
Les vacanciers se rendant dans l’archipel subtropical espagnol auront l’embarras du choix : Aena prévoit 5 689 vols dans les aéroports des Canaries du 5 au 8 décembre, un volume quasiment identique à celui de l’an dernier. Le samedi s’annonce comme la journée la plus chargée, avec 1 629 mouvements, soit 25 % de plus que le même samedi en 2024, tandis que le trafic global ne baisse que de 0,14 %.
L’aéroport de Gran Canaria domine avec 1 759 opérations, suivi de Tenerife Sud (1 082) et Tenerife Nord (956). Ces chiffres soulignent la résilience de la région en tant que destination ensoleillée hivernale et son importance pour les compagnies espagnoles qui déplacent leur capacité vers le sud face à la chute des températures en Europe.
Aena note que Tenerife Nord enregistre la plus forte progression annuelle, avec 58 vols supplémentaires, reflétant la décision des compagnies d’augmenter la capacité sur les liaisons domestiques depuis la péninsule. En revanche, Tenerife Sud voit 59 vols en moins, ce qui suggère une redistribution plutôt qu’une réduction de la capacité.
Pour les professionnels de la mobilité chargés de déplacer des collaborateurs ou des équipes de projet vers les Canaries, ces chiffres indiquent une bonne disponibilité des vols, mais un risque de congestion aux heures de pointe. Les employeurs doivent rappeler aux voyageurs que les aéroports insulaires disposent de moins d’espaces lounges business et que les correspondances inter-îles peuvent nécessiter des temps de transfert plus longs en période de forte affluence.
Le week-end mettra également à l’épreuve les infrastructures récemment renforcées pour le télétravail. Les gouvernements de Tenerife et Gran Canaria ont beaucoup investi dans des hubs « work-cation » destinés aux nomades digitaux, un segment que les offices de tourisme espagnols considèrent comme crucial pour assurer une demande toute l’année.
L’aéroport de Gran Canaria domine avec 1 759 opérations, suivi de Tenerife Sud (1 082) et Tenerife Nord (956). Ces chiffres soulignent la résilience de la région en tant que destination ensoleillée hivernale et son importance pour les compagnies espagnoles qui déplacent leur capacité vers le sud face à la chute des températures en Europe.
Aena note que Tenerife Nord enregistre la plus forte progression annuelle, avec 58 vols supplémentaires, reflétant la décision des compagnies d’augmenter la capacité sur les liaisons domestiques depuis la péninsule. En revanche, Tenerife Sud voit 59 vols en moins, ce qui suggère une redistribution plutôt qu’une réduction de la capacité.
Pour les professionnels de la mobilité chargés de déplacer des collaborateurs ou des équipes de projet vers les Canaries, ces chiffres indiquent une bonne disponibilité des vols, mais un risque de congestion aux heures de pointe. Les employeurs doivent rappeler aux voyageurs que les aéroports insulaires disposent de moins d’espaces lounges business et que les correspondances inter-îles peuvent nécessiter des temps de transfert plus longs en période de forte affluence.
Le week-end mettra également à l’épreuve les infrastructures récemment renforcées pour le télétravail. Les gouvernements de Tenerife et Gran Canaria ont beaucoup investi dans des hubs « work-cation » destinés aux nomades digitaux, un segment que les offices de tourisme espagnols considèrent comme crucial pour assurer une demande toute l’année.









