
Le ministère chypriote des Affaires étrangères a activé son Centre national de gestion de crise tard dans la soirée du 7 décembre, après la fermeture de l’aéroport Ben Gourion en Israël, suite à un échange de frappes avec l’Iran. Un avis urgent, publié le 8 décembre, recommande aux ressortissants chypriotes en Israël d’éviter tout déplacement non essentiel, de s’inscrire sur le portail Connect2CY et de prévoir des itinéraires de sortie alternatifs via Athènes ou Larnaca.
Des lignes téléphoniques consulaires ont été mises en place 24h/24, et l’ambassade à Tel Aviv a organisé un autocar affrété vers le port de Haïfa au cas où une évacuation par ferry deviendrait nécessaire. L’avis souligne également les risques de retombées sur les voies maritimes et les infrastructures énergétiques en Méditerranée orientale, ce qui a conduit le Conseil national de sécurité chypriote à revoir ses plans d’urgence pour les terminaux de GNL à Vasilikos.
Cet épisode illustre à quel point la géopolitique régionale peut impacter instantanément la mobilité des entreprises. Les sociétés ayant du personnel en Israël doivent désormais mettre à jour leurs listes de contacts d’urgence, vérifier leurs assurances excluant les zones à risque de guerre et envisager Chypre comme point de transit pour d’éventuelles évacuations. Les responsables des déplacements doivent également anticiper d’éventuelles nouvelles restrictions aériennes qui pourraient rediriger les vols vers Larnaca, aggravant ainsi la pénurie d’hébergements déjà constatée cette semaine.
Bien que le ministère des Affaires étrangères ait insisté sur l’absence de menace immédiate pour Chypre, la situation reste instable. Il est conseillé aux organisations de suivre attentivement les avis chypriotes et israéliens et de maintenir des plans de voyage flexibles via Athènes, Amman ou Le Caire en cas d’aggravation.
Des lignes téléphoniques consulaires ont été mises en place 24h/24, et l’ambassade à Tel Aviv a organisé un autocar affrété vers le port de Haïfa au cas où une évacuation par ferry deviendrait nécessaire. L’avis souligne également les risques de retombées sur les voies maritimes et les infrastructures énergétiques en Méditerranée orientale, ce qui a conduit le Conseil national de sécurité chypriote à revoir ses plans d’urgence pour les terminaux de GNL à Vasilikos.
Cet épisode illustre à quel point la géopolitique régionale peut impacter instantanément la mobilité des entreprises. Les sociétés ayant du personnel en Israël doivent désormais mettre à jour leurs listes de contacts d’urgence, vérifier leurs assurances excluant les zones à risque de guerre et envisager Chypre comme point de transit pour d’éventuelles évacuations. Les responsables des déplacements doivent également anticiper d’éventuelles nouvelles restrictions aériennes qui pourraient rediriger les vols vers Larnaca, aggravant ainsi la pénurie d’hébergements déjà constatée cette semaine.
Bien que le ministère des Affaires étrangères ait insisté sur l’absence de menace immédiate pour Chypre, la situation reste instable. Il est conseillé aux organisations de suivre attentivement les avis chypriotes et israéliens et de maintenir des plans de voyage flexibles via Athènes, Amman ou Le Caire en cas d’aggravation.







