
Une ordonnance de dernière minute de la Haute Cour, rendue le 18 décembre, a contraint le ministère de l’Intérieur à rétablir une période de « délai de départ » de 56 jours pour les personnes récemment reconnues réfugiées. Cette décision, obtenue par le cabinet d’avocats Deighton Pierce Glynn lors d’une procédure d’urgence, empêche environ 3 000 hommes, femmes et enfants d’être expulsés des hôtels d’asile gouvernementaux avec seulement 28 jours de préavis pendant la période des fêtes.
La pression montait depuis août, lorsque les ministres ont discrètement réduit ce délai de départ à 28 jours, malgré les preuves que le pilote de 56 jours, lancé en 2024, avait considérablement réduit le sans-abrisme chez les réfugiés. Plus de 60 ONG, dont la Croix-Rouge britannique, avaient alerté sur le risque de voir des milliers de personnes se retrouver sans ressources en plein hiver.
Selon l’ordonnance, les agents en charge des dossiers doivent désormais prolonger le préavis à 56 jours dès qu’il existe un « risque imminent de sans-abrisme ». Les militants soulignent que ce délai supplémentaire offre aux réfugiés un temps précieux pour s’enregistrer auprès des autorités locales, ouvrir un compte bancaire et trouver un emploi ou des prestations sociales – des démarches souvent impossibles à réaliser en seulement quatre semaines, surtout pendant la fermeture des services à Noël.
Pour ceux qui rencontrent des difficultés avec les formalités liées à l’immigration ou pour accompagner les nouveaux arrivants vers un statut légal sécurisé, des services comme VisaHQ apportent une aide concrète. Via son portail britannique (https://www.visahq.com/united-kingdom/), VisaHQ propose des guides clairs, étape par étape, et des vérifications de documents, aidant réfugiés, employeurs et autorités locales à soumettre correctement et à temps leurs demandes ou renouvellements.
Concrètement, les employeurs et les conseils locaux qui dépendent du travail des réfugiés nouvellement reconnus disposent d’un mois supplémentaire pour faciliter leur intégration, limitant ainsi les pertes soudaines de logement qui pourraient compromettre des offres d’emploi. Toutefois, cette ordonnance ne concerne pas les centaines de personnes déjà expulsées depuis août, laissant les associations dans l’urgence pour trouver des solutions d’hébergement aux sans-abris.
Les avocats spécialisés en immigration estiment que cette affaire envoie un avertissement au ministère de l’Intérieur : les mesures d’austérité qui risquent de plonger des personnes dans la précarité seront soumises à un contrôle judiciaire. Les organisations professionnelles soulignent également que prévenir le sans-abrisme allège la charge des collectivités locales et évite des retombées médiatiques négatives qui pourraient nuire à la réputation du Royaume-Uni comme terre d’accueil pour les migrants humanitaires et les employeurs qui ont besoin de leurs compétences.
La pression montait depuis août, lorsque les ministres ont discrètement réduit ce délai de départ à 28 jours, malgré les preuves que le pilote de 56 jours, lancé en 2024, avait considérablement réduit le sans-abrisme chez les réfugiés. Plus de 60 ONG, dont la Croix-Rouge britannique, avaient alerté sur le risque de voir des milliers de personnes se retrouver sans ressources en plein hiver.
Selon l’ordonnance, les agents en charge des dossiers doivent désormais prolonger le préavis à 56 jours dès qu’il existe un « risque imminent de sans-abrisme ». Les militants soulignent que ce délai supplémentaire offre aux réfugiés un temps précieux pour s’enregistrer auprès des autorités locales, ouvrir un compte bancaire et trouver un emploi ou des prestations sociales – des démarches souvent impossibles à réaliser en seulement quatre semaines, surtout pendant la fermeture des services à Noël.
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Les avocats spécialisés en immigration estiment que cette affaire envoie un avertissement au ministère de l’Intérieur : les mesures d’austérité qui risquent de plonger des personnes dans la précarité seront soumises à un contrôle judiciaire. Les organisations professionnelles soulignent également que prévenir le sans-abrisme allège la charge des collectivités locales et évite des retombées médiatiques négatives qui pourraient nuire à la réputation du Royaume-Uni comme terre d’accueil pour les migrants humanitaires et les employeurs qui ont besoin de leurs compétences.









