
Un article explicatif d’India Narrative publié le 3 décembre analyse les résultats du Comité mixte sur les affaires consulaires tenu le mois dernier à Abou Dhabi, présentant ces avancées comme un « pacte de mobilité » mêlant libéralisation et renforcement des mesures policières. Parmi les points forts, l’Inde étend le visa à l’arrivée pour les Émiratis à neuf aéroports, tandis que les Émirats arabes unis élargissent leur propre dispositif de visa à l’arrivée pour les Indiens titulaires de certains permis de résidence étrangers.
Derrière ces facilités de visa se cache une volonté d’accélérer les extraditions et l’entraide judiciaire, reflétant la quête de New Delhi pour rapatrier les délinquants économiques qui placent leurs avoirs dans le système financier de Dubaï. Les autorités ont également convenu d’améliorer le partage d’informations sur les dépassements de séjour et les plaintes liées au travail, touchant la communauté indienne de 4,2 millions de personnes dans le Golfe.
Pour les entreprises, le message est clair : des déplacements plus rapides, mais aussi un échange accru de données entre les agences. Les équipes de conformité doivent noter que les deux parties intègrent désormais les données d’entrée-sortie et les informations bancaires pour lutter contre l’abus de sociétés écrans et les salaires impayés.
Ce pacte s’inscrit dans la dynamique des échanges commerciaux impulsés par l’accord CEPA, déjà supérieurs à 100 milliards de dollars, et vise à faciliter les missions de projet tout en dissuadant la criminalité transnationale. Parmi les prochaines étapes concrètes figure le projet indien d’ouvrir une ligne téléphonique consulaire dédiée à Dubaï d’ici mars 2026.
Derrière ces facilités de visa se cache une volonté d’accélérer les extraditions et l’entraide judiciaire, reflétant la quête de New Delhi pour rapatrier les délinquants économiques qui placent leurs avoirs dans le système financier de Dubaï. Les autorités ont également convenu d’améliorer le partage d’informations sur les dépassements de séjour et les plaintes liées au travail, touchant la communauté indienne de 4,2 millions de personnes dans le Golfe.
Pour les entreprises, le message est clair : des déplacements plus rapides, mais aussi un échange accru de données entre les agences. Les équipes de conformité doivent noter que les deux parties intègrent désormais les données d’entrée-sortie et les informations bancaires pour lutter contre l’abus de sociétés écrans et les salaires impayés.
Ce pacte s’inscrit dans la dynamique des échanges commerciaux impulsés par l’accord CEPA, déjà supérieurs à 100 milliards de dollars, et vise à faciliter les missions de projet tout en dissuadant la criminalité transnationale. Parmi les prochaines étapes concrètes figure le projet indien d’ouvrir une ligne téléphonique consulaire dédiée à Dubaï d’ici mars 2026.










