
Les ministres de la Justice et de l’Intérieur de l’UE réunis à Bruxelles le 8 décembre ont approuvé le premier Fonds annuel de solidarité dans le cadre du nouveau Pacte sur la migration et l’asile. Le fonds 2026 prévoit la relocalisation de 21 000 demandeurs d’asile et une contribution financière de 420 millions d’euros de la part des États membres. Cependant, à la demande de Prague, la République tchèque a obtenu une exemption totale à 100 % de son quota de relocalisation ainsi que de la contribution financière.
Le ministre de l’Intérieur, Vít Rakušan, a souligné que l’accueil de près de 400 000 Ukrainiens bénéficiant d’une protection temporaire exerce déjà une pression exceptionnelle sur le logement, les écoles et les services de santé tchèques. Selon le Pacte, les pays confrontés à une « pression migratoire significative » peuvent demander une dérogation, clause que les diplomates tchèques ont su faire valoir avec succès. Cette exemption ne concerne que le cycle 2026 et doit être réévaluée chaque année.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette décision élimine le risque que les autorités tchèques imposent de nouvelles taxes ou contraintes administratives aux employeurs pour financer une facture européenne estimée jusqu’à 20 millions d’euros. Elle indique également que Prague continuera de privilégier le soutien aux ressortissants ukrainiens résidant dans le pays, un élément à prendre en compte lors de la planification des missions impliquant l’accès aux services publics.
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Le revers de la médaille est que la République tchèque perd son influence sur l’utilisation des fonds de solidarité. Certains analystes mettent en garde contre le fait que des exemptions répétées pourraient nuire à la bonne volonté envers Prague lorsqu’elle sollicitera l’aide de l’UE pour faire face à de futures pénuries de main-d’œuvre ou à des projets de gestion des frontières.
Conseil pratique : les employeurs qui relocalisent du personnel en République tchèque doivent suivre de près les négociations sur le fonds de solidarité prévues pour l’année prochaine (attendues au 4e trimestre 2026). Un changement dans les flux migratoires ou dans la composition politique du nouveau gouvernement Babiš pourrait entraîner la suppression de l’exemption, avec des répercussions budgétaires pour les programmes d’immigration d’entreprise.
Le ministre de l’Intérieur, Vít Rakušan, a souligné que l’accueil de près de 400 000 Ukrainiens bénéficiant d’une protection temporaire exerce déjà une pression exceptionnelle sur le logement, les écoles et les services de santé tchèques. Selon le Pacte, les pays confrontés à une « pression migratoire significative » peuvent demander une dérogation, clause que les diplomates tchèques ont su faire valoir avec succès. Cette exemption ne concerne que le cycle 2026 et doit être réévaluée chaque année.
Pour les responsables de la mobilité internationale, cette décision élimine le risque que les autorités tchèques imposent de nouvelles taxes ou contraintes administratives aux employeurs pour financer une facture européenne estimée jusqu’à 20 millions d’euros. Elle indique également que Prague continuera de privilégier le soutien aux ressortissants ukrainiens résidant dans le pays, un élément à prendre en compte lors de la planification des missions impliquant l’accès aux services publics.
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Conseil pratique : les employeurs qui relocalisent du personnel en République tchèque doivent suivre de près les négociations sur le fonds de solidarité prévues pour l’année prochaine (attendues au 4e trimestre 2026). Un changement dans les flux migratoires ou dans la composition politique du nouveau gouvernement Babiš pourrait entraîner la suppression de l’exemption, avec des répercussions budgétaires pour les programmes d’immigration d’entreprise.









