
L’ambassade de la République tchèque à Addis-Abeba a confirmé que sa section consulaire et des visas sera fermée du 24 au 26 décembre 2025 en raison des fêtes de Noël et de besoins opérationnels internes. Les activités reprendront normalement le lundi 29 décembre.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette fermeture de trois jours représente bien plus qu’un simple désagrément saisonnier. Addis-Abeba est l’une des deux seules missions tchèques en Afrique subsaharienne autorisées à traiter les demandes de visa long séjour et de carte d’employé dans le cadre des programmes tchèques pour travailleurs qualifiés et personnels hautement qualifiés. Une semaine entière de créneaux de rendez-vous disparaît ainsi, alors que les entreprises industrielles et d’ingénierie finalisent les dates de début en janvier pour leurs recrues venues d’Éthiopie et du Kenya voisin. Les sociétés qui manqueront cette fenêtre de décembre risquent de voir l’intégration de leurs employés repoussée à fin février, compromettant ainsi les calendriers de projets et la planification des paies.
Les équipes RH ont été invitées à reprogrammer immédiatement leurs rendez-vous via le système de réservation par e-mail de l’ambassade et à anticiper les retards postaux liés à la période festive lors de l’envoi des documents apostillés et des certificats de police. Les avocats spécialisés en immigration rappellent que les candidats nécessitant un déplacement urgent ne peuvent pas automatiquement transférer leur dossier vers une autre représentation européenne, sauf dans le cadre des accords tchèques avec la France ou l’Allemagne. Tous les autres devront patienter jusqu’à la réouverture du bureau d’Addis.
Face à cette situation, de nombreux employeurs se tournent vers la plateforme en ligne VisaHQ pour suivre la disponibilité des créneaux, obtenir des listes de documents à jour et programmer les enlèvements de courriers dès la réouverture des guichets. Le portail dédié à la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) regroupe les exigences pour les visas long séjour, les cartes d’employé et les entrées Schengen, permettant aux équipes mobilité de téléverser leurs dossiers pour un pré-contrôle et de recevoir des alertes automatiques dès l’ouverture des fenêtres de dépôt.
Les spécialistes de la mobilité recommandent des mesures de contingence telles que l’intégration à distance ou l’obtention de visas Schengen de courte durée délivrés par des États partenaires pour pallier cette interruption. Les entreprises peuvent également recourir à des plateformes tierces de préparation de visas qui pré-contrôlent les dossiers et organisent les enlèvements de courriers afin que les demandes soient prêtes à être déposées dès la réouverture. Parallèlement, les autorités tchèques sont incitées à étendre les options de dépôt numérique en 2026 pour réduire la vulnérabilité liée à la fermeture d’une mission unique.
À plus long terme, cet épisode met en lumière la fragilité du réseau tchèque en Afrique. Les groupes d’affaires ont à plusieurs reprises demandé au ministère tchèque des Affaires étrangères d’augmenter les effectifs ou de créer des centres régionaux de visas pour faire face à la demande croissante d’ingénieurs et de spécialistes IT africains. Reste à voir si le nouveau gouvernement allouera des ressources dans le cadre de sa politique migratoire plus stricte.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette fermeture de trois jours représente bien plus qu’un simple désagrément saisonnier. Addis-Abeba est l’une des deux seules missions tchèques en Afrique subsaharienne autorisées à traiter les demandes de visa long séjour et de carte d’employé dans le cadre des programmes tchèques pour travailleurs qualifiés et personnels hautement qualifiés. Une semaine entière de créneaux de rendez-vous disparaît ainsi, alors que les entreprises industrielles et d’ingénierie finalisent les dates de début en janvier pour leurs recrues venues d’Éthiopie et du Kenya voisin. Les sociétés qui manqueront cette fenêtre de décembre risquent de voir l’intégration de leurs employés repoussée à fin février, compromettant ainsi les calendriers de projets et la planification des paies.
Les équipes RH ont été invitées à reprogrammer immédiatement leurs rendez-vous via le système de réservation par e-mail de l’ambassade et à anticiper les retards postaux liés à la période festive lors de l’envoi des documents apostillés et des certificats de police. Les avocats spécialisés en immigration rappellent que les candidats nécessitant un déplacement urgent ne peuvent pas automatiquement transférer leur dossier vers une autre représentation européenne, sauf dans le cadre des accords tchèques avec la France ou l’Allemagne. Tous les autres devront patienter jusqu’à la réouverture du bureau d’Addis.
Face à cette situation, de nombreux employeurs se tournent vers la plateforme en ligne VisaHQ pour suivre la disponibilité des créneaux, obtenir des listes de documents à jour et programmer les enlèvements de courriers dès la réouverture des guichets. Le portail dédié à la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) regroupe les exigences pour les visas long séjour, les cartes d’employé et les entrées Schengen, permettant aux équipes mobilité de téléverser leurs dossiers pour un pré-contrôle et de recevoir des alertes automatiques dès l’ouverture des fenêtres de dépôt.
Les spécialistes de la mobilité recommandent des mesures de contingence telles que l’intégration à distance ou l’obtention de visas Schengen de courte durée délivrés par des États partenaires pour pallier cette interruption. Les entreprises peuvent également recourir à des plateformes tierces de préparation de visas qui pré-contrôlent les dossiers et organisent les enlèvements de courriers afin que les demandes soient prêtes à être déposées dès la réouverture. Parallèlement, les autorités tchèques sont incitées à étendre les options de dépôt numérique en 2026 pour réduire la vulnérabilité liée à la fermeture d’une mission unique.
À plus long terme, cet épisode met en lumière la fragilité du réseau tchèque en Afrique. Les groupes d’affaires ont à plusieurs reprises demandé au ministère tchèque des Affaires étrangères d’augmenter les effectifs ou de créer des centres régionaux de visas pour faire face à la demande croissante d’ingénieurs et de spécialistes IT africains. Reste à voir si le nouveau gouvernement allouera des ressources dans le cadre de sa politique migratoire plus stricte.








