
Les dernières données d’Eurostat publiées le 10 décembre révèlent que 4,3 millions de ressortissants non membres de l’UE, ayant fui l’invasion russe de l’Ukraine, bénéficient toujours du statut de protection temporaire dans l’ensemble de l’Union au 31 octobre 2025. L’Allemagne accueille de loin la plus grande part — 1 229 960 personnes, soit 28,6 % du total — suivie de la Pologne et de la République tchèque.
Si le chiffre global pour l’UE a légèrement diminué d’un mois sur l’autre, le nombre en Allemagne s’est stabilisé autour de 1,2 million depuis l’été, après un pic à 1,36 million en mars. Les Länder ont profité de cette pause pour passer de l’hébergement d’urgence à des solutions de logement à plus long terme et pour augmenter la capacité des cours d’intégration. Deux tiers des Ukrainiens en âge de travailler inscrits dans les agences pour l’emploi sont des femmes ; beaucoup passent d’emplois précaires à temps partiel à des emplois qualifiés grâce à la reconnaissance accélérée des diplômes introduite par la loi sur l’immigration qualifiée.
Pour les employeurs, ce statut présente des avantages : les bénéficiaires ukrainiens peuvent commencer à travailler immédiatement sans contrôle préalable du marché du travail et peuvent circuler librement dans l’espace Schengen. Les fournisseurs automobiles du Bade-Wurtemberg et les entreprises informatiques de Berlin constatent un intérêt croissant pour les programmes de montée en compétences qui permettent de transformer les titulaires de la protection temporaire en employés permanents.
Pour gérer ces opportunités sans se perdre dans la paperasse, de nombreuses organisations se tournent vers VisaHQ. Le portail allemand de l’entreprise (https://www.visahq.com/germany/) simplifie les demandes de permis de voyage Schengen, les renouvellements de cartes de séjour et les vérifications de passeport via un tableau de bord unique, offrant aux équipes RH et aux professionnels ukrainiens des délais fiables et des alertes de conformité.
Cependant, les services RH sont invités à surveiller les dates d’expiration. Bien que le Conseil de l’UE ait prolongé le dispositif jusqu’en mars 2027, les cartes de séjour délivrées avant février 2026 doivent être réimprimées pour refléter cette extension automatique, et certains bureaux locaux des étrangers accusent un retard de six mois. Les entreprises prévoyant des déplacements professionnels dans l’UE pour leur personnel ukrainien doivent s’assurer que les passeports sont valides au moins six mois après la date du voyage, car des compagnies aériennes ont refusé l’embarquement pour des raisons documentaires.
Les municipalités alertent sur un resserrement des aides au logement en 2026, avec une réduction des financements fédéraux, ce qui pourrait entraîner des mouvements secondaires à l’intérieur de l’Allemagne. Les responsables de la relocalisation conseillent aux employeurs de prévoir un budget plus élevé pour le logement d’entreprise ou d’explorer les bassins de talents régionaux en dehors des centres urbains saturés.
Si le chiffre global pour l’UE a légèrement diminué d’un mois sur l’autre, le nombre en Allemagne s’est stabilisé autour de 1,2 million depuis l’été, après un pic à 1,36 million en mars. Les Länder ont profité de cette pause pour passer de l’hébergement d’urgence à des solutions de logement à plus long terme et pour augmenter la capacité des cours d’intégration. Deux tiers des Ukrainiens en âge de travailler inscrits dans les agences pour l’emploi sont des femmes ; beaucoup passent d’emplois précaires à temps partiel à des emplois qualifiés grâce à la reconnaissance accélérée des diplômes introduite par la loi sur l’immigration qualifiée.
Pour les employeurs, ce statut présente des avantages : les bénéficiaires ukrainiens peuvent commencer à travailler immédiatement sans contrôle préalable du marché du travail et peuvent circuler librement dans l’espace Schengen. Les fournisseurs automobiles du Bade-Wurtemberg et les entreprises informatiques de Berlin constatent un intérêt croissant pour les programmes de montée en compétences qui permettent de transformer les titulaires de la protection temporaire en employés permanents.
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Cependant, les services RH sont invités à surveiller les dates d’expiration. Bien que le Conseil de l’UE ait prolongé le dispositif jusqu’en mars 2027, les cartes de séjour délivrées avant février 2026 doivent être réimprimées pour refléter cette extension automatique, et certains bureaux locaux des étrangers accusent un retard de six mois. Les entreprises prévoyant des déplacements professionnels dans l’UE pour leur personnel ukrainien doivent s’assurer que les passeports sont valides au moins six mois après la date du voyage, car des compagnies aériennes ont refusé l’embarquement pour des raisons documentaires.
Les municipalités alertent sur un resserrement des aides au logement en 2026, avec une réduction des financements fédéraux, ce qui pourrait entraîner des mouvements secondaires à l’intérieur de l’Allemagne. Les responsables de la relocalisation conseillent aux employeurs de prévoir un budget plus élevé pour le logement d’entreprise ou d’explorer les bassins de talents régionaux en dehors des centres urbains saturés.







