
Mettre fin aux années de « border runs » aéroportuaires, les Émirats arabes unis ont confirmé que les titulaires de visas de visite de 30 ou 60 jours peuvent désormais prolonger leur séjour entièrement en ligne, sans quitter le pays. Une circulaire publiée tard le 4 décembre et clarifiée auprès des agences de voyage les 5 et 6 décembre supprime l’obligation de sortie et de réentrée pour la plupart des permis touristiques, de visite d’affaires, de traitement médical et de visite familiale. Les demandes se font via le portail intelligent ICP, l’application mobile ou les centres de service Amer ; une fois approuvée, la même e-visa est revalidée, sans nouveau tampon d’entrée requis.
Cette réforme uniformise également les frais de prolongation à 600 AED hors TVA et introduit un suivi du statut en temps réel. Fait crucial, la période de grâce de 10 jours à Dubaï est supprimée : les amendes pour dépassement de séjour de 50 AED par jour commencent désormais dès l’expiration du visa, alignant Dubaï sur les six autres émirats. Les responsables mobilité doivent donc noter soigneusement les dates d’expiration ; toute demande de prolongation déposée après la fin de validité du visa entraînera à la fois l’amende et un supplément de service.
L’impact sur les entreprises est immédiat. Les équipes commerciales régionales peuvent maintenir leur personnel aux Émirats pour des réunions de suivi, les organisateurs de conférences peuvent retenir les intervenants sur place pour les journées de clôture, et les hôtels anticipent des séjours moyens plus longs pendant la haute saison hivernale. Ce changement élimine aussi le coût et la perte de temps liés aux vols « visa-run » vers Oman ou Bahreïn — une dépense pouvant dépasser 1 500 AED par voyageur, en tenant compte du billet d’avion, du transport et de la productivité perdue.
Conseils pratiques : les passeports doivent être valides au moins six mois ; les voyageurs doivent soumettre leur demande de prolongation au moins cinq jours ouvrables avant l’expiration. Les permis d’entrée sponsorisés par les zones franches, les visas de mission et certaines catégories à usage spécial restent exclus. Les équipes RH doivent mettre à jour les politiques de mobilité pour intégrer la suppression de la période de grâce et informer les voyageurs des nouvelles pénalités en cas de dépassement de séjour.
Cette réforme uniformise également les frais de prolongation à 600 AED hors TVA et introduit un suivi du statut en temps réel. Fait crucial, la période de grâce de 10 jours à Dubaï est supprimée : les amendes pour dépassement de séjour de 50 AED par jour commencent désormais dès l’expiration du visa, alignant Dubaï sur les six autres émirats. Les responsables mobilité doivent donc noter soigneusement les dates d’expiration ; toute demande de prolongation déposée après la fin de validité du visa entraînera à la fois l’amende et un supplément de service.
L’impact sur les entreprises est immédiat. Les équipes commerciales régionales peuvent maintenir leur personnel aux Émirats pour des réunions de suivi, les organisateurs de conférences peuvent retenir les intervenants sur place pour les journées de clôture, et les hôtels anticipent des séjours moyens plus longs pendant la haute saison hivernale. Ce changement élimine aussi le coût et la perte de temps liés aux vols « visa-run » vers Oman ou Bahreïn — une dépense pouvant dépasser 1 500 AED par voyageur, en tenant compte du billet d’avion, du transport et de la productivité perdue.
Conseils pratiques : les passeports doivent être valides au moins six mois ; les voyageurs doivent soumettre leur demande de prolongation au moins cinq jours ouvrables avant l’expiration. Les permis d’entrée sponsorisés par les zones franches, les visas de mission et certaines catégories à usage spécial restent exclus. Les équipes RH doivent mettre à jour les politiques de mobilité pour intégrer la suppression de la période de grâce et informer les voyageurs des nouvelles pénalités en cas de dépassement de séjour.









