
À peine 48 heures après son investiture, la nouvelle coalition du Premier ministre Andrej Babiš a lancé son premier coup d’éclat à Bruxelles en votant pour retirer la République tchèque du Pacte européen sur la migration et l’asile. Lors de sa première réunion plénière du gouvernement, le 16 décembre, les ministres ont adopté une déclaration de programme rejetant catégoriquement les quotas obligatoires de réinstallation et menaçant de bloquer toute législation européenne liée, à moins que le pacte ne soit renégocié. Le ministre de l’Intérieur, Lubomír Metnar, a été chargé d’élaborer dans les 90 jours des règles nationales plus strictes sur l’asile et les retours.
Cette décision place Prague en confrontation directe avec Bruxelles, à seulement six mois de l’entrée en vigueur du pacte dans l’ensemble de l’Union. Selon le texte actuel, les États membres refusant d’accueillir des demandeurs d’asile relocalisés doivent verser jusqu’à 20 000 € par personne dans un « fonds de solidarité ». La République tchèque serait exemptée en 2026, car elle héberge déjà plus de 400 000 Ukrainiens, mais Babiš dénonce un mécanisme de « chantage permanent ».
Les experts en mobilité professionnelle alertent sur l’incertitude pratique pour les employeurs transférant du personnel vers le marché tchèque. Si Prague choisit finalement de se retirer de bases de données clés comme Eurodac 2 ou du Règlement sur le contrôle des frontières, les contrôles aux frontières pour les travailleurs tiers pourraient s’allonger, et les demandes de carte bleue déposées à l’étranger pourraient nécessiter des vérifications de sécurité supplémentaires. Les équipes RH sont invitées à anticiper davantage les dates de début au premier trimestre 2026 et à suivre de près les débats parlementaires pour d’éventuelles règles transitoires.
Dans ce contexte, le portail VisaHQ pour la République tchèque (https://www.visahq.com/czech-republic/) peut servir de boussole en temps réel pour les entreprises et les expatriés. Cette plateforme regroupe les dernières exigences en matière de visa, les délais de traitement et les listes de documents, tandis que ses spécialistes surveillent les évolutions politiques et communiquent avec les consulats tchèques dans le monde, aidant ainsi les voyageurs à rester en conformité et à éviter les imprévus de dernière minute.
Sur le plan diplomatique, la position tchèque devrait trouver des alliés en Pologne, en Hongrie et en Slovaquie, ouvrant la voie à une minorité de blocage au Conseil de l’UE. Les responsables bruxellois ont déjà évoqué des procédures d’infraction et la suspension des fonds de cohésion si Prague ne respecte pas les normes communes en matière d’asile. Les employeurs multinationales suivent la situation de près, car un gel des financements pourrait ralentir les modernisations des infrastructures à l’aéroport de Prague et des portiques de contrôle aux frontières, essentiels pour les déplacements professionnels.
Pour les responsables mobilité, le message est clair : la conformité aux règles d’immigration en République tchèque pourrait bientôt diverger des normes européennes. Une collaboration précoce avec les consulats tchèques et une communication proactive avec les talents internationaux seront indispensables pour éviter des retards dans les missions en cas d’escalade du conflit.
Cette décision place Prague en confrontation directe avec Bruxelles, à seulement six mois de l’entrée en vigueur du pacte dans l’ensemble de l’Union. Selon le texte actuel, les États membres refusant d’accueillir des demandeurs d’asile relocalisés doivent verser jusqu’à 20 000 € par personne dans un « fonds de solidarité ». La République tchèque serait exemptée en 2026, car elle héberge déjà plus de 400 000 Ukrainiens, mais Babiš dénonce un mécanisme de « chantage permanent ».
Les experts en mobilité professionnelle alertent sur l’incertitude pratique pour les employeurs transférant du personnel vers le marché tchèque. Si Prague choisit finalement de se retirer de bases de données clés comme Eurodac 2 ou du Règlement sur le contrôle des frontières, les contrôles aux frontières pour les travailleurs tiers pourraient s’allonger, et les demandes de carte bleue déposées à l’étranger pourraient nécessiter des vérifications de sécurité supplémentaires. Les équipes RH sont invitées à anticiper davantage les dates de début au premier trimestre 2026 et à suivre de près les débats parlementaires pour d’éventuelles règles transitoires.
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Sur le plan diplomatique, la position tchèque devrait trouver des alliés en Pologne, en Hongrie et en Slovaquie, ouvrant la voie à une minorité de blocage au Conseil de l’UE. Les responsables bruxellois ont déjà évoqué des procédures d’infraction et la suspension des fonds de cohésion si Prague ne respecte pas les normes communes en matière d’asile. Les employeurs multinationales suivent la situation de près, car un gel des financements pourrait ralentir les modernisations des infrastructures à l’aéroport de Prague et des portiques de contrôle aux frontières, essentiels pour les déplacements professionnels.
Pour les responsables mobilité, le message est clair : la conformité aux règles d’immigration en République tchèque pourrait bientôt diverger des normes européennes. Une collaboration précoce avec les consulats tchèques et une communication proactive avec les talents internationaux seront indispensables pour éviter des retards dans les missions en cas d’escalade du conflit.









