
La Chambre des communes a donné, le 11 décembre, son approbation en troisième lecture au projet de loi C-12, intitulé Loi sur le renforcement du système d’immigration et des frontières du Canada, envoyant ainsi la législation au Sénat avec le soutien de tous les partis. Ce projet de loi omnibus modifie la Loi sur les douanes pour obliger les propriétaires des installations aux points d’entrée à fournir gratuitement des espaces à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et confère aux agents de nouveaux pouvoirs pour inspecter les marchandises à l’exportation dans les entrepôts.
Il codifie également les protocoles d’échange d’informations entre l’ASFC et Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), permettant des mises à jour en temps réel sur les dépassements de visa et les ordres de renvoi. Pour les entreprises multinationales qui déplacent marchandises et personnel à travers la frontière canado-américaine, la nouveauté la plus pratique est la création de « zones désignées de pré-exportation », où les exportateurs peuvent effectuer le dédouanement numérique avant l’arrivée des marchandises aux terminaux maritimes ou aériens, promettant ainsi des délais plus courts et moins de blocages de dernière minute.
Les entreprises suivant ces évolutions pourraient trouver utile de recourir à un service spécialisé. Le portail canadien de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose des outils de validation en temps réel des visas et AVE, des alertes personnalisées de conformité, ainsi que des options de traitement en masse intégrables aux flux de travail des déplacements d’entreprise, aidant ainsi les transporteurs et les équipes mobilité à s’adapter rapidement aux nouvelles règles de partage de données et de responsabilité des transporteurs introduites par le projet de loi C-12.
Le projet de loi instaure également des sanctions administratives pécuniaires pour les transporteurs qui acheminent des étrangers sans autorisation électronique de voyage valide, alignant les amendes sur les régimes américains et européens. Les transporteurs et les agences de gestion de voyages devront mettre à jour leurs listes de conformité dès la publication des règlements, prévue pour début 2026.
Si les groupes d’affaires soutiennent majoritairement le projet, certains défenseurs des libertés civiles craignent que l’élargissement des pouvoirs de contrôle à l’exportation ne concerne aussi les appareils électroniques personnels. Le ministre de la Sécurité publique a promis un examen parlementaire après la première année de mise en œuvre.
Sous réserve d’une approbation rapide du Sénat, la plupart des dispositions entreront en vigueur 90 jours après la sanction royale, probablement au printemps 2026, offrant aux équipes mobilité des entreprises un délai court pour adapter leurs processus internes et leurs modules de formation des employés.
Il codifie également les protocoles d’échange d’informations entre l’ASFC et Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), permettant des mises à jour en temps réel sur les dépassements de visa et les ordres de renvoi. Pour les entreprises multinationales qui déplacent marchandises et personnel à travers la frontière canado-américaine, la nouveauté la plus pratique est la création de « zones désignées de pré-exportation », où les exportateurs peuvent effectuer le dédouanement numérique avant l’arrivée des marchandises aux terminaux maritimes ou aériens, promettant ainsi des délais plus courts et moins de blocages de dernière minute.
Les entreprises suivant ces évolutions pourraient trouver utile de recourir à un service spécialisé. Le portail canadien de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose des outils de validation en temps réel des visas et AVE, des alertes personnalisées de conformité, ainsi que des options de traitement en masse intégrables aux flux de travail des déplacements d’entreprise, aidant ainsi les transporteurs et les équipes mobilité à s’adapter rapidement aux nouvelles règles de partage de données et de responsabilité des transporteurs introduites par le projet de loi C-12.
Le projet de loi instaure également des sanctions administratives pécuniaires pour les transporteurs qui acheminent des étrangers sans autorisation électronique de voyage valide, alignant les amendes sur les régimes américains et européens. Les transporteurs et les agences de gestion de voyages devront mettre à jour leurs listes de conformité dès la publication des règlements, prévue pour début 2026.
Si les groupes d’affaires soutiennent majoritairement le projet, certains défenseurs des libertés civiles craignent que l’élargissement des pouvoirs de contrôle à l’exportation ne concerne aussi les appareils électroniques personnels. Le ministre de la Sécurité publique a promis un examen parlementaire après la première année de mise en œuvre.
Sous réserve d’une approbation rapide du Sénat, la plupart des dispositions entreront en vigueur 90 jours après la sanction royale, probablement au printemps 2026, offrant aux équipes mobilité des entreprises un délai court pour adapter leurs processus internes et leurs modules de formation des employés.











