
L’ambassade de République tchèque au Caire a annoncé que les créneaux de rendez-vous pour les visas de « travail saisonnier » de longue durée seront ouverts le 18 décembre 2025, de 10h00 à 16h00, heure égyptienne. Seules cinq demandes seront acceptées pour l’ensemble du mois de décembre, illustrant la forte concurrence entre les travailleurs agricoles et touristiques égyptiens pour obtenir ces permis saisonniers tchèques.
Depuis le 1er juillet 2025, la mission n’accepte plus que 30 dossiers de cartes d’employé hors programme par mois, ce qui signifie que les demandeurs de visa saisonnier bénéficient désormais de toute l’attention de l’ambassade — mais aussi de sa capacité très limitée. Les candidats doivent donc être en ligne dès l’ouverture du portail de réservation, avec leurs passeports et documents justificatifs prêts à être copiés-collés.
Pour ceux qui doivent gérer cette fenêtre de soumission très restreinte, le portail VisaHQ pour la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) propose des listes de contrôle détaillées, une aide à la traduction et des rappels en temps réel des échéances, aidant ainsi les candidats et les employeurs à constituer des dossiers sans erreur bien avant l’ouverture des inscriptions.
Pour les employeurs, cette micro-quota complique la planification. Les exploitations agricoles et stations touristiques tchèques, qui dépendent de la main-d’œuvre égyptienne pour la haute saison d’avril à octobre, ont besoin de confirmations dès février afin que les travailleurs puissent réserver leurs vols et souscrire aux assurances obligatoires. Un rendez-vous manqué en décembre contraint les candidats à attendre la session de janvier, compressant les délais de traitement et risquant des arrivées tardives.
Les consultants en immigration recommandent aux entreprises de préparer à l’avance des procurations et des contrats de travail en arabe pour gagner quelques minutes lors de la soumission en ligne. Ils conseillent également de prévoir un recrutement de secours via les programmes de mobilité de main-d’œuvre de l’UE ou auprès des partenaires des Balkans, au cas où les quotas seraient rapidement atteints.
Cette annonce de l’ambassade relance les appels à Prague pour étendre ses dispositifs ciblés d’immigration économique ou pour instaurer un système à points similaire au modèle polonais simplifié pour le travail saisonnier. En attendant, les employeurs tchèques doivent chaque mois se battre contre la montre pour décrocher ces rares créneaux à l’ambassade.
Depuis le 1er juillet 2025, la mission n’accepte plus que 30 dossiers de cartes d’employé hors programme par mois, ce qui signifie que les demandeurs de visa saisonnier bénéficient désormais de toute l’attention de l’ambassade — mais aussi de sa capacité très limitée. Les candidats doivent donc être en ligne dès l’ouverture du portail de réservation, avec leurs passeports et documents justificatifs prêts à être copiés-collés.
Pour ceux qui doivent gérer cette fenêtre de soumission très restreinte, le portail VisaHQ pour la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) propose des listes de contrôle détaillées, une aide à la traduction et des rappels en temps réel des échéances, aidant ainsi les candidats et les employeurs à constituer des dossiers sans erreur bien avant l’ouverture des inscriptions.
Pour les employeurs, cette micro-quota complique la planification. Les exploitations agricoles et stations touristiques tchèques, qui dépendent de la main-d’œuvre égyptienne pour la haute saison d’avril à octobre, ont besoin de confirmations dès février afin que les travailleurs puissent réserver leurs vols et souscrire aux assurances obligatoires. Un rendez-vous manqué en décembre contraint les candidats à attendre la session de janvier, compressant les délais de traitement et risquant des arrivées tardives.
Les consultants en immigration recommandent aux entreprises de préparer à l’avance des procurations et des contrats de travail en arabe pour gagner quelques minutes lors de la soumission en ligne. Ils conseillent également de prévoir un recrutement de secours via les programmes de mobilité de main-d’œuvre de l’UE ou auprès des partenaires des Balkans, au cas où les quotas seraient rapidement atteints.
Cette annonce de l’ambassade relance les appels à Prague pour étendre ses dispositifs ciblés d’immigration économique ou pour instaurer un système à points similaire au modèle polonais simplifié pour le travail saisonnier. En attendant, les employeurs tchèques doivent chaque mois se battre contre la montre pour décrocher ces rares créneaux à l’ambassade.








