
Le contrôle parlementaire de la stratégie migratoire du gouvernement s’est intensifié le 16 décembre 2025, lorsque la Commission des Affaires étrangères a organisé une séance de questions orales sur le projet de traité de prévention des traversées dangereuses entre le Royaume-Uni et la France. Le ministre de la Sécurité aux frontières et de l’Asile, Alex Norris, ainsi que le directeur général du Home Office, Dan Hobbs, ont été interrogés sur le financement, le contrôle opérationnel et la conformité du traité avec le droit international des réfugiés.
Selon cet accord signé en septembre, la Grande-Bretagne apportera une contribution supplémentaire de 130 millions de livres pour des patrouilles conjointes, des drones de surveillance et des infrastructures d’accueil sur la côte française, visant à dissuader les traversées en petites embarcations. Les députés ont insisté auprès de Norris sur des objectifs mesurables, la transparence des dépenses et les garanties permettant aux migrants interceptés d’accéder aux procédures d’asile. Hobbs a reconnu que les indicateurs de performance « sont encore en cours de finalisation », mais a souligné que le traité s’appuie sur la coopération franco-britannique existante, qui a déjà réduit les traversées de 16 % d’une année sur l’autre.
Les acteurs du secteur des voyages d’affaires suivent de près ce débat, car une dissuasion efficace pourrait réduire les déploiements ponctuels des forces aux frontières dans les ports du sud-est, limitant ainsi les perturbations des flux de marchandises et de passagers. À l’inverse, des recours en justice pour atteinte aux droits humains pourraient retarder la mise en œuvre, prolongeant l’incertitude opérationnelle. Les entreprises expédiant des marchandises de grande valeur via Dover-Calais ou utilisant le tunnel sous la Manche doivent suivre l’avancement de la ratification du traité et se préparer à des contrôles périodiques à mesure que les patrouilles conjointes se renforcent.
Pour les équipes de mobilité d’entreprise souhaitant assurer la fluidité des déplacements transmanche durant cette période de transition, VisaHQ propose un accompagnement complet pour les visas, passeports et légalisation de documents via sa plateforme britannique (https://www.visahq.com/united-kingdom/). Ses alertes réglementaires en temps réel et ses gestionnaires de compte dédiés aident les entreprises à anticiper les changements de procédures liés au traité et aux réformes migratoires plus larges, garantissant la conformité des voyageurs et minimisant les perturbations.
La commission publiera son rapport début 2026 ; toute modification recommandée devra être intégrée dans le projet de loi sur la sécurité aux frontières, l’asile et l’immigration actuellement examiné par la Chambre des Lords. Les employeurs disposant de chaînes d’approvisionnement transmanche pourraient souhaiter soumettre des témoignages durant la période de consultation.
Selon cet accord signé en septembre, la Grande-Bretagne apportera une contribution supplémentaire de 130 millions de livres pour des patrouilles conjointes, des drones de surveillance et des infrastructures d’accueil sur la côte française, visant à dissuader les traversées en petites embarcations. Les députés ont insisté auprès de Norris sur des objectifs mesurables, la transparence des dépenses et les garanties permettant aux migrants interceptés d’accéder aux procédures d’asile. Hobbs a reconnu que les indicateurs de performance « sont encore en cours de finalisation », mais a souligné que le traité s’appuie sur la coopération franco-britannique existante, qui a déjà réduit les traversées de 16 % d’une année sur l’autre.
Les acteurs du secteur des voyages d’affaires suivent de près ce débat, car une dissuasion efficace pourrait réduire les déploiements ponctuels des forces aux frontières dans les ports du sud-est, limitant ainsi les perturbations des flux de marchandises et de passagers. À l’inverse, des recours en justice pour atteinte aux droits humains pourraient retarder la mise en œuvre, prolongeant l’incertitude opérationnelle. Les entreprises expédiant des marchandises de grande valeur via Dover-Calais ou utilisant le tunnel sous la Manche doivent suivre l’avancement de la ratification du traité et se préparer à des contrôles périodiques à mesure que les patrouilles conjointes se renforcent.
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