
Le chef de la sécurité sociale finlandaise, Lasse Lehtonen, reste hospitalisé à Bruxelles après une intervention de la police aéroportuaire lorsqu'il a tenté d'embarquer à bord d’un vol Finnair à destination d’Helsinki dans un état manifestement inapte. L’agence publique Kela a confirmé dimanche que Lehtonen est en convalescence et devrait rentrer chez lui dans les prochains jours ; le directeur adjoint Kari-Pekka Mäki-Lohiluoma assure ses fonctions en attendant.
Cet incident – survenu lorsque le personnel de la porte d’embarquement a constaté que Lehtonen ne disposait pas d’une carte d’embarquement valide et semblait désorienté – a déclenché un débat en Finlande sur la responsabilité des employeurs quant à la capacité de leurs employés à voyager en mission. Les spécialistes de la santé au travail soulignent que de nombreuses entreprises comptent sur l’auto-déclaration des problèmes de santé par les voyageurs, un système qui peut échouer sous la pression des délais ou lorsque des cadres supérieurs se sentent obligés de voyager malgré une maladie.
Les équipes de mobilité internationale sont désormais invitées à intégrer des attestations explicites de « capacité à voler » dans les procédures d’autorisation avant déplacement et à clarifier la couverture d’assurance en cas d’incident médical à l’étranger. Les assureurs finlandais signalent que la disponibilité des ambulances aériennes et des accompagnements médicaux est limitée pendant la haute saison hivernale, et qu’une intervention précoce permet d’économiser à la fois de l’argent et d’éviter un risque réputationnel.
D’un point de vue conformité, ce cas illustre également comment les autorités locales peuvent interdire l’embarquement d’un passager, même sur un trajet intra-Schengen, en cas de préoccupations sanitaires ou sécuritaires. Selon la réglementation européenne sur le transport aérien, les compagnies doivent rembourser les refus d’embarquement liés à des problèmes médicaux, mais les voyageurs peuvent devoir assumer les frais d’hôtel et médicaux en l’absence de politique d’entreprise adaptée.
Cet incident – survenu lorsque le personnel de la porte d’embarquement a constaté que Lehtonen ne disposait pas d’une carte d’embarquement valide et semblait désorienté – a déclenché un débat en Finlande sur la responsabilité des employeurs quant à la capacité de leurs employés à voyager en mission. Les spécialistes de la santé au travail soulignent que de nombreuses entreprises comptent sur l’auto-déclaration des problèmes de santé par les voyageurs, un système qui peut échouer sous la pression des délais ou lorsque des cadres supérieurs se sentent obligés de voyager malgré une maladie.
Les équipes de mobilité internationale sont désormais invitées à intégrer des attestations explicites de « capacité à voler » dans les procédures d’autorisation avant déplacement et à clarifier la couverture d’assurance en cas d’incident médical à l’étranger. Les assureurs finlandais signalent que la disponibilité des ambulances aériennes et des accompagnements médicaux est limitée pendant la haute saison hivernale, et qu’une intervention précoce permet d’économiser à la fois de l’argent et d’éviter un risque réputationnel.
D’un point de vue conformité, ce cas illustre également comment les autorités locales peuvent interdire l’embarquement d’un passager, même sur un trajet intra-Schengen, en cas de préoccupations sanitaires ou sécuritaires. Selon la réglementation européenne sur le transport aérien, les compagnies doivent rembourser les refus d’embarquement liés à des problèmes médicaux, mais les voyageurs peuvent devoir assumer les frais d’hôtel et médicaux en l’absence de politique d’entreprise adaptée.





