
Les statistiques récentes sur les arrivées publiées par Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) et analysées par VisaHQ révèlent qu’entre janvier et septembre 2025, le Canada a accueilli 53 % moins d’étudiants internationaux et de travailleurs temporaires étrangers pour la première fois, par rapport à la même période en 2024. Cette baisse absolue — environ 150 000 titulaires de permis d’études en moins — s’ajoute à une réduction de 10 % du plafond national des permis d’études annoncée l’an dernier, ainsi qu’à des règles plus strictes sur la preuve de fonds entrées en vigueur en juillet.
Les chiffres de septembre sont particulièrement frappants : seulement 11 390 nouveaux étudiants sont arrivés, contre 45 200 en août. Les universités dépendant des frais de scolarité internationaux tirent la sonnette d’alarme, évoquant des fermetures de programmes et des suppressions de postes. Des secteurs comme l’hôtellerie et l’agroalimentaire, qui comptent sur la main-d’œuvre étrangère saisonnière, signalent un resserrement des recrutements via le Programme de mobilité internationale et anticipent un recours accru au plus contraignant Programme des travailleurs étrangers temporaires.
Dans ce contexte, le portail Canada de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose des listes de contrôle actualisées, des calculateurs de frais en temps réel et des spécialistes disponibles pour signaler les quotas spécifiques à chaque province avant toute demande. Ce service aide étudiants, employeurs et gestionnaires de mobilité à s’adapter à des voies alternatives et à éviter les retards liés au resserrement des plafonds fédéraux.
Ottawa affirme que cette contraction est volontaire. Le gouvernement fédéral soutient que la réduction des flux allégera la pression sur le logement et les services de santé, tout en réajustant l’immigration pour mieux répondre aux besoins du marché du travail. Le Plan des niveaux d’immigration 2026-28, attendu en février, précisera si d’autres plafonds sont à prévoir ou si les provinces pourront négocier des allocations en fonction de leur capacité de logement démontrée.
Pour les gestionnaires de mobilité en entreprise, le message est clair : anticiper des délais plus longs et explorer plus tôt les voies provinciales ou les options d’évaluation de l’impact sur le marché du travail (EIMT) dans le cycle de recrutement. De leur côté, les établissements d’enseignement militent pour des plafonds incitatifs récompensant les institutions investissant dans la construction de résidences et le développement économique régional.
VisaHQ, à l’origine de cette analyse, recommande aux futurs étudiants de vérifier scrupuleusement la validation de leur lettre d’acceptation et de disposer de fonds liquides largement supérieurs au nouveau minimum de 20 635 CAD afin d’éviter tout refus.
Les chiffres de septembre sont particulièrement frappants : seulement 11 390 nouveaux étudiants sont arrivés, contre 45 200 en août. Les universités dépendant des frais de scolarité internationaux tirent la sonnette d’alarme, évoquant des fermetures de programmes et des suppressions de postes. Des secteurs comme l’hôtellerie et l’agroalimentaire, qui comptent sur la main-d’œuvre étrangère saisonnière, signalent un resserrement des recrutements via le Programme de mobilité internationale et anticipent un recours accru au plus contraignant Programme des travailleurs étrangers temporaires.
Dans ce contexte, le portail Canada de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose des listes de contrôle actualisées, des calculateurs de frais en temps réel et des spécialistes disponibles pour signaler les quotas spécifiques à chaque province avant toute demande. Ce service aide étudiants, employeurs et gestionnaires de mobilité à s’adapter à des voies alternatives et à éviter les retards liés au resserrement des plafonds fédéraux.
Ottawa affirme que cette contraction est volontaire. Le gouvernement fédéral soutient que la réduction des flux allégera la pression sur le logement et les services de santé, tout en réajustant l’immigration pour mieux répondre aux besoins du marché du travail. Le Plan des niveaux d’immigration 2026-28, attendu en février, précisera si d’autres plafonds sont à prévoir ou si les provinces pourront négocier des allocations en fonction de leur capacité de logement démontrée.
Pour les gestionnaires de mobilité en entreprise, le message est clair : anticiper des délais plus longs et explorer plus tôt les voies provinciales ou les options d’évaluation de l’impact sur le marché du travail (EIMT) dans le cycle de recrutement. De leur côté, les établissements d’enseignement militent pour des plafonds incitatifs récompensant les institutions investissant dans la construction de résidences et le développement économique régional.
VisaHQ, à l’origine de cette analyse, recommande aux futurs étudiants de vérifier scrupuleusement la validation de leur lettre d’acceptation et de disposer de fonds liquides largement supérieurs au nouveau minimum de 20 635 CAD afin d’éviter tout refus.







