
Rovaniemi, mondialement connue comme le « domicile officiel du Père Noël », s’est réveillée le 10 décembre sur une scène inhabituelle : des colonnes de véhicules blindés de l’OTAN défilant devant des hôtels décorés pour Noël en direction du champ d’entraînement de Rovajärvi. Cette arrivée massive, dans le cadre des manœuvres Lapland Steel et Northern Strike de l’alliance, illustre la nouvelle réalité de la Finlande en tant que membre de l’OTAN et État frontalier avec la Russie. Plus de 4 000 soldats finlandais, suédois, britanniques et polonais se sont succédé dans cette ville du cercle arctique ces deux dernières semaines, répétant des scénarios de guerre hivernale et de renforts rapides.
Pour l’industrie mondiale du tourisme, ces exercices ont deux conséquences majeures. D’abord, les voyageurs d’affaires et de loisirs se rendant en Laponie cet hiver constateront une sécurité renforcée : contrôles d’identité supplémentaires sur l’autoroute E75 depuis Helsinki, inspections aléatoires à l’aéroport de Rovaniemi, et une forte augmentation des réservations d’hôtels bloqués pour le personnel militaire. Les agences de voyage signalent déjà des temps de trajet plus longs entre l’aéroport et les stations, les convois militaires fermant ponctuellement certaines voies.
Que vous soyez un vacancier impatient de rencontrer le Père Noël ou un employé envoyé dans le Grand Nord par votre entreprise, VisaHQ peut faciliter vos démarches administratives pour que la seule surprise soit celle des aurores boréales. Via son portail dédié à la Finlande (https://www.visahq.com/finland/), le service propose des conseils actualisés sur les visas, des outils de demande en ligne et des alertes sur les changements des règles d’entrée — particulièrement utiles en cette période de contrôles d’identité temporaires et de restrictions frontalières fluctuantes. Quelques clics suffisent pour obtenir les documents de voyage nécessaires et partir l’esprit tranquille vers les postes de contrôle enneigés de Laponie.
Ensuite, ces exercices rappellent que la Finlande maintient la fermeture de sa frontière terrestre orientale avec la Russie — une mesure mise en place fin 2023 pour contrer ce que Helsinki qualifie de « migration instrumentalisée ». Les agences proposant autrefois des excursions en motoneige de l’autre côté de la frontière russe proposent désormais des itinéraires alternatifs entièrement situés en Finlande. Les entreprises de logistique transportant des marchandises entre les ports norvégiens sans glace et le sud de la Finlande passent également par la Suède pour éviter les postes fermés.
Les autorités de Rovaniemi tiennent à rassurer les touristes. « Les forces de sécurité sont très visibles, mais le parc du Père Noël est ouvert comme d’habitude et les vols respectent leurs horaires », explique Sanna Kärkkäinen, directrice du tourisme. Cependant, les assureurs voyages étrangers commencent à inclure des clauses spécifiques pour les déplacements dans un rayon de 100 km de la frontière russe, à l’image des polices déjà courantes pour les zones frontalières Israël-Gaza.
À l’avenir, le nouveau groupe tactique des Forces terrestres avancées (FLF), dirigé par la Suède, sera stationné en permanence en Laponie dès début 2026. Les employeurs internationaux ayant des collaborateurs dans le nord de la Finlande doivent donc mettre à jour leurs plans de gestion de crise, veiller à ce que leur personnel ait toujours son passeport sur lui, et prévoir des marges supplémentaires pour les déplacements en zone frontalière — notamment pendant la haute saison des fêtes, où rotations militaires et vols charters coïncident.
Pour l’industrie mondiale du tourisme, ces exercices ont deux conséquences majeures. D’abord, les voyageurs d’affaires et de loisirs se rendant en Laponie cet hiver constateront une sécurité renforcée : contrôles d’identité supplémentaires sur l’autoroute E75 depuis Helsinki, inspections aléatoires à l’aéroport de Rovaniemi, et une forte augmentation des réservations d’hôtels bloqués pour le personnel militaire. Les agences de voyage signalent déjà des temps de trajet plus longs entre l’aéroport et les stations, les convois militaires fermant ponctuellement certaines voies.
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Ensuite, ces exercices rappellent que la Finlande maintient la fermeture de sa frontière terrestre orientale avec la Russie — une mesure mise en place fin 2023 pour contrer ce que Helsinki qualifie de « migration instrumentalisée ». Les agences proposant autrefois des excursions en motoneige de l’autre côté de la frontière russe proposent désormais des itinéraires alternatifs entièrement situés en Finlande. Les entreprises de logistique transportant des marchandises entre les ports norvégiens sans glace et le sud de la Finlande passent également par la Suède pour éviter les postes fermés.
Les autorités de Rovaniemi tiennent à rassurer les touristes. « Les forces de sécurité sont très visibles, mais le parc du Père Noël est ouvert comme d’habitude et les vols respectent leurs horaires », explique Sanna Kärkkäinen, directrice du tourisme. Cependant, les assureurs voyages étrangers commencent à inclure des clauses spécifiques pour les déplacements dans un rayon de 100 km de la frontière russe, à l’image des polices déjà courantes pour les zones frontalières Israël-Gaza.
À l’avenir, le nouveau groupe tactique des Forces terrestres avancées (FLF), dirigé par la Suède, sera stationné en permanence en Laponie dès début 2026. Les employeurs internationaux ayant des collaborateurs dans le nord de la Finlande doivent donc mettre à jour leurs plans de gestion de crise, veiller à ce que leur personnel ait toujours son passeport sur lui, et prévoir des marges supplémentaires pour les déplacements en zone frontalière — notamment pendant la haute saison des fêtes, où rotations militaires et vols charters coïncident.









