
La France a connu sa plus grande grève multisectorielle depuis l'été le 4 décembre, alors que les syndicats CGT, Solidaires et FSU protestaient contre les coupes budgétaires prévues pour 2026. La SNCF a réduit les fréquences des TGV et Intercités, tandis que la RATP a annoncé un service très irrégulier sur le RER B, l’axe vital entre le centre de Paris et les aéroports Charles-de-Gaulle (CDG) et Orly (ORY).
Bien que l’autorité de l’aviation civile n’ait pas imposé de service minimum, les perturbations en chaîne ont été importantes. Les cabinets spécialisés dans les risques de voyage ont enregistré des trajets porte-à-porte jusqu’à 90 minutes entre La Défense et CDG — soit le double de la normale —, avec une forte hausse de la demande de covoiturage et des files d’attente allongées pour les taxis. Adept.Travel a conseillé aux passagers de prévoir une marge de quatre heures entre l’arrivée du train et le départ de leur vol.
Au-delà des transports, la grève a entraîné la fermeture de centaines d’écoles, ralenti les consultations externes dans les hôpitaux et bloqué des boulevards majeurs lors des manifestations à travers Paris. Les voyageurs d’affaires ont signalé des rendez-vous manqués et des correspondances ferroviaires retardées vers Bruxelles et Londres.
Les dirigeants syndicaux préviennent que d’autres arrêts de travail sont probables si le projet de budget — qui supprime 4 000 postes d’enseignants — n’est pas modifié. Les responsables de la mobilité mettent à jour les lettres de mission pour inclure des « clauses grève » couvrant les frais supplémentaires d’hébergement, les indemnités journalières et les retards de projet pour les collaborateurs en déplacement via les hubs français ce mois-ci.
Bien que l’autorité de l’aviation civile n’ait pas imposé de service minimum, les perturbations en chaîne ont été importantes. Les cabinets spécialisés dans les risques de voyage ont enregistré des trajets porte-à-porte jusqu’à 90 minutes entre La Défense et CDG — soit le double de la normale —, avec une forte hausse de la demande de covoiturage et des files d’attente allongées pour les taxis. Adept.Travel a conseillé aux passagers de prévoir une marge de quatre heures entre l’arrivée du train et le départ de leur vol.
Au-delà des transports, la grève a entraîné la fermeture de centaines d’écoles, ralenti les consultations externes dans les hôpitaux et bloqué des boulevards majeurs lors des manifestations à travers Paris. Les voyageurs d’affaires ont signalé des rendez-vous manqués et des correspondances ferroviaires retardées vers Bruxelles et Londres.
Les dirigeants syndicaux préviennent que d’autres arrêts de travail sont probables si le projet de budget — qui supprime 4 000 postes d’enseignants — n’est pas modifié. Les responsables de la mobilité mettent à jour les lettres de mission pour inclure des « clauses grève » couvrant les frais supplémentaires d’hébergement, les indemnités journalières et les retards de projet pour les collaborateurs en déplacement via les hubs français ce mois-ci.










