
La Chambre des représentants de Chypre a voté pour prolonger le délai accordé aux personnes déplacées afin de demander des subventions d’intérêts sur les prêts immobiliers, passant de 12 à 24 mois. Ce dispositif, géré par l’Agence centrale pour la répartition équitable des charges (CAEDB), aide principalement les réfugiés chypriotes grecs déplacés en 1974 à financer l’achat ou la rénovation de leur logement.
Le parti de gauche AKEL avait proposé de supprimer totalement ces délais, estimant que la bureaucratie avait déjà empêché de nombreux demandeurs d’en bénéficier. Mais ses opposants ont mis en garde contre les risques de coûts exponentiels et de désorganisation administrative qu’un dispositif sans limite pourrait engendrer.
Pour les familles déplacées ayant également besoin de documents de voyage ou de permis de séjour, des services comme VisaHQ facilitent les démarches de demande de visa et de passeport. Le portail chypriote de l’entreprise (https://www.visahq.com/cyprus/) propose un accompagnement pas à pas, des listes de documents à fournir et un service de messagerie, simplifiant ainsi l’obtention des papiers nécessaires avant de solliciter la subvention au logement.
L’amendement de compromis, présenté par le Parti démocrate (DIKO) après un débat animé, a été adopté par 25 voix contre 13, avec deux abstentions, et intégré dans le projet de loi final approuvé à l’unanimité le 12 décembre.
Pour les familles concernées, cette mesure offre une année supplémentaire pour rassembler les documents et obtenir l’accord des banques, un avantage non négligeable dans un contexte de forte volatilité des taux hypothécaires. Les conseillers en immigration soulignent que les réfugiés naturalisés et leurs proches citoyens de l’UE comptent souvent sur cette aide lors de leur retour à Chypre pour des missions professionnelles ; ce délai élargi devrait réduire les précipitations de dernière minute qui retardent le démarrage des projets.
Les banques mettent désormais à jour leurs directives internes, tandis que les associations de réfugiés réclament un renforcement des effectifs à la CAEDB pour éviter les retards de traitement. Le ministère de l’Intérieur doit publier les règlements d’application dans un délai d’un mois, après quoi les formulaires de demande actualisés seront disponibles en ligne.
Le parti de gauche AKEL avait proposé de supprimer totalement ces délais, estimant que la bureaucratie avait déjà empêché de nombreux demandeurs d’en bénéficier. Mais ses opposants ont mis en garde contre les risques de coûts exponentiels et de désorganisation administrative qu’un dispositif sans limite pourrait engendrer.
Pour les familles déplacées ayant également besoin de documents de voyage ou de permis de séjour, des services comme VisaHQ facilitent les démarches de demande de visa et de passeport. Le portail chypriote de l’entreprise (https://www.visahq.com/cyprus/) propose un accompagnement pas à pas, des listes de documents à fournir et un service de messagerie, simplifiant ainsi l’obtention des papiers nécessaires avant de solliciter la subvention au logement.
L’amendement de compromis, présenté par le Parti démocrate (DIKO) après un débat animé, a été adopté par 25 voix contre 13, avec deux abstentions, et intégré dans le projet de loi final approuvé à l’unanimité le 12 décembre.
Pour les familles concernées, cette mesure offre une année supplémentaire pour rassembler les documents et obtenir l’accord des banques, un avantage non négligeable dans un contexte de forte volatilité des taux hypothécaires. Les conseillers en immigration soulignent que les réfugiés naturalisés et leurs proches citoyens de l’UE comptent souvent sur cette aide lors de leur retour à Chypre pour des missions professionnelles ; ce délai élargi devrait réduire les précipitations de dernière minute qui retardent le démarrage des projets.
Les banques mettent désormais à jour leurs directives internes, tandis que les associations de réfugiés réclament un renforcement des effectifs à la CAEDB pour éviter les retards de traitement. Le ministère de l’Intérieur doit publier les règlements d’application dans un délai d’un mois, après quoi les formulaires de demande actualisés seront disponibles en ligne.










