
Le ministère de l’Intérieur a publié de nouvelles données de transparence révélant que 172 migrants ont traversé la Manche en petites embarcations entre le 1er et le 7 décembre. Ces chiffres, diffusés dimanche dans le cadre du jeu de données quotidien du ministère, portent le total pour 2025 à 28 436 traversées, légèrement supérieur au rythme de l’an dernier malgré les conditions hivernales.
Les autorités ont souligné un taux de « prévention » de 41 %, précisant que les forces françaises ont empêché 119 départs durant la même période. Cependant, les députés de l’opposition ont saisi cette mise à jour pour accuser le gouvernement de ne pas tenir sa promesse de « stopper les traversées ».
Pour les responsables de la mobilité et de la relocalisation, ces données sont cruciales car elles influencent le climat politique autour des visas de travail et de l’installation à long terme. Les analystes de l’Institut pour le Gouvernement alertent que la persistance d’un nombre élevé d’arrivées irrégulières accroît la pression en faveur de plafonds migratoires plus stricts, ce qui pourrait impacter les filières de recrutement parrainées par les employeurs. Les entreprises dépendant des talents étrangers doivent donc suivre de près les débats parlementaires liés à ces statistiques hebdomadaires et être prêtes à fournir des preuves sur le marché du travail lors des consultations du ministère de l’Intérieur.
Par ailleurs, la Border Force réaffecte du personnel du contrôle des passeports vers les centres de traitement des petites embarcations. Les syndicats des aéroports préviennent que cela pourrait aggraver les files d’attente à Noël si les intempéries coïncident avec un pic de vols entrants. Les voyageurs arrivant après le 22 décembre — date à laquelle les membres du syndicat PCS devraient annoncer une grève des heures supplémentaires — sont invités à utiliser les eGates autant que possible et à éviter les correspondances ferroviaires serrées.
Cette publication illustre la nouvelle stratégie de communication du gouvernement : diffuser quotidiennement des données détaillées pour dissuader les tentatives de traversée et contrer la désinformation. Les détracteurs estiment toutefois que ces mises à jour régulières risquent de banaliser ces chiffres élevés et pourraient influencer les tactiques des passeurs.
Les autorités ont souligné un taux de « prévention » de 41 %, précisant que les forces françaises ont empêché 119 départs durant la même période. Cependant, les députés de l’opposition ont saisi cette mise à jour pour accuser le gouvernement de ne pas tenir sa promesse de « stopper les traversées ».
Pour les responsables de la mobilité et de la relocalisation, ces données sont cruciales car elles influencent le climat politique autour des visas de travail et de l’installation à long terme. Les analystes de l’Institut pour le Gouvernement alertent que la persistance d’un nombre élevé d’arrivées irrégulières accroît la pression en faveur de plafonds migratoires plus stricts, ce qui pourrait impacter les filières de recrutement parrainées par les employeurs. Les entreprises dépendant des talents étrangers doivent donc suivre de près les débats parlementaires liés à ces statistiques hebdomadaires et être prêtes à fournir des preuves sur le marché du travail lors des consultations du ministère de l’Intérieur.
Par ailleurs, la Border Force réaffecte du personnel du contrôle des passeports vers les centres de traitement des petites embarcations. Les syndicats des aéroports préviennent que cela pourrait aggraver les files d’attente à Noël si les intempéries coïncident avec un pic de vols entrants. Les voyageurs arrivant après le 22 décembre — date à laquelle les membres du syndicat PCS devraient annoncer une grève des heures supplémentaires — sont invités à utiliser les eGates autant que possible et à éviter les correspondances ferroviaires serrées.
Cette publication illustre la nouvelle stratégie de communication du gouvernement : diffuser quotidiennement des données détaillées pour dissuader les tentatives de traversée et contrer la désinformation. Les détracteurs estiment toutefois que ces mises à jour régulières risquent de banaliser ces chiffres élevés et pourraient influencer les tactiques des passeurs.








