
Avec Toronto et Vancouver prévues pour accueillir 13 matchs lors de la Coupe du Monde FIFA 26™ élargie à 48 équipes, Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a lancé une campagne de sensibilisation invitant les fans, officiels et médias à soumettre leurs demandes de visa et d’autorisation de voyage électronique (AVE) bien à l’avance. Dans un communiqué publié à Ottawa le 8 décembre, la ministre Lena Metlege Diab a rappelé aux visiteurs potentiels que « un billet de match ne garantit pas l’entrée au Canada ».
L’IRCC anticipe plusieurs millions d’arrivées supplémentaires entre le 11 juin et le 19 juillet 2026. Pour éviter un afflux qui pourrait saturer les capacités de traitement, le ministère a mis en place un portail web dédié à la Coupe du Monde, offrant des instructions détaillées sur les visas de visiteur, les permis de travail pour le personnel de diffusion et logistique, ainsi que les AVE de transit pour les supporters transitant par des hubs canadiens en route vers des sites aux États-Unis ou au Mexique.
L’agence collabore avec ses homologues américains et mexicains pour simplifier les formalités frontalières dans le cadre du dispositif trilatéral de sécurité nord-américain pour la Coupe du Monde. Les compagnies aériennes ont été invitées à promouvoir le message « postulez tôt » lors des réservations, tandis que les missions canadiennes à l’étranger organiseront des centres temporaires de demande de visa dans des pays à forte affluence de supporters, comme l’Allemagne, le Ghana et l’Australie.
Pour les entreprises canadiennes — notamment les hôtels, restaurants et prestataires au sol — cet avis apporte une clarté sur les délais de traitement des documents, leur permettant de finaliser leurs plans de recrutement et réservations de groupe. Cependant, les conseillers en mobilité préviennent que les travailleurs temporaires embauchés pour les fan-zones et suites d’hospitalité doivent obtenir des permis de travail spécifiques à l’employeur, dont les délais diffèrent de ceux des visas de visiteur.
Selon l’IRCC, l’organisation de l’événement pourrait injecter près de 2 milliards de dollars canadiens dans l’économie et créer 25 000 emplois. Ces campagnes de demande anticipée visent à garantir que ces bénéfices ne soient pas compromis par des retards de dernière minute aux guichets de visa ou aux aéroports.
L’IRCC anticipe plusieurs millions d’arrivées supplémentaires entre le 11 juin et le 19 juillet 2026. Pour éviter un afflux qui pourrait saturer les capacités de traitement, le ministère a mis en place un portail web dédié à la Coupe du Monde, offrant des instructions détaillées sur les visas de visiteur, les permis de travail pour le personnel de diffusion et logistique, ainsi que les AVE de transit pour les supporters transitant par des hubs canadiens en route vers des sites aux États-Unis ou au Mexique.
L’agence collabore avec ses homologues américains et mexicains pour simplifier les formalités frontalières dans le cadre du dispositif trilatéral de sécurité nord-américain pour la Coupe du Monde. Les compagnies aériennes ont été invitées à promouvoir le message « postulez tôt » lors des réservations, tandis que les missions canadiennes à l’étranger organiseront des centres temporaires de demande de visa dans des pays à forte affluence de supporters, comme l’Allemagne, le Ghana et l’Australie.
Pour les entreprises canadiennes — notamment les hôtels, restaurants et prestataires au sol — cet avis apporte une clarté sur les délais de traitement des documents, leur permettant de finaliser leurs plans de recrutement et réservations de groupe. Cependant, les conseillers en mobilité préviennent que les travailleurs temporaires embauchés pour les fan-zones et suites d’hospitalité doivent obtenir des permis de travail spécifiques à l’employeur, dont les délais diffèrent de ceux des visas de visiteur.
Selon l’IRCC, l’organisation de l’événement pourrait injecter près de 2 milliards de dollars canadiens dans l’économie et créer 25 000 emplois. Ces campagnes de demande anticipée visent à garantir que ces bénéfices ne soient pas compromis par des retards de dernière minute aux guichets de visa ou aux aéroports.








