
Les ministres de l’Intérieur européens ont conclu un accord politique à Bruxelles le 10 décembre pour renforcer les règles d’asile et de retour, approuvant la création de « centres de retour dans des pays tiers sûrs » en dehors de l’UE. La Première ministre italienne Giorgia Meloni a immédiatement salué cet accord, affirmant que son protocole bilatéral avec l’Albanie devient désormais une « pratique européenne standard ».
Le paquet européen — adopté par une coalition de partis de centre-droit et d’extrême droite — prolonge les périodes de détention, simplifie les procédures aux frontières et officialise une liste européenne des pays d’origine sûrs. Essentiel pour l’Italie, il établit une base juridique permettant aux États membres de transférer les demandeurs d’asile déboutés vers des partenaires hors UE, sous réserve de garanties minimales. Le projet italien de traiter jusqu’à 3 000 migrants par mois dans deux camps près de Shëngjin et Gjadër était bloqué par des recours juridiques ; les juristes gouvernementaux estiment désormais que ce nouveau cadre européen lève les principaux obstacles.
Les partis d’opposition et les ONG mettent en garde contre le risque que l’externalisation de l’asile porte atteinte aux droits fondamentaux et expose les migrants à une détention indéfinie. L’Albanie s’est engagée à appliquer les normes européennes, mais le Parlement européen doit encore co-décider des textes législatifs finaux. Parallèlement, Rome et Tirana travaillent à la modernisation des infrastructures, notamment avec des salles d’audience sécurisées en visioconférence pour que les juges italiens puissent traiter les appels à distance.
Pour les entreprises et particuliers souhaitant suivre l’évolution du cadre migratoire italien, VisaHQ constitue une ressource complète. Son portail dédié à l’Italie (https://www.visahq.com/italy/) propose des mises à jour en temps réel sur les catégories de visas, des listes de documents à fournir et un accompagnement personnalisé, aidant voyageurs et équipes RH à éviter les erreurs de conformité dans un contexte réglementaire de plus en plus strict.
Pour les équipes de mobilité internationale, cette évolution a deux implications majeures. D’une part, elle annonce un durcissement des contrôles en Italie : les autorités prévoient des décisions négatives plus rapides et des expulsions accélérées, ce qui pourrait réduire le nombre de personnes en situation irrégulière mais aussi renforcer les vérifications sur les travailleurs légitimes détachés. D’autre part, l’élan politique en faveur du traitement offshore pourrait inciter d’autres États membres à suivre l’exemple italien, compliquant potentiellement les stratégies de détachement intra-UE pour les ressortissants de pays tiers.
Les experts juridiques recommandent aux entreprises de veiller à ce que les travailleurs détachés disposent de tous les documents attestant de leur statut et de leur emploi lors de tout déplacement en Italie ou à l’extérieur. Les premiers transferts vers l’Albanie pourraient débuter dès mars 2026, sous réserve de l’approbation parlementaire.
Le paquet européen — adopté par une coalition de partis de centre-droit et d’extrême droite — prolonge les périodes de détention, simplifie les procédures aux frontières et officialise une liste européenne des pays d’origine sûrs. Essentiel pour l’Italie, il établit une base juridique permettant aux États membres de transférer les demandeurs d’asile déboutés vers des partenaires hors UE, sous réserve de garanties minimales. Le projet italien de traiter jusqu’à 3 000 migrants par mois dans deux camps près de Shëngjin et Gjadër était bloqué par des recours juridiques ; les juristes gouvernementaux estiment désormais que ce nouveau cadre européen lève les principaux obstacles.
Les partis d’opposition et les ONG mettent en garde contre le risque que l’externalisation de l’asile porte atteinte aux droits fondamentaux et expose les migrants à une détention indéfinie. L’Albanie s’est engagée à appliquer les normes européennes, mais le Parlement européen doit encore co-décider des textes législatifs finaux. Parallèlement, Rome et Tirana travaillent à la modernisation des infrastructures, notamment avec des salles d’audience sécurisées en visioconférence pour que les juges italiens puissent traiter les appels à distance.
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Les experts juridiques recommandent aux entreprises de veiller à ce que les travailleurs détachés disposent de tous les documents attestant de leur statut et de leur emploi lors de tout déplacement en Italie ou à l’extérieur. Les premiers transferts vers l’Albanie pourraient débuter dès mars 2026, sous réserve de l’approbation parlementaire.










