exemption pour l’Iran est la troisième de ce type cette année, après le Soudan et le Myanmar.
Du point de vue de la mobilité d’entreprise, cette décision impactera principalement les employeurs dont le personnel ou les contractuels iraniens ont perdu leur statut et attendaient leur expulsion. Ces travailleurs pourraient bénéficier de mois supplémentaires — voire d’une résidence permanente — s’ils démontrent un risque personnel accru. Les entreprises doivent revoir leurs scénarios de planification des effectifs et s’assurer que leurs conseillers juridiques contactent les employés potentiellement éligibles.
IRCC a souligné que cette mesure ne garantit pas un sursis à l’expulsion ; l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) poursuivra l’application au cas par cas. Toutefois, l’ASFC suspend généralement les expulsions dès le dépôt d’une demande PRRA, ce qui devrait ralentir les renvois vers l’Iran au début de 2026.
Les groupes de défense ont salué cette initiative, tout en appelant à des réformes plus larges, notamment des suspensions automatiques pour tous les demandeurs PRRA et des délais de traitement accélérés, qui s’étendent actuellement à neuf mois en moyenne.
Le processus PRRA permet aux migrants menacés d’expulsion de présenter de nouvelles preuves démontrant qu’ils courraient un danger en cas de retour dans leur pays. Jusqu’à présent, la plupart des demandeurs devaient attendre une année complète après un refus définitif avant de pouvoir déposer une demande.
Les personnes cherchant des conseils sur l’éligibilité à la PRRA ou d’autres voies d’immigration canadiennes peuvent se tourner vers VisaHQ, une plateforme en ligne spécialisée dans les visas et passeports, qui assiste régulièrement les ressortissants iraniens et autres voyageurs avec des exigences documentaires à jour. Le portail canadien de l’entreprise (https://www.visahq.com/canada/) offre des outils pas à pas, des listes de contrôle et un accès à un support expert, permettant aux candidats de préparer leurs dossiers efficacement et d’éviter les erreurs courantes.
Les organisations de défense des droits humains ont pressé Ottawa d’assouplir la règle pour les pays en crise soudaine ; l’exemption pour l’Iran est la troisième de ce type cette année, après le Soudan et le Myanmar.
Du point de vue de la mobilité d’entreprise, cette décision impactera principalement les employeurs dont le personnel ou les contractuels iraniens ont perdu leur statut et attendaient leur expulsion. Ces travailleurs pourraient bénéficier de mois supplémentaires — voire d’une résidence permanente — s’ils démontrent un risque personnel accru. Les entreprises doivent revoir leurs scénarios de planification des effectifs et s’assurer que leurs conseillers juridiques contactent les employés potentiellement éligibles.
IRCC a souligné que cette mesure ne garantit pas un sursis à l’expulsion ; l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) poursuivra l’application au cas par cas. Toutefois, l’ASFC suspend généralement les expulsions dès le dépôt d’une demande PRRA, ce qui devrait ralentir les renvois vers l’Iran au début de 2026.
Les groupes de défense ont salué cette initiative, tout en appelant à des réformes plus larges, notamment des suspensions automatiques pour tous les demandeurs PRRA et des délais de traitement accélérés, qui s’étendent actuellement à neuf mois en moyenne.







