
La loi controversée du Canada visant à renforcer le système d’immigration et les frontières (projet de loi C-12) a progressé sur le calendrier parlementaire le 9 décembre 2025, après que le Comité permanent de la sécurité publique a achevé l’examen article par article. Le projet de loi attend désormais le débat en séance de rapport, avant-dernière étape avant la troisième lecture à la Chambre des communes.
Présentée initialement en octobre, cette législation élargit les pouvoirs de l’Agence des services frontaliers du Canada pour fouiller les marchandises à l’exportation, supprime le droit à une audience pour certaines demandes d’asile tardives et facilite le partage d’informations sur les ressortissants étrangers avec les partenaires des forces de l’ordre. Elle codifie également des sanctions plus sévères pour les employeurs impliqués dans la traite des êtres humains ou l’organisation de fraudes en matière d’immigration.
Les partisans, dont le ministre de la Sécurité publique Gary Anandasangaree, soutiennent que ce projet modernise un système surchargé et s’aligne sur les efforts de sécurité aux frontières des États-Unis.
Les détracteurs mettent en garde contre des expulsions accélérées qui pourraient porter atteinte aux droits à un procès équitable et affecter de manière disproportionnée les migrants vulnérables. Les lobbies économiques demandent des clarifications sur l’impact potentiel des nouveaux pouvoirs d’application sur les programmes de voyageurs de confiance et de précontrôle, essentiels aux chaînes d’approvisionnement transfrontalières.
Dans ce contexte d’incertitude, VisaHQ se présente comme un allié pratique pour les employeurs et les voyageurs. Via son portail dédié au Canada (https://www.visahq.com/canada/), l’entreprise offre des conseils en temps réel sur les catégories de visa, les listes de documents et le traitement des demandes, permettant aux parties prenantes de rester en conformité et de s’adapter rapidement aux changements réglementaires tels que ceux proposés dans le projet de loi C-12.
Les amendements clés adoptés par le comité instaurent une clause de péremption d’un an sur les pouvoirs ministériels les plus étendus et exigent des rapports parlementaires annuels sur les délais de traitement des demandes d’asile. Néanmoins, les avocats spécialisés en immigration anticipent une hausse des examens d’admissibilité et des inspections secondaires une fois les règlements en vigueur.
Les professionnels de la mobilité internationale doivent suivre de près l’évolution du projet de loi ; s’il est adopté début 2026, les entreprises employant des talents étrangers pourraient faire face à des audits plus stricts de vérification documentaire et devraient dès maintenant renforcer leurs protocoles de conformité pour éviter des sanctions pouvant atteindre un million de dollars par infraction.
Présentée initialement en octobre, cette législation élargit les pouvoirs de l’Agence des services frontaliers du Canada pour fouiller les marchandises à l’exportation, supprime le droit à une audience pour certaines demandes d’asile tardives et facilite le partage d’informations sur les ressortissants étrangers avec les partenaires des forces de l’ordre. Elle codifie également des sanctions plus sévères pour les employeurs impliqués dans la traite des êtres humains ou l’organisation de fraudes en matière d’immigration.
Les partisans, dont le ministre de la Sécurité publique Gary Anandasangaree, soutiennent que ce projet modernise un système surchargé et s’aligne sur les efforts de sécurité aux frontières des États-Unis.
Les détracteurs mettent en garde contre des expulsions accélérées qui pourraient porter atteinte aux droits à un procès équitable et affecter de manière disproportionnée les migrants vulnérables. Les lobbies économiques demandent des clarifications sur l’impact potentiel des nouveaux pouvoirs d’application sur les programmes de voyageurs de confiance et de précontrôle, essentiels aux chaînes d’approvisionnement transfrontalières.
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Les amendements clés adoptés par le comité instaurent une clause de péremption d’un an sur les pouvoirs ministériels les plus étendus et exigent des rapports parlementaires annuels sur les délais de traitement des demandes d’asile. Néanmoins, les avocats spécialisés en immigration anticipent une hausse des examens d’admissibilité et des inspections secondaires une fois les règlements en vigueur.
Les professionnels de la mobilité internationale doivent suivre de près l’évolution du projet de loi ; s’il est adopté début 2026, les entreprises employant des talents étrangers pourraient faire face à des audits plus stricts de vérification documentaire et devraient dès maintenant renforcer leurs protocoles de conformité pour éviter des sanctions pouvant atteindre un million de dollars par infraction.









