
De nouvelles données de Statistiques Finlande révèlent que, bien que les personnes d’origine étrangère aient encore en moyenne plus d’enfants que les Finlandais de souche, cet écart continue de se réduire. En 2024, le taux de fécondité total (TFT) des femmes d’origine étrangère est tombé à 1,39 enfant par femme, contre 1,23 pour les femmes d’origine finlandaise. Chez les hommes, les chiffres étaient respectivement de 1,21 et 1,10.
Cette tendance est cruciale pour la mobilité internationale, car les perspectives du marché du travail finlandais et sa demande en talents étrangers dépendent fortement des dynamiques démographiques. La fécondité des natifs est restée à des niveaux historiquement bas pendant trois années consécutives, et la croissance démographique repose presque exclusivement sur l’immigration. La réduction de l’écart de fécondité suggère que la Finlande devra compter encore davantage sur l’immigration entrante — plutôt que sur une hausse des naissances parmi les immigrés — pour compenser le vieillissement de sa population active.
Les décideurs ont déjà durci plusieurs règles d’immigration en 2025, notamment en allongeant les conditions de résidence pour l’obtention de la citoyenneté et en renforçant les critères linguistiques pour la résidence permanente. Les employeurs craignent que ces mesures ne dissuadent les migrants hautement qualifiés, alors même que les données démographiques annoncent des pénuries structurelles de main-d’œuvre d’ici une décennie. Les dernières statistiques sur la fécondité renforcent l’urgence des projets gouvernementaux visant à instaurer un visa à points pour les talents et à accélérer le traitement des permis de travail, deux mesures destinées à attirer des spécialistes capables de renforcer la compétitivité de la Finlande.
Pour les responsables de la mobilité internationale et les équipes RH, le message est clair : les ministères finlandais continueront d’ajuster leur politique migratoire pour concilier objectifs d’intégration et impératifs économiques. Les entreprises offrant des formations en finnois, des avantages adaptés aux familles et des perspectives de carrière claires seront mieux armées pour recruter et fidéliser des collaborateurs internationaux.
À l’avenir, Statistiques Finlande prévoit que le taux de fécondité des résidents d’origine étrangère continuera de baisser, les générations suivantes adoptant des modes de vie proches de ceux de la population générale. À moins d’un rebond significatif de la fécondité native — scénario jugé peu probable par les démographes — le cadre migratoire restera un pilier central de la stratégie démographique finlandaise.
Cette tendance est cruciale pour la mobilité internationale, car les perspectives du marché du travail finlandais et sa demande en talents étrangers dépendent fortement des dynamiques démographiques. La fécondité des natifs est restée à des niveaux historiquement bas pendant trois années consécutives, et la croissance démographique repose presque exclusivement sur l’immigration. La réduction de l’écart de fécondité suggère que la Finlande devra compter encore davantage sur l’immigration entrante — plutôt que sur une hausse des naissances parmi les immigrés — pour compenser le vieillissement de sa population active.
Les décideurs ont déjà durci plusieurs règles d’immigration en 2025, notamment en allongeant les conditions de résidence pour l’obtention de la citoyenneté et en renforçant les critères linguistiques pour la résidence permanente. Les employeurs craignent que ces mesures ne dissuadent les migrants hautement qualifiés, alors même que les données démographiques annoncent des pénuries structurelles de main-d’œuvre d’ici une décennie. Les dernières statistiques sur la fécondité renforcent l’urgence des projets gouvernementaux visant à instaurer un visa à points pour les talents et à accélérer le traitement des permis de travail, deux mesures destinées à attirer des spécialistes capables de renforcer la compétitivité de la Finlande.
Pour les responsables de la mobilité internationale et les équipes RH, le message est clair : les ministères finlandais continueront d’ajuster leur politique migratoire pour concilier objectifs d’intégration et impératifs économiques. Les entreprises offrant des formations en finnois, des avantages adaptés aux familles et des perspectives de carrière claires seront mieux armées pour recruter et fidéliser des collaborateurs internationaux.
À l’avenir, Statistiques Finlande prévoit que le taux de fécondité des résidents d’origine étrangère continuera de baisser, les générations suivantes adoptant des modes de vie proches de ceux de la population générale. À moins d’un rebond significatif de la fécondité native — scénario jugé peu probable par les démographes — le cadre migratoire restera un pilier central de la stratégie démographique finlandaise.








