
L’Italie a officiellement achevé le processus législatif de son nouveau programme triennal de quotas d’immigration. Le 11 décembre 2025, le Journal Officiel a publié la loi 179/2025, qui transforme le décret-loi du 3 octobre sur les flux migratoires en loi ordinaire. Cette mesure confirme un nombre record de 497 550 places de visas de travail pour les ressortissants non-UE entre 2026 et 2028 (164 850 en 2026, 165 850 en 2027 et 166 850 en 2028) et met immédiatement le décret en vigueur.
Ce quota dépasse de près de 50 000 places le précédent plan triennal et vise à aider les employeurs italiens à combler des pénuries structurelles dans les secteurs de l’agriculture, du tourisme, de la logistique, du bâtiment et des soins à la personne. Le travail saisonnier domine (267 000 places), mais le décret réserve également des places pour les travailleurs hautement qualifiés, les conducteurs routiers, les fondateurs de start-up et les transferts intra-entreprises. Notamment, le visa pour nomades numériques et la Carte Bleue européenne restent hors du système de quotas, offrant aux entreprises des voies supplémentaires pour recruter des talents hors UE.
Plusieurs réformes procédurales visent à rendre le système plus favorable aux entreprises. Le délai maximal pour que les autorités du travail délivrent un « nulla osta » (autorisation de travail) est réduit à 30 jours ; les employeurs soumettront leurs demandes entièrement en ligne via un nouveau portail unifié qui pré-remplira les données des dossiers précédents. Pour 2026, le premier « click-day » — jour d’ouverture des candidatures — est fixé au 12 janvier et sera dédié aux recrutements saisonniers agricoles, permettant aux agriculteurs d’embaucher avant les plantations de printemps. Les ministères doivent publier dans les semaines à venir des circulaires détaillées d’application, et les équipes RH sont invitées à préparer leurs dossiers à l’avance, car les quotas se remplissent généralement en quelques heures.
Alors que les entreprises et les candidats se préparent pour le click-day de janvier, beaucoup chercheront une assistance fiable pour constituer les dossiers requis. La page dédiée à l’Italie sur VisaHQ (https://www.visahq.com/italy/) propose une plateforme intuitive pour la préparation des visas, la légalisation des documents et la prise de rendez-vous, offrant aux employeurs et aux candidats un suivi en temps réel et un soutien expert afin que leurs dossiers soient complets dès l’ouverture des quotas.
La loi renforce également la conformité : les entreprises condamnées pour exploitation du travail seront interdites de parrainage de visas pendant deux ans, et les inspections aléatoires sur les lieux de travail doubleront en 2026. Du côté des salariés, le gouvernement a simplifié les règles de regroupement familial et prolongé la validité des permis de séjour pour protection sociale à un an.
Pour les employeurs multinationaux, la principale leçon est la planification stratégique. Les entreprises qui ont manqué les quotas en 2025 disposent désormais d’une visibilité pour organiser leur recrutement à moyen terme, tandis que celles ayant des besoins urgents peuvent se tourner vers des voies hors quota comme le permis ICT ou le visa pour nomades numériques encore en phase de développement. Les recruteurs doivent également surveiller les tableaux d’allocation par pays : l’Italie continue de réserver des sous-quotas spéciaux aux États coopérant dans les campagnes de lutte contre l’immigration irrégulière, favorisant les travailleurs originaires d’Albanie, de Tunisie, d’Égypte et des Philippines.
Ce quota dépasse de près de 50 000 places le précédent plan triennal et vise à aider les employeurs italiens à combler des pénuries structurelles dans les secteurs de l’agriculture, du tourisme, de la logistique, du bâtiment et des soins à la personne. Le travail saisonnier domine (267 000 places), mais le décret réserve également des places pour les travailleurs hautement qualifiés, les conducteurs routiers, les fondateurs de start-up et les transferts intra-entreprises. Notamment, le visa pour nomades numériques et la Carte Bleue européenne restent hors du système de quotas, offrant aux entreprises des voies supplémentaires pour recruter des talents hors UE.
Plusieurs réformes procédurales visent à rendre le système plus favorable aux entreprises. Le délai maximal pour que les autorités du travail délivrent un « nulla osta » (autorisation de travail) est réduit à 30 jours ; les employeurs soumettront leurs demandes entièrement en ligne via un nouveau portail unifié qui pré-remplira les données des dossiers précédents. Pour 2026, le premier « click-day » — jour d’ouverture des candidatures — est fixé au 12 janvier et sera dédié aux recrutements saisonniers agricoles, permettant aux agriculteurs d’embaucher avant les plantations de printemps. Les ministères doivent publier dans les semaines à venir des circulaires détaillées d’application, et les équipes RH sont invitées à préparer leurs dossiers à l’avance, car les quotas se remplissent généralement en quelques heures.
Alors que les entreprises et les candidats se préparent pour le click-day de janvier, beaucoup chercheront une assistance fiable pour constituer les dossiers requis. La page dédiée à l’Italie sur VisaHQ (https://www.visahq.com/italy/) propose une plateforme intuitive pour la préparation des visas, la légalisation des documents et la prise de rendez-vous, offrant aux employeurs et aux candidats un suivi en temps réel et un soutien expert afin que leurs dossiers soient complets dès l’ouverture des quotas.
La loi renforce également la conformité : les entreprises condamnées pour exploitation du travail seront interdites de parrainage de visas pendant deux ans, et les inspections aléatoires sur les lieux de travail doubleront en 2026. Du côté des salariés, le gouvernement a simplifié les règles de regroupement familial et prolongé la validité des permis de séjour pour protection sociale à un an.
Pour les employeurs multinationaux, la principale leçon est la planification stratégique. Les entreprises qui ont manqué les quotas en 2025 disposent désormais d’une visibilité pour organiser leur recrutement à moyen terme, tandis que celles ayant des besoins urgents peuvent se tourner vers des voies hors quota comme le permis ICT ou le visa pour nomades numériques encore en phase de développement. Les recruteurs doivent également surveiller les tableaux d’allocation par pays : l’Italie continue de réserver des sous-quotas spéciaux aux États coopérant dans les campagnes de lutte contre l’immigration irrégulière, favorisant les travailleurs originaires d’Albanie, de Tunisie, d’Égypte et des Philippines.










