
La veille des élections, le 6 décembre, le président de la Commission électorale (EAC), M. le juge David Lok, a inspecté le bureau de vote proche de la frontière situé au port de Hong Kong du pont Hong Kong–Zhuhai–Macao pour superviser les répétitions de dernière minute. Ce port, qui accueille jusqu’à 50 000 voyageurs par jour, servira également de bureau de vote pour les électeurs en transit sur le plus long pont maritime du monde.
Les techniciens de l’EAC et du Département de l’Immigration ont soumis à des tests rigoureux les tablettes des listes électorales, les scellés des urnes et les flux de vidéosurveillance, tandis que des passagers fictifs chronométraient l’ensemble du processus de vote « en transit » ; la procédure moyenne a duré huit minutes. Parmi les plans de secours figurent des guichets d’aide bilingues et des listes électorales manuelles en cas de coupure de la connexion 5G.
La station du pont devrait principalement desservir les chauffeurs logistiques circulant entre les terminaux Kwai Tsing de Hong Kong et les usines de Zhongshan, ainsi que les résidents de Macao en excursion shopping. En proposant un vote en cours de trajet, le gouvernement espère relancer la participation, qui avait chuté à 30,2 % en 2021.
Du point de vue de la mobilité, cet exercice montre comment des infrastructures clés — ponts, tunnels, ports — peuvent être adaptées à des fonctions civiques sans entraver le flux. Pour les gestionnaires de la mobilité mondiale, ce précédent suggère que des services temporaires futurs (du pré-dédouanement au dépistage sanitaire) pourraient être intégrés aux nœuds de transport, réduisant ainsi les temps d’attente des employés.
Les responsables de l’EAC ont confirmé que si un trafic intense provoque des files d’attente débordant sur le hall, un « couloir express » de secours, géré par des volontaires des services disciplinés, déviera les passagers en transit pur des files de vote, garantissant ainsi l’efficacité aux frontières.
Les techniciens de l’EAC et du Département de l’Immigration ont soumis à des tests rigoureux les tablettes des listes électorales, les scellés des urnes et les flux de vidéosurveillance, tandis que des passagers fictifs chronométraient l’ensemble du processus de vote « en transit » ; la procédure moyenne a duré huit minutes. Parmi les plans de secours figurent des guichets d’aide bilingues et des listes électorales manuelles en cas de coupure de la connexion 5G.
La station du pont devrait principalement desservir les chauffeurs logistiques circulant entre les terminaux Kwai Tsing de Hong Kong et les usines de Zhongshan, ainsi que les résidents de Macao en excursion shopping. En proposant un vote en cours de trajet, le gouvernement espère relancer la participation, qui avait chuté à 30,2 % en 2021.
Du point de vue de la mobilité, cet exercice montre comment des infrastructures clés — ponts, tunnels, ports — peuvent être adaptées à des fonctions civiques sans entraver le flux. Pour les gestionnaires de la mobilité mondiale, ce précédent suggère que des services temporaires futurs (du pré-dédouanement au dépistage sanitaire) pourraient être intégrés aux nœuds de transport, réduisant ainsi les temps d’attente des employés.
Les responsables de l’EAC ont confirmé que si un trafic intense provoque des files d’attente débordant sur le hall, un « couloir express » de secours, géré par des volontaires des services disciplinés, déviera les passagers en transit pur des files de vote, garantissant ainsi l’efficacité aux frontières.







