
L’Espagne entame le long week-end de quatre jours de la Fête de la Constitution (du 5 au 8 décembre) avec un trafic aérien quasi-record : l’opérateur aéroportuaire Aena rapporte 21 955 mouvements commerciaux à l’échelle nationale, soit une hausse de 3 % par rapport à 2024. Seul l’aéroport de Madrid-Barajas enregistre 4 610 opérations, suivi de Barcelone-El Prat (3 659) et de Gran Canaria (4 759). La journée la plus chargée est le vendredi 5 décembre, avec 5 743 décollages et atterrissages.
Ibiza illustre parfaitement l’évolution de la connectivité hivernale en Espagne. L’île des Baléares accueillera 316 vols, un chiffre quasiment stable par rapport à l’an dernier, mais la répartition a fortement basculé vers le marché domestique. Sur ce total, 292 vols sont nationaux, soit 22 de plus qu’en 2024, tandis que les vols internationaux ont été divisés par deux, ne représentant plus que 22 rotations. Les offices de tourisme locaux expliquent cette réduction par la concentration des compagnies aériennes sur les liaisons principales entre grandes villes européennes en basse saison, et le redéploiement des appareils vers des destinations long-courriers de vacances.
Pour les voyageurs d’affaires et les expatriés, cela se traduit par des cabines plus remplies et des tarifs de dernière minute en hausse sur les trajets entre le continent et les îles. Ceux qui se rendent à Ibiza depuis Londres, Paris ou Francfort disposent de moins d’options directes et doivent souvent passer par Madrid ou Barcelone, rallongeant ainsi leur trajet. Les responsables du fret doivent également noter une capacité réduite en soute sur les vols internationaux, ce qui pourrait allonger les délais pour les envois urgents.
Aena conseille aux passagers d’arriver en avance et de réserver leur parking à l’avance, le personnel aéroportuaire étant mis à rude épreuve par l’afflux. Les syndicats du personnel au sol ont accepté de maintenir un service minimum, mais les responsables préviennent que des files d’attente aux contrôles de sécurité et aux postes de contrôle des passeports sont à prévoir aux heures de pointe, notamment à Barajas Terminal 4 et El Prat Terminal 1. Les voyageurs en correspondance vers des destinations Schengen doivent prévoir au moins 90 minutes pour leurs transferts.
Pour l’avenir, les compagnies aériennes ont indiqué à Aena qu’elles poursuivront leur stratégie priorisant le marché domestique jusqu’en février 2026, date à laquelle les fréquences internationales augmenteront pour les vacances de Pâques. Les entreprises organisant des voyages d’incitation ou des réunions hors site dans les Baléares sont donc invitées à réserver leurs places tôt ou à envisager des options de charter pour garantir la disponibilité des groupes.
Ibiza illustre parfaitement l’évolution de la connectivité hivernale en Espagne. L’île des Baléares accueillera 316 vols, un chiffre quasiment stable par rapport à l’an dernier, mais la répartition a fortement basculé vers le marché domestique. Sur ce total, 292 vols sont nationaux, soit 22 de plus qu’en 2024, tandis que les vols internationaux ont été divisés par deux, ne représentant plus que 22 rotations. Les offices de tourisme locaux expliquent cette réduction par la concentration des compagnies aériennes sur les liaisons principales entre grandes villes européennes en basse saison, et le redéploiement des appareils vers des destinations long-courriers de vacances.
Pour les voyageurs d’affaires et les expatriés, cela se traduit par des cabines plus remplies et des tarifs de dernière minute en hausse sur les trajets entre le continent et les îles. Ceux qui se rendent à Ibiza depuis Londres, Paris ou Francfort disposent de moins d’options directes et doivent souvent passer par Madrid ou Barcelone, rallongeant ainsi leur trajet. Les responsables du fret doivent également noter une capacité réduite en soute sur les vols internationaux, ce qui pourrait allonger les délais pour les envois urgents.
Aena conseille aux passagers d’arriver en avance et de réserver leur parking à l’avance, le personnel aéroportuaire étant mis à rude épreuve par l’afflux. Les syndicats du personnel au sol ont accepté de maintenir un service minimum, mais les responsables préviennent que des files d’attente aux contrôles de sécurité et aux postes de contrôle des passeports sont à prévoir aux heures de pointe, notamment à Barajas Terminal 4 et El Prat Terminal 1. Les voyageurs en correspondance vers des destinations Schengen doivent prévoir au moins 90 minutes pour leurs transferts.
Pour l’avenir, les compagnies aériennes ont indiqué à Aena qu’elles poursuivront leur stratégie priorisant le marché domestique jusqu’en février 2026, date à laquelle les fréquences internationales augmenteront pour les vacances de Pâques. Les entreprises organisant des voyages d’incitation ou des réunions hors site dans les Baléares sont donc invitées à réserver leurs places tôt ou à envisager des options de charter pour garantir la disponibilité des groupes.











