
Quelques heures seulement après l’entrée en vigueur de la réforme majeure sur les travailleurs étrangers en Pologne, les bureaux de l’emploi des comtés ont inondé leurs sites web et leurs réseaux sociaux de rappels de conformité à destination des entreprises locales. Ces alertes confirment qu’à partir du 1er décembre, les frais d’enregistrement d’une déclaration de mise à disposition de travail à un étranger ont été multipliés par quatre, passant à 400 PLN (environ 90 €), et que seuls les citoyens d’Arménie, de Biélorussie, de Moldavie et d’Ukraine restent éligibles à cette procédure accélérée.
Les responsables de Bielsk Podlaski et de Wrocław ont insisté sur le fait que les employeurs doivent joindre des scans numériques du passeport du travailleur, une preuve de ses qualifications ainsi qu’une confirmation de paiement en ligne lors de la soumission via le portail praca.gov.pl. Les consignes transitoires précisent que les ressortissants géorgiens dont les déclarations ont été enregistrées avant la date limite peuvent continuer à travailler jusqu’à l’expiration du document, mais aucune nouvelle déclaration ne sera acceptée.
Cette hausse soudaine des frais a des répercussions budgétaires pour les secteurs dépendant fortement de main-d’œuvre saisonnière ou temporaire, comme l’agriculture et la logistique. Les conseillers juridiques recommandent aux équipes RH d’intégrer ces coûts supplémentaires dans les cycles de planification 2026 et de réévaluer si certains postes nécessitent désormais un permis de travail complet plutôt qu’une simple déclaration.
Les employeurs qui ne s’adaptent pas s’exposent à des retards pouvant compromettre les calendriers de projets ou, pire, à des amendes pouvant atteindre 10 000 PLN pour travail non autorisé. Les responsables de la mobilité doivent auditer les déclarations en cours cette semaine et informer leurs partenaires de recrutement dans le Caucase et en Asie centrale de cette nouvelle restriction liée à la nationalité.
Les responsables de Bielsk Podlaski et de Wrocław ont insisté sur le fait que les employeurs doivent joindre des scans numériques du passeport du travailleur, une preuve de ses qualifications ainsi qu’une confirmation de paiement en ligne lors de la soumission via le portail praca.gov.pl. Les consignes transitoires précisent que les ressortissants géorgiens dont les déclarations ont été enregistrées avant la date limite peuvent continuer à travailler jusqu’à l’expiration du document, mais aucune nouvelle déclaration ne sera acceptée.
Cette hausse soudaine des frais a des répercussions budgétaires pour les secteurs dépendant fortement de main-d’œuvre saisonnière ou temporaire, comme l’agriculture et la logistique. Les conseillers juridiques recommandent aux équipes RH d’intégrer ces coûts supplémentaires dans les cycles de planification 2026 et de réévaluer si certains postes nécessitent désormais un permis de travail complet plutôt qu’une simple déclaration.
Les employeurs qui ne s’adaptent pas s’exposent à des retards pouvant compromettre les calendriers de projets ou, pire, à des amendes pouvant atteindre 10 000 PLN pour travail non autorisé. Les responsables de la mobilité doivent auditer les déclarations en cours cette semaine et informer leurs partenaires de recrutement dans le Caucase et en Asie centrale de cette nouvelle restriction liée à la nationalité.







