
Une nouvelle série d’avis de grève publiée aujourd’hui confirme que les travailleurs des aéroports en Italie rejoindront leurs homologues en Espagne, au Portugal, en France et au Royaume-Uni dans une vague de mouvements sociaux à l’échelle européenne entre le 20 et le 31 décembre. Selon une alerte voyage de Euronews, les aéroports de Milan-Linate, Milan-Malpensa, Venise-Marco Polo, Rome-Fiumicino, Naples et Catane ont tous activé des plans de contingence après que les syndicats ont accusé les employeurs d’un « comportement à la Grinch » lors des négociations sur les primes de fin d’année.
La mobilisation italienne s’inscrit dans la continuité de la grève de quatre heures du 17 décembre, mais étend la période de risque à toute la période de forte affluence des vacances. Les équipes de manutention des bagages et de contrôle de sécurité menacent des actions de 24 heures les 23 et 30 décembre, à moins que les négociations n’aboutissent à une amélioration des primes d’heures supplémentaires et à des garanties de renforcement des effectifs. L’exploitant aéroportuaire Aeroporti di Roma (ADR) annonce l’ouverture d’un centre d’opérations d’urgence et pourrait limiter le nombre de vols pour maintenir un service minimum. Plusieurs compagnies aériennes étrangères ont déjà suspendu les ventes de dernière minute et proposent des modifications de date gratuites.
Les responsables des voyages d’affaires sont invités à vérifier les itinéraires critiques au regard du calendrier de grèves en expansion. Lorsque la présence physique est indispensable, passer par Zurich, Vienne ou Munich – des hubs actuellement épargnés par les mouvements sociaux – pourrait réduire les risques. Pour les réunions intra-UE, les alternatives ferroviaires comme le TGV Milan-Paris et le corridor Frecciarossa Milan-Rome offrent une solution de secours, bien que leur disponibilité soit limitée en période de fêtes.
En cas de perturbations dues aux grèves nécessitant un détour par d’autres pays de l’espace Schengen ou un séjour prolongé en Italie, VisaHQ peut accélérer les ajustements de visa nécessaires, organiser des permis Schengen multi-entrées et assurer la livraison des documents par coursier, minimisant ainsi le stress administratif pendant que les compagnies aériennes réorganisent leurs horaires. Tous les détails sont disponibles sur https://www.visahq.com/italy/.
Du point de vue des programmes de mobilité, les équipes RH doivent informer les expatriés des possibles retards de retour de congés familiaux susceptibles d’impacter les plannings des projets du premier trimestre 2026. Les assureurs confirment que la plupart des polices de voyage d’affaires considèrent les perturbations liées aux grèves comme un événement assuré, mais il est nécessaire de conserver les justificatifs (par exemple, les notifications des compagnies aériennes).
La leçon plus large est la synchronisation croissante des actions syndicales en Europe : les syndicats ont compris que des arrêts simultanés maximisent leur pouvoir de négociation et leur visibilité publique. Les multinationales opérant des rotations à l’échelle européenne doivent donc revoir leurs plans de continuité d’activité pour garantir un effectif suffisant dans les fonctions critiques lorsque plusieurs juridictions subissent simultanément des perturbations des transports.
La mobilisation italienne s’inscrit dans la continuité de la grève de quatre heures du 17 décembre, mais étend la période de risque à toute la période de forte affluence des vacances. Les équipes de manutention des bagages et de contrôle de sécurité menacent des actions de 24 heures les 23 et 30 décembre, à moins que les négociations n’aboutissent à une amélioration des primes d’heures supplémentaires et à des garanties de renforcement des effectifs. L’exploitant aéroportuaire Aeroporti di Roma (ADR) annonce l’ouverture d’un centre d’opérations d’urgence et pourrait limiter le nombre de vols pour maintenir un service minimum. Plusieurs compagnies aériennes étrangères ont déjà suspendu les ventes de dernière minute et proposent des modifications de date gratuites.
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La leçon plus large est la synchronisation croissante des actions syndicales en Europe : les syndicats ont compris que des arrêts simultanés maximisent leur pouvoir de négociation et leur visibilité publique. Les multinationales opérant des rotations à l’échelle européenne doivent donc revoir leurs plans de continuité d’activité pour garantir un effectif suffisant dans les fonctions critiques lorsque plusieurs juridictions subissent simultanément des perturbations des transports.








