
Le Conseil de l’UE a trouvé un accord politique sur une nouvelle liste des « pays sûrs » et un règlement sur le retour visant à accélérer les expulsions des demandeurs d’asile déboutés. Ce dossier introduit des « centres de retour » au niveau européen, à l’image de l’expérimentation italienne avec des installations en Albanie, et fixe des normes communes de détention pouvant aller jusqu’à 18 mois.
Des organisations de défense des droits, comme Amnesty International, alertent sur le risque de placer les migrants dans une zone juridique floue, tandis que les fédérations patronales y voient un avantage : un traitement plus rapide pourrait libérer des ressources administratives pour les dossiers de permis de travail et réduire les retards dans les regroupements familiaux, freinant la mobilité des talents.
Pour les entreprises qui doivent vérifier les statuts de visa ou accélérer le renouvellement des permis, des plateformes comme VisaHQ simplifient les démarches. Ce service propose un suivi en temps réel, des listes de documents spécifiques par pays, et une liaison directe avec les consulats pour l’Italie et au-delà, permettant aux équipes RH d’anticiper les évolutions réglementaires : https://www.visahq.com/italy/.
Pour les employeurs italiens, l’impact concret sera un examen plus strict des motifs humanitaires lors du parrainage des personnes à charge, le seuil de « manifestement infondé » étant relevé. Les équipes RH devront aussi surveiller l’éventuelle transposition des règles de détention dans le droit national, ce qui pourrait concerner les salariés en situation de dépassement de séjour ou dont le renouvellement est retardé. Les textes définitifs sont attendus pour mi-2026, laissant une fenêtre étroite pour adapter les protocoles de conformité.
Des organisations de défense des droits, comme Amnesty International, alertent sur le risque de placer les migrants dans une zone juridique floue, tandis que les fédérations patronales y voient un avantage : un traitement plus rapide pourrait libérer des ressources administratives pour les dossiers de permis de travail et réduire les retards dans les regroupements familiaux, freinant la mobilité des talents.
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Pour les employeurs italiens, l’impact concret sera un examen plus strict des motifs humanitaires lors du parrainage des personnes à charge, le seuil de « manifestement infondé » étant relevé. Les équipes RH devront aussi surveiller l’éventuelle transposition des règles de détention dans le droit national, ce qui pourrait concerner les salariés en situation de dépassement de séjour ou dont le renouvellement est retardé. Les textes définitifs sont attendus pour mi-2026, laissant une fenêtre étroite pour adapter les protocoles de conformité.










