
Des organisations de la société civile ont tiré la sonnette d’alarme le 12 décembre 2025, après des fuites indiquant que la ministre de l’Intérieur, Shabana Mahmood, proposerait de remplacer le statut de réfugié permanent par des autorisations renouvelables de deux ans et demi, révoquées dès que le pays d’origine d’un individu est jugé sûr. Selon le Morning Star, ce projet prévoit également de doubler la durée de résidence requise pour la régularisation à 20 ans et de supprimer l’obligation légale de fournir un soutien aux demandeurs d’asile considérés comme « aptes au travail ».
Des associations telles que le Refugee Council et le Scottish Refugee Council alertent sur le fait que ces changements plongeraient les personnes dans une situation d’incertitude prolongée et les contraindraient à accepter des emplois informels, affaiblissant ainsi le contrôle du marché du travail alors que les sanctions civiles se renforcent. Elles préviennent également que les employeurs pourraient être submergés par une augmentation des demandes de vérification du droit au travail, les statuts de visa devenant plus complexes et temporaires.
Pour les organisations qui doivent s’adapter rapidement à ces nouvelles catégories de visas ou vérifier les autorisations fluctuantes de leurs employés, VisaHQ propose un accompagnement en temps réel et un soutien aux démarches. Cette plateforme londonienne (https://www.visahq.com/united-kingdom/) suit quotidiennement les évolutions réglementaires et facilite le traitement des documents, aidant employeurs et réfugiés à trouver des solutions conformes pendant que le cadre législatif évolue.
La ministre de l’Intérieur défend ces propositions comme une « mission morale » visant à restaurer la confiance dans le système d’immigration, citant des réformes à la danoise qui, selon elle, ont réduit les arrivées tout en maintenant une voie pour la réinstallation d’urgence. Les groupes patronaux n’ont pas encore réagi officiellement, mais les analystes soulignent que rendre le statut de réfugié provisoire pourrait limiter l’accès aux compétences dans des secteurs comme la santé et la logistique, qui recrutent actuellement des réfugiés via la voie des travailleurs qualifiés après régularisation.
Tout projet de loi devra être adopté par les deux chambres début 2026 pour entrer en vigueur avant la prochaine élection générale. Les entreprises employant ou parrainant des personnes issues de parcours humanitaires doivent suivre de près le calendrier législatif et se préparer à adapter rapidement leurs politiques RH si ce nouveau régime est mis en place.
Des associations telles que le Refugee Council et le Scottish Refugee Council alertent sur le fait que ces changements plongeraient les personnes dans une situation d’incertitude prolongée et les contraindraient à accepter des emplois informels, affaiblissant ainsi le contrôle du marché du travail alors que les sanctions civiles se renforcent. Elles préviennent également que les employeurs pourraient être submergés par une augmentation des demandes de vérification du droit au travail, les statuts de visa devenant plus complexes et temporaires.
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Tout projet de loi devra être adopté par les deux chambres début 2026 pour entrer en vigueur avant la prochaine élection générale. Les entreprises employant ou parrainant des personnes issues de parcours humanitaires doivent suivre de près le calendrier législatif et se préparer à adapter rapidement leurs politiques RH si ce nouveau régime est mis en place.








