
La compagnie aérienne Air Transat, basée à Montréal, et l’Air Line Pilots Association (ALPA) ont conclu un accord provisoire de cinq ans tard dans la soirée du 10 décembre 2025, quelques heures seulement avant que les pilotes ne puissent légalement déclencher une grève. Cet accord met fin à une impasse tendue qui avait déjà conduit à un plan d’arrêt contrôlé et à l’annulation de dizaines de vols.
Bien que les termes complets restent confidentiels en attendant la ratification des membres, les propositions antérieures de la compagnie incluaient des augmentations salariales pouvant atteindre 59 % ainsi que des améliorations des règles de planification. La reprise opérationnelle immédiate a débuté le 11 décembre, avec une priorité donnée aux vols long-courriers vers l’Europe et les Caraïbes afin d’éviter le chaos durant la période des fêtes.
Dans le contexte de ces évolutions dans le secteur aérien, les entreprises négligent souvent la planification des visas et des exigences d’entrée. Le portail canadien de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose un tableau de bord intégré permettant aux équipes mobilité de consulter les règles de visa, de soumettre des demandes et de recevoir des mises à jour en temps réel — un outil particulièrement utile lors du réacheminement des voyageurs vers d’autres compagnies ou destinations en cas de perturbations soudaines.
Pour les équipes de mobilité internationale, cet accord évite des perturbations majeures pour les collaborateurs en mission ou en rotation qui dépendent du réseau transatlantique d’Air Transat. Cet épisode souligne toutefois la pression croissante sur les coûts salariaux dans le secteur aérien canadien, après une série de conflits sociaux en 2025 chez Air Canada, WestJet et Sunwing.
Les responsables voyages doivent mettre à jour leurs matrices de risques pour intégrer la possibilité d’actions syndicales de dernière minute et s’assurer que leurs systèmes de suivi des voyageurs intègrent les alertes spécifiques aux compagnies aériennes. Les clauses contractuelles relatives au réacheminement et aux obligations de diligence pourraient nécessiter une révision avant la haute saison 2026.
L’ALPA organisera un vote de ratification dans les deux semaines. En cas de rejet, un nouvel avis de grève de 72 heures pourrait relancer le conflit, même si les observateurs estiment que le compromis sera largement approuvé.
Bien que les termes complets restent confidentiels en attendant la ratification des membres, les propositions antérieures de la compagnie incluaient des augmentations salariales pouvant atteindre 59 % ainsi que des améliorations des règles de planification. La reprise opérationnelle immédiate a débuté le 11 décembre, avec une priorité donnée aux vols long-courriers vers l’Europe et les Caraïbes afin d’éviter le chaos durant la période des fêtes.
Dans le contexte de ces évolutions dans le secteur aérien, les entreprises négligent souvent la planification des visas et des exigences d’entrée. Le portail canadien de VisaHQ (https://www.visahq.com/canada/) propose un tableau de bord intégré permettant aux équipes mobilité de consulter les règles de visa, de soumettre des demandes et de recevoir des mises à jour en temps réel — un outil particulièrement utile lors du réacheminement des voyageurs vers d’autres compagnies ou destinations en cas de perturbations soudaines.
Pour les équipes de mobilité internationale, cet accord évite des perturbations majeures pour les collaborateurs en mission ou en rotation qui dépendent du réseau transatlantique d’Air Transat. Cet épisode souligne toutefois la pression croissante sur les coûts salariaux dans le secteur aérien canadien, après une série de conflits sociaux en 2025 chez Air Canada, WestJet et Sunwing.
Les responsables voyages doivent mettre à jour leurs matrices de risques pour intégrer la possibilité d’actions syndicales de dernière minute et s’assurer que leurs systèmes de suivi des voyageurs intègrent les alertes spécifiques aux compagnies aériennes. Les clauses contractuelles relatives au réacheminement et aux obligations de diligence pourraient nécessiter une révision avant la haute saison 2026.
L’ALPA organisera un vote de ratification dans les deux semaines. En cas de rejet, un nouvel avis de grève de 72 heures pourrait relancer le conflit, même si les observateurs estiment que le compromis sera largement approuvé.











