
Au cœur d’une vague de spéculations sur les réseaux sociaux, le Département du Logement de Hong Kong a publié, le 3 décembre, une mise au point concernant les logements provisoires destinés aux résidents devenus sans-abri après l’incendie du Wang Fuk Court. Contrairement aux rumeurs affirmant que des familles vivaient déjà dans des logements en béton non aménagés, le département a confirmé qu’aucune victime de l’incendie n’a encore été relogée dans les bâtiments provisoires du gouvernement.
Les autorités ont insisté sur une stratégie de relogement centrée sur les victimes. Des centres de transit temporaires, installés dans des salles communautaires, offrent lits, repas et soutien psychosocial, tandis que des équipes du Bureau du Logement travaillent à attribuer à chaque foyer un logement transitoire adapté. L’objectif est de proposer des appartements entièrement meublés, équipés d’appareils de base, avant tout déménagement, afin de garantir dignité et un semblant de normalité aux résidents traumatisés.
Pour les employeurs multinationales et les responsables de la mobilité, cette clarification est cruciale. De nombreux professionnels expatriés dépendent d’aides domestiques ou résident eux-mêmes dans les Nouveaux Territoires ; des informations précises sur la sécurité et la disponibilité des logements influencent leurs décisions en matière de devoir de protection et de planification des effectifs.
Le département a invité les personnes concernées à contacter une ligne d’assistance dédiée pour obtenir des mises à jour et a mis en garde contre la diffusion de rumeurs non vérifiées susceptibles de compliquer les efforts de coordination. Cet épisode illustre à quel point la désinformation peut rapidement aggraver les défis logistiques après une catastrophe, soulignant l’importance d’une communication gouvernementale claire pour maintenir la confiance du public et assurer une mobilité ordonnée.
Les autorités ont insisté sur une stratégie de relogement centrée sur les victimes. Des centres de transit temporaires, installés dans des salles communautaires, offrent lits, repas et soutien psychosocial, tandis que des équipes du Bureau du Logement travaillent à attribuer à chaque foyer un logement transitoire adapté. L’objectif est de proposer des appartements entièrement meublés, équipés d’appareils de base, avant tout déménagement, afin de garantir dignité et un semblant de normalité aux résidents traumatisés.
Pour les employeurs multinationales et les responsables de la mobilité, cette clarification est cruciale. De nombreux professionnels expatriés dépendent d’aides domestiques ou résident eux-mêmes dans les Nouveaux Territoires ; des informations précises sur la sécurité et la disponibilité des logements influencent leurs décisions en matière de devoir de protection et de planification des effectifs.
Le département a invité les personnes concernées à contacter une ligne d’assistance dédiée pour obtenir des mises à jour et a mis en garde contre la diffusion de rumeurs non vérifiées susceptibles de compliquer les efforts de coordination. Cet épisode illustre à quel point la désinformation peut rapidement aggraver les défis logistiques après une catastrophe, soulignant l’importance d’une communication gouvernementale claire pour maintenir la confiance du public et assurer une mobilité ordonnée.





